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5 astuces pour une garde-robe responsable

Cette semaine je me suis rendue à une conférence sur l’écosystème de la mode responsable au Canada. Ça m’a donné envie de rédiger un article sur les bonnes habitudes à prendre pour consommer les vêtements de façon éco responsable.

Voici donc une petite liste de cinq choses auxquelles on ne pense pas de façon systématique, mais qui mises bout à bout peuvent faire une différence.

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1.Tout d’abord, pensez à raccommoder, à remettre vos vieux vêtements en état.

On oublie souvent, mais le meilleur achat c’est celui que l’on ne fait pas. Aujourd’hui on a trop tendance à se débarrasser de nos vêtements pour la moindre petite chose. Autre fois il était d’usage de raccommoder ses vêtements. Aujourd’hui avec la fast fashion, les vêtements coûtent si peu cher, que nous optons parfois pour la faciliter, en préférant en acheter des nouveaux, plutôt que de repriser ses vêtements. Désormais, suite à un accrochage, un trou ou une déchirure tenter plutôt de réparer ou de faire réparer vos vêtements plutôt que vous de vous en départir.

Prendre l’habitude de repriser votre vos vêtements peut paraître anodin ou désuet, mais ce sont ces petits gestes qui peuvent faire la différence.

Pour faire durer nous vertement plus longtemps il faut également en prendre soin, lorsqu’on les porte bien sûr, mais aussi lorsqu’on les lave. D’ailleurs à ce sujet j’y ai consacré un article : « Faites durer vos vêtements plus longtemps! » que vous pouvez lire ici.

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2. La deuxième habitude à prendre c’est d’acheter seconde main.

Aujourd’hui nous prenons conscience petit à petit que nous vivons dans un monde fini et que les ressources de notre planète sont limitées. Acheter des vêtements en boutique de seconde main c’est limiter la consommation de produits neufs. Acheter des vêtements dans une logique de récupération c’est s’opposer à la consommation « kleenex » jetable. C’est aussi utiliser les vêtements déjà produits. C’est donc cessé d’encourager la société de consommation qui a des conséquences désastreuses.

Acheter des vêtements de seconde main c’est contribuer à limiter son impact écologique. En effet, les achats de vêtements de seconde main permettent de contribuer à limiter les impacts environnementaux et sociaux de la filière textile. Ils permettent d’encourager et de développer un système qui prolonge la durée de vie des vêtements.

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3. La troisième habitude à intégrer dans sa routine d’achat c’est de prendre en considération les étiquettes des vêtements et particulièrement les étiquettes de composition.

Selon la loi sur l’étiquetage des textiles tout produit textile doit être identifié à l’aide d’une étiquette. Les professionnels appellent l’étiquette de composition. La plupart du temps elle se trouve à l’intérieur du vêtement souvent sur le côté gauche. On la retrouve également parfois sur le collet ou dans le dos. Cette étiquette nous permet de prendre connaissance de la fibre ou des fibres utilisées pour la conception dudit vêtement. Elle peut également mentionner les éventuelles certifications qui attestent  la provenance et de l’origine de ces textiles.

Pensez de façon générale à privilégier les fibres naturelles et certifiées. Je vous ferai prochainement des articles plus détaillés sur chacune des fibres textiles ainsi que leurs impacts respectifs sur la planète. Également je vous présenterai les différentes certifications et labels afin que vous ayez une meilleure idée de ce que ces petits logos signifient réellement.

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4. La quatrième astuce pour avoir une garde-robe responsable c’est de bien connaitre vos priorités.

L’industrie textile est complexe.

Un vêtement comporte de nombreuses étapes : le vêtement est conçu. Ensuite il faut considérer la matière : Qui l’a produit et dans quelles conditions. Quel est l’impact environnemental de cette production? Ensuite il y a le tissage et la teinture. La teinture peut également avoir de lourds impacts sur l’environnement et les travailleurs lorsque celle-ci utilise des produits chimiques. Ensuite, il faut prendre en considération le lieu de production et d’assemblage ainsi que l’éventuel cout environnemental que le transport implique.

Bref au sein du processus de production d’un vêtement, il y a plusieurs étapes ou -l’environnement, les droits de l’Homme, ou le bien-être animal, peuvent être bafoués.

Aujourd’hui il n’est pas si simple de trouver un vêtement 100 % sans fibre synthétiques, certifié biologiques, équitable. Alors si vous ne voulez pas faire de compromis sur l’impact environnemental et social des vêtements que vous achetez il va falloir y mettre le prix.

Cependant, peu de consommateurs sont près aujourd’hui à payer le prix juste. Ainsi, pour arriver à un prix raisonnable la plupart du temps les compagnies font des compromis.

Alors, si ton budget ne te permet pas d’acheter 100% éthique, il va falloir faire des sacrifices. Alors pour faire un choix aligné avec vos valeurs il faut connaître ses priorités.

  • Si votre priorité se trouvait être les droits de l’Homme, privilégiez les achats certifiés équitables.
  • Si votre priorité est de réduire et de ne pas contribuer à la création de déchets, préférez les vêtements en fibres naturelles. Ces derniers sont biodégradables.
  • Également si vous voulez contribuer à la réduction des insecticides et des pesticides pour l’environnement et la santé, achetez des vêtements certifiés biologiques.
  • Si votre priorité est le respect et le droit des animaux acheter Vegane.
  • Si vous voulez préserver les lots acheter des vêtements temps de façon naturelle ou certifiée Oeko — tex 100.
  • Enfin, si votre priorité et votre motivation et de soutenir l’économie locale privilégier des vêtements faits au Québec, si vous résidez dans cette région. Si ce n’est pas le cas, privilégiez des vêtements faits près de chez vous. Si vous vivez dans un pays francophone et développé probablement que les droits des travailleurs en place dans votre pays vous permettront de vous assurer que la personne qui a travaillé pour faire votre vêtement est rémunéré correctement.

