Vous souvenez-vous, je vous ai déjà parlé de l’ouverture d’Arket (ici)?
Le fameux groupe scandinave H&M lance une septième marque : Arket
Celle-ci a l’intention de créer un nouveau concept store dit durable et de qualité :
À l’instar de la marque & Other Stories ou de COS, on s’attend du côté des vêtements à des coupes minimalistes et élégantes.
Mais à la différence de ces dernières enseignes, cette fois l’ambition du géant du textile, c’est de se lancer dans la restauration!
En effet, l’enseigne devrait ouvrir un concept store qui accueillera un café santé. Il sera orienté autour de la cuisine nordique. On parle déjà de jus de bouleau et autres trucs santé et détox.
D’après leurs publications Instagram, le café aura une déco ambiance scandinave, ultra soignée :
En effet l’enseigne a annoncé sur ces réseaux sociaux, avoir remis en production, exclusivement pour leur marque, la fameuse chaise Skedblad du designer Carl Malmsten, dessinée en 1933. Elle sera fabriquée à partir des dessins originaux issus des archives du designer. Il est annoncé qu’elle sera fabriquée en chêne massif, provenant la ville de Skövde en Suède.
Carl Malmsten est un designer suédois moins connu que son confrère finlandais Alvar alto :
Pourtant, Carl Malmsten est l’un des pères fondateurs du mobilier scandinave.
En effet, tout au long de sa carrière il a créé de nombreux modèles intemporels. Parmi ces nombreuses pièces de mobilier incontournables, et peu connues, on retrouve par exemple chaise Lilla Aland. Elle a été créée en 1942. Ce modèle est aujourd’hui largement réédité et même souvent copié. Bien sûr sans que le nom de ce designer y soit associé.
Bref, je me réjouis déjà à l’idée qu’un modèle oublié de Carl Malmsten refasse surface !
Et pour ceux qui seraient déjà impatients de pouvoir tester le confort et l’ergonomie de cette chaise rééditée par Arket, veuillez noter que le premier magasin de l’enseigne sera inauguré sur Regent Street à Londres, à fin août! Pour les plus curieux, les plus impatients et les plus fashions d’entre vous, sachez que le e-shop sera également mis en ligne au même moment, dans 18 pays européens.
(D’autres ouvertures notamment à Bruxelles Munich et Copenhague sont également prévus, mais pour le moment Paris n’est hélas pas sur la liste!)
Cette semaine, ma super collaboratrice Claire qui vous propose régulièrement des Do It Yourself (DIY) sur le blogue expose une de ces créations les plus cool, vous allez adorer!
À Bordeaux dans l’espace 5UN7, situé au 57 rue de la Rousselle, vous aurez la possibilité inédite de découvrir et de jouer de la musique avec son totem sonore.
Avec ce totem sonore, vous aurez la possibilité de créer différentes combinaisons :
Ainsi vous pourrez créer des combinaisons à la fois visuelles, grâce aux formes et aux sublimes couleurs pastels des objets composant le totem, mais aussi sonores. Car, chaque pièce est associée à un son particulier, qui est joué en boucle. Ainsi, en superposant les éléments vous composerez de la musique. À l’inverse, si vous retirez les éléments, le son s’arrêtera, comme par magie!
[ Monte le son !! ]
Pour les plus geek d’entre vous qui sont déjà en train de se demander comment ce système fonctionne… Et bien sachez, qu’au centre de la table il y a une sorte de balance qui fait office de réceptacle. Chaque pièce qui est posée dessus a un certain poids. La balance mesure alors le poids de la pièce ajoutée, puis elle transfère l’information à un ordinateur via une carte Arduino. Ensuite, c’est le logiciel Max qui prend la relève et qui se charge de lancer les sons.
Le totem sonore est un peu comme une table de mixage où l’on rajoute des couches et des samples.
Alors amis ou lecteurs bordelais ou de la région, dépêchez-vous bougez-vous car vous allez avoir vraiment du fun!
Ce sera aussi l’occasion de découvrir le travail de plein de jeunes talentueux artistes.
