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Terrazzo

Le Terrazzo, Kézako ?

Le Terrazzo, c’est le nouveau marbre !

Le terrazzo : un matériau graphique et tendance pour votre intérieur ! C’est un riche mélange de couleurs et de matières, rappelant un peu le marbre ou les pierres naturelles et inspiré des sols vénitiens d’autrefois.

Le terrazzo ou granito est un carrelage dont le procédé de fabrication est aussi ancien et traditionnel que le carreau de ciment.

Le terrazzo existe depuis la nuit des temps. Il prend ses origines dans l’Antiquité. Il se développe à la Renaissance. Puis, il voit son apogée au XVIII° et XIX° siècle. À cette époque, il décore les sols des maisons bourgeoises et lieux publics.

Le terrazzo est à l’origine un revêtement de sol composé de mélanges d’agrégats :

Il est composé de granulats de marbres naturellement colorés, sélectionnés, incrustés à frais dans une chape de chaux ou de ciment . Il peut se coupler avec des tesselles de marbres, ou encore coquillages nacrés ou de verre recyclé. Après séchage, le polissage fait apparaître les motifs et restitue la brillance originelle du marbre.

Le granito est une technique simplifiée de terrazzo.

Le granito permet de fabriquer de grands ou petits éléments. En effet, il est possible de fabrique avec du granito des dalles, du carrelages, ou des éléments de sanitaire. Enfin après polissage ces derniers ressemblent à du terrazzo. Ces éléments peuvent être réalisés en ciment fibré, de haute dureté, afin de permettre de réduire les épaisseurs et donc le poids de ces éléments.

Aujourd’hui  il semblerait que le terrazzo n’ai pas dit son dernier mot !

Célèbre en Italie ce revêtement de sol, refait doucement surface sur les sols de nos cuisines mais pas que! Ce dernier a l’avantage d’offrir une surface totalement lisse et facile d’entretien et apporte une touche vintage rafraîchissante. Très utilisé dans les années 20, le terrazzo avait amorcé un retour au début des années 90. Il a ce look coloré et organique qu’on associe aisément au mouvement Memphis (les premiers à avoir considéré la couleur comme partie intégrante du design de l’objet).

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Ettore Sottsass pour Issey Miyake

Tachetée ou mouchetée, la tendance autour du terrazzo s’installe même dans les boutiques les plus pointues :

Un des exemples les plus réussis d’intégration du Terrazzo comme habillage décoratif, c’est celui de la maison Kitsuné. Sa boutique située rue des Filles du Calvaire est sublime. Cette réalisation est signée HA-AU, une agence française d’architectes. Non loin de là, se trouve la Maison Plisson située boulevard Beaumarchais. Elle constitue aussi un bon exemple de l’emploi du terrazzo.

Mais se ne sont pas les seules boutiques branchées qui ont succombé à la tendance ! Parmi les boutiques les plus fancy qui ont fait place au Terrazzo, il y’a le coffee shop La Crème de Paris ou la boutique Hermès, situées rue de Sèvres, ou encore le Bar Luce de Fondation Prada x Wes Anderson.

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Cuisine de l’appartement Marie Sixtine

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Maison Kitsuné – Filles du Calvaire – Jean Picon

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Fondation Prada x Wes Anderson – Bar Luce

Personnellement ce qui me fait le plus avec le terrazzo, c’est son coté aléatoire.

En effet, vous n’obtiendrez jamais le même terrazzo, jamais les mêmes taches de couleur. C’est là toute la beauté de ce matériau.

Son rendu final est le fruit du hasard.

Enfin cette étrange matière inspire les designers d’objets, mais visiblement aussi les designers textiles. En effet, on retrouve le terrazzo partout !

 

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Crayons Hay

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Acne Studio

Et vous, vous aimez le terrazzo ?

Avez – vous succombé  aux charmes de ce matériau ? Vous le préférer en déco, en papeterie ou en vêtement ?

Dites-moi tout en commentaire ! 

 

Retrouvez comment fabriquer un petit objet en terrazzo en DIY sur le blog juste ici !

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Up-cycling

Upcycling : rien ne se perd, tout se transforme

« Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme »! Cet aphorisme que l’on prête à Lavoisier prend tout son sens dans le concept même d’upcycling. Il s’agit d’apporter une plus-value à des matériaux récupérés.

Surcyclage : transformer un matériau, en objet qui a de la valeur.

C’est la traduction française de l’upcycling. Il s’agit de récupérer des matériaux ou des produits dont on n’a plus l’usage afin de les transformer en matériaux ou produits de qualité ou d’utilité supérieure. On recycle donc « par le haut ».

L’Upcycling être une solution financièrement vertueuse :

Aujourd’hui de plus en plus de marques de prêt-à-porter, prennent conscience de l’engouement général pour le recyclage.