5. Enfin la dernière astuce que je pourrais vous donnez pour s’assurer de faire des achats responsables c’est de s’informer continuellement.

Comme je vous l’ai mentionné un peu plutôt, l’industrie du vêtement est une industrie complexe et polluante.

En effet elle engendre des problèmes au niveau de:

  • La contamination des océans. En effet, j’y reviendrai sans doute dans un article plus détaillé, mais les fibres synthétiques libèrent tout au cours de l’utilisation des microplastiques. Ces derniers sont si petits qui ne sont pas filtrés par les usines de traitement de l’eau. Ainsi, ils se retrouvent donc dans nos cours d’eau et dans les océans.
  • Une autre des problématiques majeures liées à la production et la consommation de vêtements est l’ utilisation massive et destructrice d’insecticides et de pesticides. Ces derniers sont notamment largement utilisés dans la culture du coton.
  • Un autre problème engendré par l’industrie textile et la contamination des cours d’eau par les usines de teinture.
  • Les deux problématiques mentionnées ci-dessus, à savoir la teinture et l’utilisation pesticides et insecticides font de nos vêtements des produits toxiques. Ils contiennent métaux lourds, phtalates, NPEs, PFCs,… qui peut avoir des conséquences notamment sur notre santé.
  • Et aussi sur la santé des travailleurs. La délocalisation de la production dans des pays en voie de développement engendre souvent la violation des droits de l’Homme par les manufacturiers.

Ainsi il y a énormément à apprendre sur chacun de ces sujets. C’est pourquoi il est bon de prendre l’habitude de s’informer régulièrement. Pour cela, faites des recherches. Abonnez-vous à la page Facebook du blog. Enfin, pensez à rejoindre le groupe de discussion sur la mode éthique!

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25 choses que j’ai apprises en 25 ans

Aujourd’hui j’ai 25 ans, un quart de siècle. Ça peut paraître un peu égocentrique de publier un article sur ça, j’aime bien faire des bilans. Alors voici mon bilan du quart de siècle !

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1. J’ai appris à pardonner aux autres et à moi-même.

Je n’ai jamais été très rancunière mais si on trahit ma confiance d’une façon ou d’une autre je n’aime pas la donner à nouveau. En gros, je suis tolérante, mais que jusqu’au point de rupture. Je crois que c’est un peu normal. Quand on a eu mal quand on a été blessé par quelque chose, on ne veut pas arriver revivre ça. Alors on se protège. Cependant, apprendre à pardonner c’est permettre à l’autre de pouvoir se libérer d’un poids mais aussi se libérer soi-même. Alors bien que ce ne soit pas un apprentissage facile c’est un apprentissage utile.

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2. Être seul c’est correct aussi.

Ces 10 dernières années, j’ai eu trois relations amoureuses qui ont été ponctuées par de longs mois de célibat. J’ai appris qu’être célibataire ce n’est pas être seul. J’ai aimé le fait d’avoir voyagé seule et la sensation de liberté que cela procure. Être seul, c’est au contraire un superbe moment pour apprendre à se connaître, mais aussi pour apprendre à savoir ce que l’on aime vraiment.

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3 Écouter son intuition et se faire confiance.

Parfois ce n’est pas simple de s’écouter. Dans la vie on peut vite être tentés par des choses qui ne nous conviennent pas.

Par exemple, lors de mon bilan de 2017 je vous ai confié à quel point ça avait été difficile de refuser un emploi qui pour autant mais proposait un meilleur salaire que celui accepté par la suite.

 

 

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4. L’argent ne fait pas le bonheur et n’achète pas tout.

Oui cette phrase est bateau. Oui on nous la répète depuis des années. Cependant, dernièrement en rentrant dans le monde professionnel je me suis aperçue à quel point l’argent contribuait peu au bonheur.

Je me suis aussi rendu compte de cela grâce à mon entourage. En effet, parmi mes amis les mieux payés, ceux qui font des salaires annuels à 6 ou 7 chiffres, et bien peu d’entre eux sont vraiment heureux. Ils travaillent énormément… On peut de moment à consacrer à leur copain ou copine, et profitent à peine de leurs 2 semaines de congés annuels, dans lesquels ils prévoient 150 activités par jour, ou même titre que lors de leur jour hebdomadaire de repos, car il faut profiter de ces jours off !

Bref, j’ai constaté à quel point avoir une demeure ravissante ou le faite d’avoir la voiture de l’année ne leur procurait pas tant de bonheur que cela. Mes amis qui ont les plus gros salaires sont loin d’être les plus épanouis. Je ne dis pas que l’argent mène au malheur… Mais les nombreux sacrifices qu’ils font pour leur travail nuisent à leur épanouissement personnel.

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5. On apprend de ces erreurs.

Même les épreuves pas cool qu’on traverse nous apportent quelque chose de bon. En effet, une fois que l’on est passé au travers, ça forge notre caractère. Et puis, on apprend à ne pas refaire 2 fois les mêmes erreurs. De plus, c’est grâce aux obstacles et aux épreuves de la vie que nous arrivons à ressentir de la joie. Sans les coups durs, l’existence n’aurait aucun sens, et nous n’aurions pas de repère pour apprécier le bonheur.

 

 

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6. Acheter moins, mais mieux.

J’ai longtemps été une acheteuse compulsive. Sans aucun besoin, je partais faire les boutiques. Pour moi c’était comme un passe-temps. J’étais alors partisane plutôt du coté inverse du tout : acheter plus pour pas très cher. Alors j’achetais des vêtements et accessoires de moins bonne qualité, mais j’avais la possibilité de varier souvent ce que je portais. Désormais, je préfère investir un peu plus dans des pièces plus chères, mais qui dureront plus dans le temps… Les vêtements qui boulochent ou qui se déforment après quelques semaines, c’est plus trop mon truc.