En effet, cette exposition est une exposition collective qui vous permettra d’apprécier le travail de Mélanie Beaune, Adrien Défago, Morgane Guiomar, Justine Mallo, Maddy Moret, Jeanne Piau, Johanna Rott et Laure Subreville! Alors rendez — vous au vernissage le 29 juin, dès 19 h pour découvrir le travail de ces artistes ingénieux.
Agnès Varda est une artiste cinéaste dont j’apprécie beaucoup le travail. C’est donc avec enthousiasme que je souhaite partager avec vous son documentaire Les Glaneurs et la Glaneuse. Ce film est une réflexion sur notre société de surconsommation et de gaspillage. Bien que ce film ait été tourné à la vieille de l’an 2000, les propos abordés sont toujours, et même plus que jamais d’actualité.
Si le terme glaneurs n’évoque peut-être pas grand-chose aux jeunes de la nouvelle génération, c’était pourtant une activité fréquemment pratiquée au cours de l’histoire. Le glanage consistait autrefois à passer dans les champs après la moisson pour ramasser les épis qui traînaient par terre. Ce travail était accompli par des groupes de femmes, comme en témoigne le célèbre tableau du peintre français Jean-François Millet.
Cette tradition du glanage a bien changé :
Les glaneurs n’ont pas disparu aujourd’hui, mais à la différence d’autrefois désormais les gens glanent seuls. De plus, aujourd’hui le glanage se pratique autant par des hommes que par des femmes.
Ce film montre les différentes formes du glanage. Il dénonce aussi d’une part le gaspillage alimentaire à diverses échelles, et d’autre part l’exclusion sociale de ceux qui ne consomment plus. Car aujourd’hui on vit dans une société organisée autour du fric, qui surconsomme et qui surgaspille.
Ce documentaire est une exploration autour du glanage :
Elle se fait à la fois à l’aide du dictionnaire, mais aussi avec l’aide de l’histoire, grâce à des détours dans les musées, mais aussi sur les routes de France, par le biais des rencontres aléatoires.
Agnès Varda a réalisé ce documentaire avec une petite caméra numérique et une équipe de tournage extrêmement réduite. Ainsi, elle a pu aborder ce sujet complexe, sans intimider les gens. Ces moyens restreints lui ont permis d’avoir un meilleur contact avec les glaneurs, mais aussi, de pouvoir tourner à son rythme, en plusieurs fois. Le fait de prendre son temps pour tourner ce film a permis d’appréhender les gens de façon naturelle. Ainsi, petit à petit elle habitue les gens sa présence et à sa caméra. Une fois mis en confiance, les gens se sont alors confiés librement à Agnès Varda sur les raisons qui les poussaient à glaner. Grâce à cette parole libre, elle est parvenue à dresser un portrait authentique, des différents visages des glaneurs contemporains.
Ils sont peu nombreux, mais les raisons qui les poussent à se baisser et à fouiller les rebuts sont très diverses. Certains font ça par convictions d’autre part nécessitées.
Ce documentaire témoigne donc du parcours et des rencontres d’Agnès Varda sur les routes et dans les villes et les villages de France :
C’est au cours de ces pérégrinations qu’elle a rencontré des glaneurs, des récupéreurs, des ramasseurs et des trouvailleurs.
Les butins des glaneurs urbains, sont très distinct, de ceux des glaneuses d’autrefois, qui ramassaient les épis de blé après la moisson. En effet, parmi les multiples visages du glaneur contemporain, il y a ceux qui comme autrefois glanent dans les champs après la récolte, mais également ceux qui grappillent dans les vergers ou les vignes, mais aussi ceux qui récupèrent les encombrants, et ceux qui fouillent les poubelles…
Enfin, il y a la glaneuse, Agnès Varda, qui capte ces images. Le titre fait directement référence à elle.
Tous ont en commun, l’abjection du gâchis, mais aussi une conscience accrue.
Ils jugent immoral le fait de préférer laisser perdre quelque chose, dont d’autres auraient besoin.