C’est pourquoi de plus en plus d’enseignes proposent des lignes de produits à base de matières premières recyclées.

C’est le cas de Volcom, une marque californienne de skateboard et snowboard qui propose des boardshorts Volcom en polyester recyclé.

D’autres marques proposent également des produits à base de matières qui ne sont pas issues de l’industrie du textile et de l’habillement, à l’instar de baskets Adidas, fabriquées à partir de filets et autres déchets de plastiques prélevés au large des côtes des Maldives.

Mais ce ne sont pas les seules… Une des premières à avoir emboité le pas, ce n’est autre que le géant suédois, H & M. En effet, depuis 2010, l’enseigne suédoise a décidé de promouvoir son engagement en termes de durabilité. Sous le nom de Conscious, l’entreprise développe des collections de vêtements qui privilégient des matières biologiques telles que le coton biologique, le lin, ou les matières recyclées comme le polyester recyclé ou encore les matières à faible impact écologique comme le Tencel.

Le géant du fast-fashion sort des collections engagées pour la durabilité?! Est-ce l’hôpital qui se fou de la solidarité? Je crois…

En effet, H & M a démocratisé le fast fashion. Les collections sont renouvelées hebdomadairement, et un tel concept est paradoxal, voir inaccordable avec une démarche durable.

 

H & M : la collection Conscious, du greenwahsing?

Une communication orientée :

Tout d’abord, la collection Conscious ne représente qu’une toute petite part des collections incessantes de l’enseigne. En effet, la collection Conscious représente à peine 1 % des collections totales. Cependant, cette collection est diffusée largement dans toutes les campagnes de communications.

Ensuite, il est particulièrement difficile de faire confiance à une enseigne qui fonctionne uniquement avec des sous-traitants.

Une stratégie de sous-traitance : 

Cela lui permet d’une part de sous-traiter l’essentiel de production et de la fabrication dans les pays moins regardants des normes sociales et environnementales.

Une stratégie qui lui permet de se déresponsabiliser :

En effet, en cas de problème ou de scandale, comme l’enseigne ne possède aucune usine, elle se dédouane.

Une confiance mise à rude épreuve :

De plus, des révélations ont décrédibilisé la bonne image que la marque essaie d’établir. En effet, il a été démontré que leur coton certifié bio regorgeait de pesticides.

Enfin on nous prend pour des guignols :

En effet, les vêtements de cette collection dite Consciouse ne sont pas tout entièrement responsables. En effet, le coton bio (lorsqu’il est vraiment bio) représente seulement une partie de la composition du vêtement. C’est pourquoi il se faut se méfier, une étiquette verte ne représente pas toujours quelque chose de 100 % engagé.

Enfin, parfois il faut tout de même savoir être souple, et reconnaitre lorsque les entreprises font de véritables efforts.

Parfois, il s’agit de greenwahing, et de se racheter une image. Mais parfois la stratégie de greenwahing a des impacts positifs sur l’environnement …

En tout cas, mieux vaut rester vigilant. Car cet engouement pour le recyclage coïncide à la fois à une prise de conscience environnementale, mais aussi à un véritable atout marketing.

Vanity sizing

Le «vanity sizing», une pratique bien connue des grandes enseignes et pour cause, elle qui fait vendre !

En français, l’expression est traduite, par  » tailles de courtoisie « , mais on l’emploie très peu. Le « Vanity Sizing » est une combine utilisée par les marques pour flatter l’ego de leurs client(e)s. Elles diminuent leurs tailles avec le temps, de façon à créer l’illusion de minceur chez le consommateur.

Le principe : Ego flatté =achat assuré!

Ce procédé qui permet aux consommateurs de croire qu’ils sont plus minces qu’ils ne le croient, est en réalité une la manipulation des tailles indiquées sur les étiquettes . C’est un phénomène qui flatte les client(e)s mais qui conduit au changement des standards de tailles.

Mais pour vous donner un exemple plus concret de l’évolution des morphologie des tailles, on dit que  dans les années 1950, Marilyn Monroe portait une taille 12. Désormais, une femme qui a une morphologie équivalente, porte désormais une taille 6.

C’est aussi une tactique des marques pour tenter de couvrir l’obésité notamment en Amérique du Nord. Les enseignes font des vêtements jusqu’à deux tailles plus grandes que ce qui est écrit sur l’étiquette.

Ainsi voici un extrait de discussion entendu entre une vendeuse et une cliente dans une boutique :

Cliente : « J’avais l’habitude de prendre une taille 14, mais maintenant je rentre une taille 8. C’est sans doute parce que je suis passé à un paquet de pain aux 12 céréales au lieu des trucs réguliers  »

Amie de la cliente: « C’est peut-être à cause du Vanity Sizing? »

Vendeuse: « Non, c’est certainement le régime ».