 

 

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7. La vie est trop courte pour ne pas oser faire ce que l’on veut.

Que ce soit au niveau des piercings, tatouages, de la couleur de ses cheveux ou de son choix de travail, faites ce qui vous fait plaisir ! Il en va de même avec les habits qu’on porte. L’important, c’est d’être heureux.

 

 

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8. Profiter des gens tant qu’ils sont encore là.

On a qu’une vie, et on ne connait pas de quoi demain sera fait.

Profiter de l’instant présent… Et vivre comme si demain n’existait pas ! Ou presque

J’ai un peu trop appliqué ce truc-là… J’ai presque même abusé du fait de faire la fête. Notamment en voyage, où avec une amie chaque soir, on répétait « on dormira quand on sera morte ! » C’était un peu notre mot d’ordre. Et si cela est facile à appliquer lorsqu’on voyage ça n’est pas toujours aussi simple à mettre en pratique dans notre routine quotidienne…

Mais vivre comme s’il n’existait pas de lendemain c’est aussi une façon de vivre sans regret.

 

 

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9.Tout commence avec une graine semée… incluant notre propre vie !

Dans la vie, on récolte ce que l’on sème, c’est immanquable ! Si je sème des carottes dans mon jardin, je ne récolterai pas des concombres ! Regardez votre vie et voyez ce que vous récoltez. Vous n’aimez pas les résultats ? Semez autre chose… et prenez bien soin des pousses, arrosez-les et aimez-les.

 

 

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10. Chaque être humain est différent.

On a tous eu une éducation différente, et on l’a tous intériorisée à notre manière… Alors il est probable dans ta vie que quelqu’un te fasse du mal, mais que cela n’était pas intentionnel.

En gros, on n’a pas tous les mêmes valeurs, et puis c’est correct ainsi.

 

 

11. Il y aura toujours quelqu’un pour critiquer ce que tu fais.

L’unanimité, ça n’existe pas, enfin très rarement. Alors on ne peut pas plaire à tout le monde. Soyez vous-même en accord avec votre moi intérieur et ce sera bien suffisant.

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12. Il ne faut pas hésiter à couper les personnes toxiques de sa vie.

Pour moi, ça a été difficile. Je l’avoue. Ma meilleure amie de l’époque l’était, et je vous en ai parlé dans cet article. Ça m’a pris un moment avant de m’en rendre vraiment compte. Mais une fois que j’en ai eu conscience, j’ai fait en sorte de ne plus avoir à faire à cette personne. Comme je vous le disais plus haut, on n’a qu’une vie, et on ne sait pas quand sera la fin, alors pour vivre à fond, mieux vaut s’entourer de personnes positives ! Ça ne sert à rien de se pourrir la vie avec de la négativité.

Si vous connaissez des personnes qui ne vous apportent plus de négatif que de positif, virez-les de votre vie.

 

 

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13. L’environnement est un écosystème fragile, préservons-le !

On ne le répétera jamais assez : la planète va mal. J’ai la chance d’avoir des grands-parents qui ont un appartement dans les Alpes. Depuis mon enfance, et en seulement 25 ans, j’ai pu constater de mes propres yeux, la fonte des glaciers…

Et la mauvaise nouvelle, c’est que nous sommes les premiers responsables.

Quelques petits gestes simples peuvent faire une différence. Pensez à trier vos déchets, limiter vos consommations…

 

 

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14. La seule personne capable de vous rendre heureuse, c’est vous même.

Il n’y a rien de mal à penser à soi en premier et de prendre soin de soi. Sur ce point je rejoins beaucoup, les philosophes comme Sartre, partisans du fait que nous sommes les seuls responsables de notre état physique, mental et spirituel. Arrêtez d’attendre que votre copain ou copine vous rende heureuse, soyez-le ! Arrêtez d’attendre, et faites les changements nécessaires pour l’être.

 

 

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15. Il n’y a rien de plus beau que la simplicité.

Le bonheur se trouve dans les choses hyper simples. Comme je vous le disais dans mon article bilan 2017 j’ai redécouvert et appris à aimer le camping. Être en pleine nature avec des préoccupations aussi simple que faire le feu, manger, et partager de bons moments entre amis ou en amoureux, est pour moi une des choses qui me rend heureuse.

Il faut identifier et cultive ces choses simples mais qui nous font du bien.

Ça peut être aussi extrêmement anecdotique : il peut s’agir d’un jus d’oranges pressées ou d’un sourire sur le visage d’un enfant ! Peu importe. L’essentiel c’est de savoir quelles sont les choses simples de la vie qui vous rendent heureux ou heureuse.

 

 

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16. Les expériences apportent plus que les biens.

Ça rejoint un peu le point 4  » l’argent n’achète pas tout « . Mais une fois que quelqu’un décède, ou encore que vous vous séparés de votre ancien copain ou copine, vous vous apercevrez que le tee-shirt ou n’importe qu’elle autre objet qu’il vous a offert sera un objet comme un autre. Ce qui restera de votre relation, se sont les souvenirs, les fous-rires, les voyages, les moments partagés…

 

 

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17. Je suis privilégiée.

Dis comme cela, ça peut paraitre prétentieux. Et pourtant c’est juste un constat. En voyageant, je me suis rendu compte de la chance que j’avais… J’ai été élevé dans une famille, qui fait partie de la classe moyenne.

J’ai eu la chance de grandir, d’étudier, de voyager et surtout mangé à ma faim chaque jour de ma vie. Tous les humains sur terre n’ont pas cette chance, et c’est important de savoir exprimer sa gratitude envers la vie !