Le gaspillage est donc la chose qui les pousse individuellement à agir :
Ce documentaire met en lumière par le biais de témoignages, ce qu’il y a de scandaleux dans le fait de jeter ce qui se mange encore, de jeter ce qui fonctionne encore, ou ce qui peut se réparer.
Portraits des glaneurs :
On rencontre Claude, dans sa caravane :
Il est accompagné d’un ami, et visiblement de quelques bières! Lors du tournage, il déclare être sans emploi. Autrefois, c’était pourtant un acharné du travail. Il travaillait en temps que routier et roulait près de 22 h par jour. Il lui a fallu d’un seul contrôle pour qu’il perde son emploi et que sa vie bascule. Désormais, il glane pour manger, pour survivre. Il n’a pas le choix de faire les poubelles pour se restaurer.
Ensuite, on rencontre Édouard Loubet :
C’est l’un des plus jeunes chefs doublement étoilés par le guide Michelin. Il ne jette rien. Il récupère tout et cuisine toujours les restes afin de ne rien gâcher. Et le petit secret de ce chef, c’est de fréquemment ramasser des herbes aromatiques comme de la sarriette par exemple. Il explique que cela lui permet d’aromatiser ses plats à moindre coût. Depuis son enfance il a appris à ramasser des fruits et légumes au détour des chemins. De plus, ce qui l’apprécie tout particulièrement dans le fait de grailler, c’est de savoir d’où proviennent les aliments qu’il cuisine.
… Le Tour de France continue en bourgogne. Certains vignerons de la région préfèrent laisser le raisin à terre plutôt que cela puisse profiter à des passants.
Hervé lui pratique la biffe!
Faire la biffe, c’est aller au-devant des objets dont les gens se séparent. Ainsi, il se sert des prospectus donnés aux citoyens pour jeter leurs encombrants pour aller récupérer des objets avec l’aide de son vélo. Il aime les objets jetés parce qu’ils ont déjà vécu, ils sont patinés. Ce qu’il apprécie c’est de tourner dans les rues, pour lui c’est comme une chasse au trésor. Il se sert de ces trouvailles pour réaliser des œuvres d’art. Il apprécie l’idée de donner une deuxième chance aux rebuts. La « récup » pour lui c’est une démarche artistique et éthique.
Puis, il y a François, l’homme aux bottes!
François lui n’est pas sans emploi, il est salarié et il ne se considère pas du tout comme pauvre. Il est en l’occurrence doté d’une conscience écologique forte. Les dates limites de consommation qu’il juge trop hâtives le révoltent. Ainsi, il récupère par souci d’éthique. Il trouve scandaleux de gaspiller ce qui est encore mangeable, ainsi il ne souhaite pas acheter sa nourriture.
Salomon, lui est un roi de la « débrouille »:
Il glane autant de la nourriture que des appareils électroménagers qu’il revend, ou redonne. Il vit dans une sorte d’économie parallèle fondée sur la récupération, le bricolage, la revente et l’entraide.
Enfin on fait la rencontre d’Alain:
Il se nourrit de légumes glanés en fin de marché, directement sur le bitume. Il est vendeur de journaux de rues et vit dans un foyer pour travailleurs précaires au sein duquel il dispense bénévolement chaque soir des cours d’alphabétisation pour les travailleurs immigrés de son foyer. Alain est instruit et diplômé il vit pourtant en marge du système. Il donne ce qu’il a, c’est-à-dire son savoir.
Une question omniprésente ou qui revient tout au long du film est la question de la législation :
Les avis diffèrent et sont parfois contradictoires selon les personnes interrogées. Afin de mettre fin à ce flou juridique, Agnès Varda fait intervenir un avocat. Ainsi, selon le Code pénal, l’article R 26 affirme qu’il y a deux conditions à respecter pour avoir le droit de glaner. La première condition, c’est de glaner après le lever du soleil et avant le coucher du soleil. Puis la seconde condition, c’est de venir glaner que lorsque la récolte normale a été enlevée.
Même si l’avocat consulté par Agnès Varda confirme formellement le droit de glaner, dans les faits les propriétaires l’interdisent souvent, en prétextant la propriété privée.