Bref, il faut faire sentir la cliente qu’elle est MA-GNI-FI-QUE, et le tour est joué!

Mais c’est aussi un problème à l’inverse pour les morphologies plus mince, qui peinent désormais à trouver un vêtement qui ne soit pas trop grand. Afin de palier à ce problème les fabricants à cours de taille, ils ont crées la taille 0, 00 et 000.

Vernis

Le vernis est devenu un accessoire de mode :

On vend des vernis pour les femmes, pour ados, et même pour animaux. Cependant, derrière ces jolies couleurs glossy, se cachent en vérité des cocktails parfois toxiques, et nocifs pour la santé.

Le vernis, un cache-misère séduisant.

Il s’agit d’une solution résineuse que l’on peut appliquer sur des vieux meubles en manque d’amour, ou encore on peut s’en appliquer au bout de mains. Il parait que ça rend irrésistible!

Mais ce qui est moins attrayant, c’est la composition de ces jolis flacons. Un vernis est composé d’un ou plusieurs liants, de plastifiants et de solvants-diluants. Que ce soit pour les meubles, ou pour le bout de doigts, les vernis forment une couche transparente, épaisse, dure. On en trouve qui donnent un aspect mat, satiné ou brillant.

On le dit moins souvent, et moins fort, mais la plupart des vernis sont toxiques, pour l’environnement et pour la santé :

Pour éviter le cocktail nocif, il faut vérifier les étiquettes. Désormais, il existe de plus en plus de vernis plus naturels. Pour qu’un vernis soit non nocif, il faut absolument que leurs compositions soient dépourvues de dibutylphtalate, de toluène, de formaldéhyde, ou de xylène.

Alors vérifier les micros étiquettes pour éviter de vous pourrir la santé! 

Si vous ne savez pas vers quelle marque vous tourner, je parle ici d’une marque dont la composition des produits est naturelle à plus 85 %.

Cependant, il faut rester attentif. Car même si les marques se vantent parfois de proposer des vernis « naturels », il s’agit parfois simplement d’un argument marketing. Pour qu’un vernis soit dit naturel, il faut que 85 % de sa composition soit naturelle. Mais, ce pourcentage, ne garantit pas leur innocuité ni, celle des 15 % restants.

Pourquoi les vernis sont dangereux pour la santé?

Tout simplement, car l’ongle n’est pas imperméable. Donc ce qu’on dépose à la surface de l’ongle peut se retrouver dans le lit de l’ongle. Cette zone située sous l’ongle est très vascularisée, alors le vernis peut se retrouver ensuite le sang!

De plus, lors de l’application du vernis, il n’est pas rare de déborder sur la peau avoisinante. Un débordement lors de la pose de vernis, et hop, ce sont des molécules peuvent être absorbées par la peau. De plus, nos mains sont en contact constamment avec ce que fait fait et ce que l’on mange… Sans parler des gens qui se rongent les ongles.

Enfin, une grande partie des constituants du vernis sont volatils. Cela signifie qu’ils émettent des molécules que l’on inhale. Après inhalation, ces molécules franchissent la barrière pulmonaire, elles peuvent causer des irritations des voies respiratoires et, là encore, passer dans le sang.

Bref, on vous conseille d’ouvrir de bien choisir votre marque, et de toujours vous appliquer du vernis, dans un endroit aérer!

Werner Sobek

Werner Sobek est un chercheur, ingénieur et architecte allemand:

Werner Sobek est né en 1953 à Aalen, dans le Württemberg (Allemagne). De 1974 à 1980, il suit des cours d’ingénierie structurelle et d’architecture à l’université de Stuttgart, où il devient assistant de recherche de 1980 à 1986, tout en travaillant pour le cabinet de Skidmore, Owings et Merill à Chicago.

Sobek soutient son doctorat à Stuttgart en 1987, puis travaille pour la fameuse société d’ingénierie Schlaich, Bergermann und Partner, toujours à Stuttgart. Il devient professeur à l’université de Hanorve en 1991 et fonde sa propre société d’ingénierie l’année suivante.

Il accepte ensuite un poste d’enseignant à l’université de Stuttgart en 1995. Suivant les traces de Frei Otto, pionnier des techniques de construction légère, il devient directeur de l’Institut de structures légères et du Laboratoire central d’ingénierie structurelle.

En 2000, il succède à Jörg Schlaich à la présidence de l’Institut de conception et de construction. Son projet de réunion de ces deux institutions renommées a conduit à la création de l’Institut de structures légères et de construction (ILEK), qui contribue à consolider la longue tradition de recherche dans le domaine de l’ingénierie structurelle à l’université de Stuttgart. Se forgeant rapidement un style propre, il concentre ses recherches sur l’application du savoir-faire et des réalisations provenant de domaines high-tech tels que le voyage spatial, l’aviation, la construction automobile et la production textile .