 

 

 

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18. Relativiser : c’est pas si pire ! (comme on dit ici au Québec)

C’est important, je crois, de remettre souvent les choses à leurs justes valeurs… Face à l’adversité, il faut aussi dédramatiser la situation : dans la vie il n’y a que la maladie et la mort qui soient de réels problèmes; tout le reste ce n’est pas si grave.

 

 

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19. Il y a très peu de problèmes personnels, uniques.

Quel que soit votre problème, il y a des chances que des milliers de personnes aient le même problème que vous. Et il y a des chances qu’au moins une de ces personnes soit beaucoup plus proche de vous que vous ne pensez. Le problème est que nous pensons que nos problèmes sont uniques et nous supposons que nos proches ou nos amis ne comprendront pas. C’est d’ailleurs l’une des raisons pour lesquelles nous n’en parlons pas.

Une rupture, un congédiement, un décès, un échec scolaire, des impôts compliqués, une grossesse non planifiée, une colocataire cinglée, une contravention salée, des dettes… Toutes ces choses font partie de la vie. Et pas que de la votre ! Alors il faut savoir en parler aux bonnes personnes. Celles qui vous aideront à passer au travers de ces épreuves, même si elles apparaissaient parfois comme des montagnes infranchissables.

 

 

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20. Dépensez votre énergie à exploiter vos points forts, plutôt qu’à améliorer vos faiblesses.

Quand nous pensons a nous-mêmes, beaucoup d’entre nous avons tendance à essayer de travailler à corrigé nos faiblesses. Ce faisant, nous limitons le temps que nous passons à exploiter nos points forts. Je ne dis pas d’ignorer les domaines dans lesquels vous avez besoin de vous améliorer, mais chaque fois que je me concentre l’essentiel de mon énergie sur mes points forts (sans totalement ignorer d’autres domaines), je réalise de bien meilleurs résultats, même avec mes faiblesses.

C’est une question de motivation et de maintien d’une pensée positive.

 

 

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21. Vis ta vie, indépendamment de ce que pensent les autres.

Même si nous affirmons souvent le contraire, le regard des autres nous importe, car nous voulons être appréciés. Nous vivons et agissons en guettant le moindre signe approbateur de la part des autres, pour pouvoir avancer. On veut des likes sous nos photos instagram,

D’abord, parce que quoi que vous fassiez, il y a aura toujours quelqu’un qui trouvera à redire de vos actes, aussi louables soient-ils.

 

 

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22. La vraie richesse ce sont les gens qui t’entourent.

Encore une fois, ça rejoint encore un peu le point 4  » l’argent n’achète pas tout », mais je trouve que c’est tellement pertinent. Qu’ils s’agissent d’amis, de votre amoureux ou de votre famille, c’est toutes ces personnes qui font qui vous êtes aujourd’hui, alors choisissez-les bien.

 

 

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23. Toutes les occasions de voyager sont bonnes à prendre.

Découvrir le monde et de nouvelles cultures est tellement enrichissant, alors pour quoi s’en priver ?
Pourquoi attendre d’être retraité pour en profiter ?

 

 

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24. Sortir de votre zone de confort est tellement enrichissant.

Qu’il s’agisse de partir en voyage seul, de vaincre ces phobies, ou de sauter en parachute, l’essentiel c’est de se lancer… Peut-être que vous vous découvrirez une nouvelle passion !

 

 

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25. On a le droit de dire non.

Pendant longtemps et encore aujourd’hui dans certaines situations j’ai du mal à dire non. Et c’est comme cela que je vais conclure ces 25 choses; il me reste tant à apprendre !

Et vous, qu’est ce que vous avez appris en grandissant ?

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J’ai testé pour vous : le swap de vêtements

Trop petit, trop court, trop évasé, trop grand, trop démodé… Les raisons pour se départir de vêtements sont nombreuses.

Mais cette fois, plutôt que de donner les miens à des organismes de bienfaisance j’ai décidé de les échanger lors de l’événement Swap Party qui avait lieu dans le cadre du Festival Mode et Design de Montréal.

L’événement avait lieu à la Maison du Développement Durable. Le concept du swap était simple chaque morceau de vêtements apporté permettait de pouvoir échanger et repartir avec un autre morceau de vêtements.

Je me suis prêtée au jeu et j’ai testé l’expérience. J’avais donc sélectionné huit vêtements. Tous étaient encore de bonne qualités et pouvez donc être échangés contre d’autres.

On trouvait dans mon lot de départ 8 articles : 1 tee-shirt, 2 chemises, 1 jupe, 1 robe, 1 trench de pluie, 1 pull et 1 chemisier…

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Et je me suis rendue avec ce kit à l’événement. À l’entrée une personne était en charge de s’assurer que le vêtement ne présentait de signe majeur d’usure, et de comptabiliser le nombre de vêtement remis. Une autre personne m’a remis un petit papier avec le nombre de vêtements que je pouvais échanger.

À 14 h, lors de l’ouverture des portes du swap, les portants des vêtements ont vite été pris d’assaut.

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Disons-le tout de suite je suis quand même assez difficile en matière de goûts vestimentaires. C’est pourquoi, j’ai préféré repartir avec moins de vêtements, mais avec des morceaux de linge qui me plaisent vraiment… Donc je n’ai pas échangé tous mes morceaux de vêtements contre des « nouveaux ». Mais j’ai tout de même réussi à trouver mon compte avec cet échange de vêtements. Et je suis reparti avec 4 nouveaux morceaux. J’ai trouvé un jeans noir type boyfriends ou mom’s jeans, un chandail gris en maillage tricoté main, une camisole en maille argentée, et mon morceau préféré un chandail noir avec un très joli maillage.