L’essentiel est invisible pour les yeux :
Si l’on ne devait garder qu’une image du film, ce serait peut-être la patate en forme de cœur qu’Agnès a souhaité garder, sur-le-champ de pomme de terre. La patate en forme de cœur est difforme. Ainsi par sa forme non standardisée, qui rentre pas dans les critères la grande distribution (qui mesure entre 45 et 75 mm) elle constitue l’emblème de tout ce que nous mettons au rebut pour non-conformité.
Cependant, cette pomme de terre, qu’Agnès Varda prend plaisir à regarder peu s’avérer être un trésor pour qui sait regarder autrement.
Cette pomme de terre est aussi l’allégorie de toutes ces personnes qui sont en marge, parce qu’elles sont différentes.
Par moment le film peut sembler quelque peu daté, notamment lorsqu’on entend les prix en francs.
Mais cependant, le gaspillage est toujours d’actualité. Et aujourd’hui la pratique du glanage au sein des grandes villes commence à s’instrumentaliser :
En effet, les réseaux sociaux permettent de partager et d’avoir accès à de l’information quasi instantanément. Ainsi, à Montréal par exemple, il y a des cartes qui cartographient de façon très précise, les lieux dans lesquels on peut faire de bonnes trouvailles. Elle précise aussi les horaires auxquels il faut s’y rendre si on veut avoir plus de chance d’y faire des trouvailles. De plus, bien souvent les surplus de glanage qui proviennent des dumpsters sont partagés et déposés dans parcs. À l’aide d’une photo de l’emplacement, les récoltes sont partagées sur la page Facebook Dumpster Diving qui concentre les bons plans.
Mais aujourd’hui des groupes comme celui-ci, il y en a de nombreux sur Facebook.
Enfin, les applications mobiles peuvent aussi contribuer à limiter le gaspillage et notamment le gaspillage alimentaire :
Dans cette optique je vous ai récemment parlé de l’application Too Good to go, disponible dans de nombreux pays européens, elle permet d’acheter des invendus à petits prix.
Ainsi aujourd’hui les nouvelles technologies, permettent de faire émerger une nouvelle économie sociale.
C’est enfin l’été ! Et qui dit été… dit parfois canicule !
Mais quand vient la saison estivale et la chaleur, pas toujours facile de savoir comment s’habiller. Entre les textiles qui sont trop épais et donc trop chauds, ceux qui sont trop synthétiques dans lesquels on transpire, et ceux qui ont une coupe trop serrée… Ce n’est pas toujours chose facile de savoir quoi porter lorsqu’il fait très chaud.
La robe portefeuille ou la wrap dress pourrait bien être la solution idéale :
La wrap dress, une robe agréable à porter :
Elle est à la fois fluide et légère, tout en étant relativement proche du corps. Elle a un décolleté prononcé mais pas vulgaire.
La robe portefeuille, à la fois intemporelle et lookée :
Facile à porter autant le jour pour une réunion au travail, que le soir pour un 5 à 7. La robe portefeuille donne une allure habillée avec son cache-cœur, mais pas trop sophistiquée. À la fois pudique et raffinée, la robe portefeuille est synonyme d’élégance.
Topshop – Printemps / Éte 2017
De plus la coupe de la robe portefeuille, mais souvent les formes en valeur. En effet, la forme de la robe portefeuille est parfaite pour affiner la taille. De plus, elle souligne et met en valeur vos atouts !
Pour les plus tendances d’entre vous, il est possible de la porter ouverte.
COS – Printemps / Éte 2017
COS – Printemps / Éte 2017
N’ayez crainte d’investir un peu d’argent dans une wrap dress, car c’est vraiment une pièce indémodable :
En effet, cette pièce iconique a été popularisée dans les années 1970 par la designer Diane Von Fürstenberg. En 1974, Diane Von Fürstenberg lance son premier modèle : la mythique robe portefeuille, ou « wrap dress » en anglais. Cette robe va séduire les femmes, et va faire de Diane Von Fürstenberg l’une des plus prestigieuses créatrices de robe. Avec près de 5 millions de « wrap dret » vendus dans le monde, sera la première couturière jamais inscrite au Guinness des records.