 

Les spécialités de Werner Sobek:

Le bureau d’études de Werner Sobek, fondé en 1992, emploie désormais plus de 200 collaborateurs. Il conçoit tous types d’ouvrages et utilise tous types de matériaux. Ses domaines de spécialité sont la construction d’immeubles, la planification de façades, les constructions spéciales et la planification de bâtiments durables.

Il est l’inventeur : le bâtiment « triple zéro » (zéro énergie, zéro émission, zéro déchet). Il concrétise ce concept en construisant la maison B10. C’est une grande première dans le monde de l’architecture. Son travail tourne autour des maisons à énergie positive. C’est à dire des habitats qui produisent plus d’énergie qu’ils n’en consomment.

Des habitats recyclables et économes en énergie grâce à la domotique et des matériaux performants :

Les marques de fabriques de Werner Sobek :

L’ensemble des matériaux et composants utilisés sont réutilisables ou recyclables.

Dans la mesure du possible, il construit des bâtiments zéro déchet. C’est à dire, qu’il intègre lors de la conception le fait que les bâtiments, seront un jour démontés, pour être remontés ailleurs ou recyclés. Les éléments qui constituent l’habitat, ne sont pas coulés dans le béton.

Et pour minimiser l’impact environnemental de ses constructions, il choisit des matériaux performants.

Les bâtiments disposent d’excellents systèmes d’isolation, de façon à pouvoir minimiser les besoins en chauffage. Il accorde également une grande importance à la transparence et à la lumière. Le verre est un des ses matériaux de prédilection.

L’éclairage artificiel à l’intérieur de la maison est assuré par des LED à intensité variable.

Le bâtiment produit de l’énergie. C’est à dire que Werner Sobek équipe les toits des bâtiments de de panneaux solaires photovoltaïques. Ainsi, cela permet de couvrir les besoins énergétiques de l’habitat.

Werner Sobek utilise la technologie pour réduire la consommation énergétique des bâtiments qu’il conçoit.

Enfin, les habitants peuvent contrôler l’ensemble des paramètres de confort de la maison grâce à la technologie. Ainsi, ils peuvent contrôler même à distance,  intensité de l’éclairage et du chauffage, etc. via leurs Smartphones ou via une interface installée au sein de la maison.

 

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Zero Waste

Le projet Zero Waste (popularisé à travers le livre de Béa Johnson) se base sur le principe des 5 R.

Refuse

C’est à dire refuser ce dont on n’a pas besoin.

C’est le plus compliqué. Je suis incapable de refuser un prospectus dans la rue, la culpabilité me fait tendre la main pour tout et n’importe quoi, ce qui fait qu’en fin de journée je me retrouve avec 5 cours de Gym gratuits et 15 % de réduction pour l’achat d’une cuisinière, qui vont finir à la poubelle. Ce principe est applicable aussi à la boite aux lettres, où les services de livraison à domicile et aux circulaires sont distribués de façon quotidienne.

Reduce

C’est-à-dire réduire ce dont on a besoin et qui ne peut pas être refusé.

Il s’agit de réduire sa consommation en général en s’adaptant à ses besoins réels. Est-ce que j’ai besoin de cette dixième robe noire? Bon, en général la réponse est oui, on a toujours besoin d’une robe noire, mais vous voyez le truc. Il faut éviter les achats compulsifs et pour cela s’éloigner au maximum de tout ce qui incite à la consommation, en gros la télé et les centres commerciaux.

Enfin, l’acte de réduction passe par l’achat de produits en vrac, sans emballage.

Reuse

C’est à dire réutiliser.

Il faut réutiliser ce qui ne peut pas être refusé ni réduit. Par exemple les sacs en plastique réutilisables peuvent être refusés dans les magasins et remplacés par des sacs en tissu. Vous voyez la subtilité?

Le principe est de privilégier les contenants réutilisables, en tissu ou en verre, d’acheter d’occasion, de réparer d’anciens objets, etc.

Recycle

Certaines choses ne peuvent pas être refusées, réduites ou réutilisées, par exemple les bouteilles en plastique. Dans ce cas il faut les recycler. Rien de bien compliqué et en plus ça permet de fabriquer des polaires et d’habiller nos instituteurs.

Rot

C’est à dire composter le reste

Si entasser ses épluchures et autres déchets organiques est assez simple pour les heureux propriétaires d’un jardin, c’est un peu plus compliqué pour ceux qui habitent en appartement… Les plus courageux peuvent adopter des vers de terre.