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Probablement que neufs ces vêtements m’auraient coûtés une centaine de dollars, si je les avais achetés en boutique.

C’est donc ça l’avantage du swap de vêtements celui de pouvoir renouveler sa garde-robe sans y laisser un sou.

C’était également plutôt marrant aussi de voir que les pièces que j’avais moi-même apportées qui sont des pièces que pour la plupart j’avais peu portées ont trouvés preneuse.

J’ai aperçu une jeune femme prendre le morceau que j’avais apporté. Si je l’ai vu, c’est qu’elle s’est vraiment très enthousiasmée à l’idée d’en être à la nouvelle propriétaire. En effet, lorsqu’elle a aperçu le petit chemisier blanc que j’avais apporté elle s’est exclamée, à haute voix « wow il est écœurant !!  J’en cherchais un de même depuis longtemps. » C’était drôle! C’est vraiment à cause de la réaction très enthousiasme de cette fille que j’ai vu qu’elle serait la nouvelle propriétaire.

Enfin les vêtements qui n’auraient pas trouvé preneur lors de cet événement seront remis à Certex.

Pour ma part, tout les vêtements que j’avais sélectionné on trouvé preneur. C’était assez cool de voir l’impact direct de l’évènement. Car environ 1 heure après le début de l’événement les portants étaient pas mal dégarnis.

Enfin, si vous avez manqué cet événement sachez que ce genre d’initiative est de plus en plus populaire à Montréal, mais aussi au Québec.

D’ailleurs récemment dans un article je vous ai parlé du Swhap Club. Le principe est assez similaire…  Le Swhap Club organise à Montréal des événements très régulièrement tout au long de l’année.  Donc plus de raison de dépenser une fortune pour renouveler sa garde-robe

Si vous n’habitez pas à Montréal, sachez qu’il existe de nombreuses autres initiatives pour acheter seconde main ou pour échanger des affaires.

Par exemple le groupe Facebook Troc moi ça ou encore le groupe Les pros Du Troc qui compte près de 100 000 membres. Sur le groupe on peut échanger des vêtements, mais aussi des meubles, des jeux vidéo et toutes sortes d’articles.

 

 

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5 raisons de participer à l’évènement Swap Party

La semaine prochaine a lieu un échange de vêtements organisé dans le cadre du Festival mode et design de Montréal.

L’événement Swap Party a lieu jeudi prochain, le 23 août 2018 à la Maison du développement durable (située 50 rue Saint-Catherine O). C’est gratuit et ouvert à tous!

Cet événement est organisé en partenariat avec Global Fashion Exchange.

Global Fashion Exchange (GFX) est une plate-forme mondiale et un cabinet de conseil qui promeut la durabilité dans l’industrie de la mode. Pour ce faire GFX organise des évènements et forums inspirants, pour les consommateurs et les marques. Le GFX a également mis en place des « clothing swap events » ou en français, des événements d’échange de vêtements à travers le monde entier. D’ailleurs depuis 2013, GFX a touché plus de 850 millions de personnes sur les sept continents, en collaborant avec divers partenaires, notamment les Nations Unies, pour détourner de la décharge près de 110 tonnes de vêtements.

Voici donc 5 bonnes raisons qui vous inciteront je l’espère à venir échanger vos vêtements avec moi et de nombreuses autres personnes jeudi prochain.

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1. Participer à un échange de vêtements pour contribuer à la réduction des déchets :

Chaque année, plusieurs millions de tonnes de textile sont jetées dans les dépotoirs. En effet, selon RECYC-Québec, au Québec chaque personne jette en moyenne 24 kg de vêtements par an, soit 190 000 tonnes. Le pire dans tout cela c’est que moins de 40 % du textile québécois est à ce jour récupéré. C’est pourquoi ce type d’événement qui favorise le réemploi est nécessaire. Les événements d’échange de vêtements permettent de contribuer directement à la réduction des déchets, puisque le swap est basé le troc. Le principe est l’échange : on échange un morceau de vêtement pour en obtenir un autre.

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2. Participer à un événement d’échange de vêtements vous permet également de sensibiliser votre entourage à l’écoresponsabilité.

L’idéal c’est d’inviter des amis ou des membres de votre famille à participer à l’événement. En effet, dans le placard de vos amis il y a bien souvent des morceaux de linge qui ne leur servent plus, mais qui pourrait totalement faire votre bonheur. Alors, pourquoi ne pas en profiter?

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3. Participer à un swap pour renouveler votre garde-robe.

Lire aussi : 10 conseils pour désencombrer son dressing

Participer un échange de vêtements ça signifie tout d’abord choisir parmi sa garde-robe quelles sont les choses qu’on ne porte pas et qui sont encore en état d’être porté.

Participer à un échange de vêtements c’est aussi faire le grand ménage dans sa penderie.

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4. Les déchets des uns font le bonheur des autres

Les habits que tu ne portes pas seront sans doute des trouvailles aux yeux de quelqu’un d’autre.

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5. Enfin participer à un swap de vêtements c’est aussi dénicher des trouvailles gratuites.

C’est la gratuité qui fait la popularité de ce genre d’événement. L’accessibilité fait que chacun y trouve son compte. Tu verras, c’est vraiment génial la sensation de pouvoir repartir avec des nouveaux vêtements sans pour autant avoir dépenser un seul dollar.

Alors on s’y voit le 23 août prochain?

Pour participer, rien de plus facile. Inscrivez-vous à l’avance en envoyant un courriel à l’adresse info@feminternational.org en inscrivant votre nom et le nombre de vêtements apporté. Puis emmenez vos vêtements sur place le 23 août de 11h à 13h30. Vous pouvez retrouvez toutes les informations relatives au Swap Party sur Facebook.