À l’époque, le message véhiculé par cette création est très fort :
Finit la mini-jupe, (qui ne convainc pas toutes les générations), et place à la fluidité et à l’élégance !
De plus, cette robe iconique porte un message puissant : « Feel like a woman wear a dress ».
Diane Von Fürstenberg souhaite permettre aux femmes d’affirmer leur féminité en portant des robes, mais sans pour autant renter dans la vulgarité. Cette robe portefeuille est donc autant féminine qu’élégante.
La Wrap dress est un best-seller !
Elle s’est vendue à plus de dix millions d’exemplaires en près de quarante ans. À l’origine elle était conçue en jersey. Une matière infroissable qui s’est avérée être très pratique pour les femmes actives, qui repassaient autrefois leur vêtements de travail chaque matin. Enfin, elle s’enfile très facilement, comme un gilet, et se noue à la taille par une ceinture en tissu.
Bref, la robe portefeuille est une pièce idéale à avoir dans sa penderie!
Elle a été conçue pour des femmes actives et indépendantes. Cette robe possède de nombreuses qualités, elle est fluide et agréable à porter, elle est infroissable et peut se glisser aisément dans une valise. Enfin, elle va à pratiquement à tout le monde !
Et vous que portez vous quand il fait chaud ? Quelles sont les pièces incontournables de votre garde-robe?
Que ce soit pour chercher votre premier appartement ou votre centième, que vous emménagiez en couple, tout seul, ou avec des colocs, chercher un appartement c’est souvent synonyme de stress.
Alors, voici quelques astuces pour vous aider dans votre recherche d’appartement.
Afin de vous aider à trouver l’endroit parfait, l’endroit où vous vous sentirez chez vous et l’endroit dans lequel vous allez avoir envie de rester pour une très très longtemps, voici quelques tips :
Avant la visite :
Animaux de compagnie et fumeurs :
Lors de la recherche si tu as un animal ou si tu es fumeur, c’est un critère essentiel à prendre en compte. Car parfois les propriétaires refusent l’un ou l’autre. Et tu ne peux rien faire contre cela.
L’accessibilité :
S’il y a des gens dans ton entourage qui sont en fauteuil roulant ou des personnes âgées il va falloir prendre ça en compte dans tes critères de recherche. En effet, si tu ne veux pas perdre tes proches, ou du moins si tu souhaites qu’ils puissent te rendre visite c’est un critère essentiel, il te faut un ascenseur! Ainsi si tu habites au sixième étage sans ascenseur je ne suis pas sûre que ta grand-mère viendra te voir. Aussi tu as un ami en fauteuil roulant que tu habites dans un immeuble sans ascenseur pareil je suis pas certain qu’il viendra te voir souvent. Bref l’accessibilité ça paraît être un critère un peu plate, mais c’est aussi des critères à prendre en compte.
Pendant la visite :
Ouvrez grand les yeux!
Il n’est jamais plaisant d’avoir des insectes dans notre domicile.
La chose qui m’horripile le plus, mais ce sont les petits insectes nuisibles. C’est bien dans la nature, mais pas chez moi! C’est pourquoi prêter attention aux petits recoins.
Dans le même genre, attention aux moisissures :
Vérifiez qu’il n’y est absolument aucune trace de moisissure dans les recoins des murs de l’appartement. C’est la base! Car s’il y a de la moisissure d’une part c’est mauvais signe, d’autre part, c’est mauvais pour la santé. Et enfin, vous ne pourrez pas les faire disparaitre avec un simple coup d’éponge!
Alors, regardez avec attention la salle de bain. Les salles de bain sont parfois petites, ne disposent pas toujours des fenêtres et parfois elles ne sont pas équipées de système de ventilation. Ainsi, cette pièce est particulièrement sujette à l’humidité. Elle s’accumule parfois et se transforme malheureusement en moisissures.
Alors si vous apercevez la moindre trace de moisissures, fuyez!