 

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Reformation une marque de mode durable arrive au Canada

La marque écolo Reformation de la West Coast prévoit d’ouvrir un magasin au Canada.

La marque Reformation est née à Los Angeles. Elle est notamment connue pour ses créations féminines et d’inspiration vintage.

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Reformation est appréciée par les célébrités et les fashionistas pour ces créations à l’allure chic et rétro.

On peut par exemple voir Rihanna, Alexa Chung, Emily Ratajkowski, Lena Dunham ou Jeanne Damas porter des habits Reformation.

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Mais Reformation se démarque également pour son engagement en faveur du développement durable.

Les pièces proposées par l’enseigne sont pour la plupart fabriquées à partir de matériaux durables :

La plupart des tissus des vêtements Reformation sont fabriqués en viscose, une fibre synthétique fabriquée à partir de matières végétales renouvelables. Environ la moitié de sa fibre de viscose est fabriquée par la société autrichienne Lenzing, l’autre moitié provient d’un fabricant indien. Les fournisseurs de l’enseigne sont choisis. La matière première de la viscose est le bois. les fibres utilisées par les fournisseurs proviennent de plantations forestières durables et certifiées par des organismes indépendants de renom dans l’industrie  (certifiée FSC®, à savoir Forest Stewardship Council, ou PEFC®, Pan European Forest Certification)

Reformation utilise aussi plusieurs autres fibres à la mode tel que le TENCEL ™ Lyocell, le lin et les fils Recover® fabriqués à partir de vieux vêtements et de déchets de tissu. En effet, près de 15 % des produits de Reformation sont fabriqués à partir de tissus de fin de stock. La société achète des tissus anciens, en surplus et surcommandés à d’autres fabricants et entrepôts de tissus. Les pièces conçues à partir de tissus de fin de stock sont disponibles en quantité réduite et limitée. Et 2 % à 5 % des vêtements Reformation sont fabriqués à partir de vêtements vintage achetés à des grossistes aux États-Unis. Une bonne façon d’éviter de les envoyer à l’autre bout de la planète.

Cet état d’esprit écolo s’applique également à leurs activités de vente au détail.

Les magasins Reformation sont conçus pour minimiser leur impact environnemental.

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Ils utilisent par exemple des luminaires à D.E.L. des cintres en papier recyclé. Reformation a choisi le papier recyclé (plutôt que des cintres en plastique, en métal ou en bois) pour réduire la demande de nouveaux matériaux.

Les magasins Reformation s’apparentent à une salle d’exposition technologique.

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Les clients peuvent parcourir les collections sur des tablettes tactiles et sélectionner ce qu’ils aimeraient essayer.

Les cabines d’essayage sont elles aussi équipées d’écrans numériques. Ainsi si un article ne convient pas, les clients peuvent demander aux vendeurs une taille différente à l’aide d’une tablette, sans sortir de leur cabine. Les cabines d’essayage sont aussi équipées d’armoires à doubles ouvertures. Ainsi les vendeurs peuvent apporter directement de nouveaux articles dans les cabines d’essayage.

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Les cabines d’essayage des magasins Reformation sont hyper modernes.

Les cabines d’essayage comprennent des chargeurs de téléphone, des haut-parleurs. Oui vous avez bien lu : les clients peuvent choisir d’écouter leur propre musique au moment de l’essayage. Il y a aussi des boutons variateurs de lumière qui permettent aux clients de modifier l’éclairage notamment selon la « température de couleur » souhaitée.

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Bref, les magasins Reformation misent sur leur côté innovant pour permettre aux clientes de vivre une réelle expérience en boutique.

Les boutiques Reformation sont par ailleurs très instagramables.

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Selon le site Web Reformation, l’enseigne ne compte à présent que 13 magasins. Pour le moment ils sont tous situés aux États-Unis. Il y en a six en Californie, cinq à New York (un dans les Hamptons), un à Georgetown dans Washington D.C. et un à Dallas.

Le premier magasin canadien ouvrira sans doute, dans le quartier de Queen Street West à Toronto. En effet, il y a fort à parier que le détaillant américain va prioriser la plus grande ville du Canada pour sa première implantation.

Dans tous les cas, je vais suivre cela de près, et vous tenir informé de l’avancée des choses… Sait-on jamais des fois qu’ils choisiraient Montréal !

 

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Le Shwap Club : une boutique d’échange de vêtements à Montréal

Après les plates-formes qui proposent de louer les vêtements, un nouveau concept vient de voir le jour. Il s’agit d’une friperie qui ne fonctionne pas tout à fait comme celles que l’on connaît déjà. Le Shwap Club propose aux modeuses d’échanger leurs vêtements lors de ventes éphémères.

Le concept du Shwap Club est simple : échanger plutôt que magasiner !

Car dans cette boutique éphémère tu ne peux rien acheter, seulement échangez. Cependant ce n’est pas 100% gratuit. Pour faire rouler la machine il y a tout de même des frais d’adhésion.

Pour participer au Shwap Club tu as deux options : adhérer ponctuellement ou annuellement.

Dans le cas d’une adhésion ponctuelle, tu devras payer12 $ pour accéder à l’évènement. Certes il faut débourser 12 $, mais cela te permettra de repartir avec des nouveaux vêtements presque gratuitement.

Si tu penses adhérer au concept de façon annuelle pour y aller plusieurs fois dans l’année tu pourras devenir membre pour 60 $ et magasiner de façon illimitée.

Une fois que tu te seras acquitté des frais, donc soit de 12 $ soit de 60 $ selon l’option choisie, tu pourras prendre autant de choses que tu as déposé. Si tu apportes par exemple 2 Jeans, tu pourras repartir une chemise et un pull.

Si tu es une grande consommatrice de vêtements l’idéal c’est de prendre un abonnement à l’année qui te permettra de venir autant de fois que tu veux pour échanger ton linge.

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Pour moi le Shwap Club est vraiment un concept magasinage qui manquait dans l’offre vestimentaire / chaque seconde main à Montréal.

L’idée du Shwap Club, c’est de proposer un entre deux entre la friperie qui propose des vêtements très ‘’vintage’’ et celle qui propose de vêtements très ‘’hipster’’. L’idée c’est de réunir des vêtements tendance, au goût du jour, pour faciliter le réemploi.

Le Shwap Club est la solution idéale pour faire tourner et évoluer sa garde-robe sans se ruiner tout en donnant une seconde vie à ses vêtements.

Je pense qu’on est vraiment très nombreux et nombreuses à avoir dans nos armoires des vêtements et des accessoires qui sont encore en état et que l’on ne porte pas ou plus. Les raisons sont multiples soit ils sont trop petits soit ils sont trop grands, soit parce qu’ils nous plaisent plus… alors autant qu’ils puissent trouver une seconde vie.

Cette boutique déborde de jolies pièces qui sont toutes classées soigneusement par taille et catégorie, ce qui rend l’expérience de magasinage facile et agréable. Le choix de vêtements est grand. Et comme il s’agit d’un lieu dédié aux fashionistas, on trouve beaucoup de vêtements tendance et en très bon état. Avec cette boutique vous ne regretterez pas d’avoir donné vos vêtements. Et vous aurez l’embarras du choix pour retrouver des nouveaux pour les remplacer.

Le Shwap Club c’est pour l’environnement bon pour le portefeuille, que demander de plus?

 

 

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Recyclez vos cheveux 

Octobre, octobre rose : c’est le mois de la lutte contre le cancer du sein : Octobre rose…

L’occasion de parler d’une nouvelle initiative en faveur des femmes qui subissent, en plus de la maladie, une chimiothérapie.

Une association propose de les aider financièrement à acheter une perruque. Il s’agit de l’association Solidhair.

Alors Solidhair c’est quoi?

C’est une association française à but non lucratif qui récupère des cheveux naturels, auprès de généreux donateurs. Cela leur permet d’en faire des perruques. Elles seront destinées à des personnes atteintes de maladies qui leur ont causé la perte de leurs cheveux. Cela permet à d’offrir des perruques, à des personnes qui n’ont pas les moyens de s’en offrir une. Car vous ne le savez peut-être pas, mais les perruques sont un achat qui est très dispendieux.

Le don de cheveux

Les cheveux ont une valeur marchande : les perruquiers en ont besoin pour fabriquer leurs perruques. Alors, si vous les avez longs, plutôt que de s’en débarrasser bêtement, il existe une alternative mille fois plus utile : en faire don à l’association Solid’hair.

Comment participer?

Pour participer, c’est extrêmement simple : il n’y a pas de limite d’âge ni de limite de sexe. Il y a cependant une limite de taille. En effet, il faut donner minimum 25 cm de votre chevelure. Elle doit être en bonne santé, ne pas avoir été colorée ou décolorée, dans les 6 mois précédent le don.

Bref il suffit de donner vos cheveux à l’état naturel!

Comment couper?

Pour réaliser un don de cheveu, si tu veux le faire de chez toi, il est nécessaire que tu mettes un élastique avant de couper votre mèche de cheveux. Cela te permettra de ne pas perdre trop de longueurs, lors de la coupe. Cette technique permettra d’envoyer des cheveux non emmêlés et surtout cela facilitera le travail du perruquier.

Comment faire un don de cheveux ? Solid'hair

Les coiffeurs partenaires de l’association Solidhair

Il est également possible de se rendre chez un coiffeur qui vous coupera les cheveux avant de procéder au shampoing, puis à la vôtre coupe. Si vous vous rendez dans un coiffeur partenaire de l’association Solidhair, ce coiffeur ne vous fera pas payer la coupe.

Consulter ici, les coiffeurs partenaires. Ils sont nombreux, et tu devrais certainement en trouver un proche de chez toi.

Cette association te permet de faire un geste pour aider les personnes dans le besoin. Cela te permet aussi de donner autre chose que du temps ou de l’argent.  Bref cela ne vous coûte pas grand-chose.

Si tu souhaites bénéficier de dons de cheveux…

Enfin, si tu es malade, et que tu souhaites recevoir une subvention pour l’achat de ta perruque, rendez-vous sur le site de l’association pour connaitre les conditions d’obtention de subventions.

 

Plutôt que de jeter vos cheveux, recyclez-les. Ça fera des heureux!

Si vous souhaitez changer de tête  faites un bon geste!

 

Bref, n’hésitez pas à partager l’article. Parlez-en autour de vous, si vous avez déjà sauté le pas afin de répandre la pratique.

10 façons d’être plus productif

Si jamais vous avez des journées longues, et que vous avez beaucoup à faire, mais que parfois vous n’êtes pas très bien organisé et que du coup, à la fin de la journée vous vous rendez compte qu’il y a encore une chose que vous n’avez pas faite, j’ai rédigé cet article pour vous.

Voici 10 astuces pour être productif :

Astuce numéro 1 : pour être productif, il y a quelque chose que je fais depuis toujours c’est de se lever tôt.

Voilà ne commencez pas à traîner dans votre lit, car dedans le temps passe extrêmement vite. Puis on a tous fait l’expérience on se dit à cinq minutes de plus, mais ça finit par une bonne demi-heure de plus. Et encore ça c’est lors ce que vous ne vous ne rendormez pas après.

Astuce numéro 2 : cessez de procrastiner

Ne pas remettre les choses à demain.

Si vous avez quelque chose aujourd’hui, faites-le aujourd’hui. Si vous commencez à dire je le ferai demain…. il y a de fortes chances que vous remettez ça à plus tard. Et cela peut durer pendant des mois et des mois, voir des années !

Astuce numéro 3 : faire des to do list

Avant de commencer la journée, c’est le moment idéal pour savoir tout ce que l’on a à faire durant la journée. Afin de ne pas progresser, mais vous pouvez également associé à chacune des tâches une durée. Et ensuite vous pouvez faire votre emploi du temps de la journée à partir de chacune de ses tâches.

Y associer une durée et le faite de mettre ça dans une planification va vous permettre d’une part de prioriser et d’autre part ne pas laisser de temps à la procrastination.

Vous pouvez également faire votre liste des choses à faire la veille. On va souvent avant de quitter le bureau par exemple si c’est un jour de semaine j’inscris toujours mes taches du lendemain dans mon petit carnet. Et le lendemain matin en arrivant je les priorise et j’ai inscrit les temps alloués à chacune de ces tâches.

Le faite d’avoir tout écrit vous savez exactement quelles sont vos objectifs. Et le fait de les relever est toujours très stimulant.

Également si vous êtes des adeptes de jolie papeterie, et de petits outils pour vous aider à moins procrastiner je vous suggère d’utiliser le productivity planner. C’est un planner de compétition qui permet de gérer son emploi du temps !

Astuce numéro 4 : fixer des rappels

Servez-vous de votre agenda électronique pour programmer des rappels. Ça peut être 10 minutes ou 30 minutes avant votre rendez-vous. Cela va vous permettre de vous libérer l’esprit. En effet, on confiant la tâche à votre téléphone, vous savez qu’il s’en souviendra pour vous. De plus, de cette façon vous serez certain de ne plus manquer aucun de vos rendez-vous !

Vous pouvez vous servir des rappels de votre agenda pour des rendez-vous, mais également pour des taches à effectuer.

Astuce numéro 5 : apprendre à prioriser

Prioriser c’est hyper important.

Essayez de mettre les tâches les plus importantes en haut. Ou bien, inscrivez des numéros selon l’ordre de priorité. Car quand on a une to do list on est toujours tenté de faire des choses qui nous plaisent le plus en premier. Mais les choses qui nous plaisent le plus ne sont  pas toujours les plus importantes ou les plus urgentes.

Cette question de priorisation je vous en parle également un peu plus en détail dans un article sur la méthode Eat that frog de Brian Tracy.

Astuce numéro 6 : planifier

Dans la mesure du possible il faut essayer de planifier ces mois et semaines à l’avance. Cela permet d’avoir une vue d’ensemble sur les choses qu’on a faire. Et ça, c’est vraiment pratique.

Astuce numéro 7 : prendre de l’avance sur son travail sur les choses que l’on à faire

Le faite de prendre de l’avance sur ses échéances permet de se libérer l’esprit et de ne pas être stressé. Cela permet également de ne pas toujours être dans l’urgence de la dernière minute. Cela permet aussi de pouvoir avoir un peu plus de disponibilité dans son emploi du temps pour pouvoir accueillir les imprévus.

Astuce numéro 8 : faire une seule chose à la fois

C’est sans doute l’une des plus difficiles! Du moins pour moi… Je crois que ce problème du multitâche (multitasking) est tout de même assez symptomatique de notre génération. Nous sommes nombreux à avoir tendance à s’épivarder … Et notamment sur les réseaux sociaux, ou autre. En effet, on commence quelque chose en écoutant une vidéo, ou encore on travaille sur un dossier, puis on reçoit une notification qu’un courriel arrive en le regarde et on y répond, etc., etc.

Bref, le fait de ne pas rester focaliser est sur la tâche que l’on est en train d’accomplir nous fait perdre du temps.

Il vaut mieux se concentrer sur une tâche à la fois et la faire en entier, de façon méthodique et précise. Et seulement une fois que c’est fini, passer à la suivante.

Bien qu’aujourd’hui de nombreuses personnes et employeurs font l’apologie des gens multitâches, de nombreuses études prouvent que le fait d’être multitâche rendrait également les gens moins performants. Car à chaque fois que l’on passe d’une tâche à l’autre, il y a un petit moment d’intervalle et de déconcentration. Mis bout à bout, tous ces moments vous font perdre du temps précieux.

Alors pour venir à bout de votre to do, allez-y une tache à la fois!

Astuce numéro 9 : faire des pauses

On ne peut pas être tout le temps hyper concentré durant quatre ou cinq heures d’affilée. Notre cerveau et notre corps ont besoin de prendre des temps de pause. Pour ce faire prenez des courtes pauses régulièrement.

Pour optimiser votre temps de pause et votre temps de travail, je vous suggère de lire  mon article sur la technique de Pomodoro. Cette technique est parfaite pour ne pas trop allonger les pauses.

Astuce numéro 10 : avoir un environnement rangé.

Les gens qui arrivent à travailler sur un bureau encombré ou bordélique, je ne sais pas comment font-ils ! De plus, si vous avez un peu à tendance à procrastiner avec un bureau en bazar, vous allez passer votre temps à ranger plutôt qu’à travailler. Alors, pour éviter de vous disperser, passez cinq ou dix minutes la veille avant de partir de votre bureau, à ranger votre espace de travail. Ainsi, cela vous permettra d’arriver le lendemain dans un espace propre et rangé dans lequel vous pourrez  tout de suite vous mettre au travail.

Et voilà c’était mes 10 astuces pour être plus productive dans son travail et / ou dans sa vie !

N’hésitez pas à me dire dans les commentaires si vous avez d’autres astuces ou d’autres petits trucs qui vous permettent d’être plus efficient.