Prêter attention à toutes les arrivées d’eau :
Si l’appartement vous plait, testez la pression et la chaleur de l’eau :
Testez les robinets, ouvrez-les…
Le débit ne fait partie des choses auxquelles on ne prête pas systématiquement attention. Mais pourtant, il n’y a rien de plus pénible quand est une fille par exemple, et qu’on a les cheveux longs d’avoir un débit très faible ou irrégulier sous la douche.
De même, pensez aussi à regarder combien de temps ça prend avant d’avoir de l’eau chaude.
Si vous êtes adeptes des longues douches, regardez (ou demandez au besoin) où se situe le ballon d’eau chaude.
Est-il dans l’appartement ou alors est-il commun à l’immeuble?
Si le chauffe-eau est commun, assurez-vous qu’il soit assez grand. Si le ballon est petit, il se peut qu’au moment où vous prendrez votre douche que le ballon est vide. Vous risquez alors d’être contraint de vous doucher à l’eau froide.
Le mieux c’est donc de pouvoir en avoir un dans l’appartement.
Ensuite, ça parait aussi tout bête, mais testez l’écoulement :
Remplis ton évier et ta baignoire puis ouvre le bouchon et regarde combien de temps ça prend pour s’écouler.
Ce genre de petits tests ne prend que quelques minutes, mais peut vous faire gagner beaucoup de temps à l’avenir… Et ça je l’ai appris à mes dépens!!
En effet, lorsque je suis arrivée dans mon appartement à Bordeaux dans ma cuisine, après avoir fait ma première vaisselle l’eau a stagné dans l’évier, et ne s’est jamais écoulée. Alors j’ai dû acheter un produit chimique pour tenter de déboucher le tout. Après avoir mis toute la bouteille je n’ai constaté aucune amélioration. Ensuite, j’ai regardé un petit tutoriel sur YouTube pour apprendre à dévisser le siphon sous l’évier — en vain. Alors, ensuite acheter une ventouse, puis un furet, sans amélioration une fois de plus. Puis, au bout d’une semaine, j’ai alors remarqué que le tuyau d’évacuation d’eau qui faisait le tour de l’appartement avait été installé en remontant. Une fois la pente du tuyau inversée tout est revenu à la normale! OUF!! En tout cas, c’est le genre de petites choses qu’il vaut mieux savoir avant d’emménager…
Le chauffage; le contrôle de la température :
Est-ce que c’est vous qui contrôlez la température de votre appartement?
Parfois les immeubles sont chauffés avec des radiateurs à l’eau, et souvent dans ce cas-là le chauffage est le même pour tout l’immeuble. Alors vous n’aurez pas la possibilité de régler le thermostat.
En parlant de thermostat est-ce qu’il y a des thermostats électriques?
Les thermostats électriques sont parfaits pour pouvoir contrôler la température dans les différentes pièces. Parfois il est même possible de régler la température en fonction des heures. Cela permet de faire des économies de chauffage. En effet, si jamais vous êtes absent de l’appartement pendant la journée, vous pouvez régler le chauffage en fonction de ça. Ainsi cela permet de ne pas chauffer inutilement la journée.
L’isolation thermique et phonique :
Les appartements qui sont mal isolés c’est aussi un problème pour l’été où il fait parfois très chaud, mais aussi l’hiver lorsqu’il fait très froid. La qualité des fenêtres aussi a aussi un grand impact sur votre confort haute c’est bien l’été que l’hiver, mais aussi sur votre facture d’électricité.
Ensuite, ouvrez les fenêtres et écoutez le bruit. Est-ce qu’on entend le trafic, de travaux de construction, la climatisation des voisins de l’immeuble? Observez aussi le quartier; est-ce qu’en bas de l’immeuble, il y a des bars, êtes-vous sur une grande artère passante où toute la nuit l’hiver il y aura des déneigeuses qui vont passer?
Discuter avec les personnes de l’immeuble :
N’hésitez pas à essayer de rencontrer les voisins, ça vous donnera déjà une idée de qui ils sont et qu’elle est l’ambiance de l’immeuble. Est-ce que c’est le gros party tous les soirs? Est-ce une résidence de personnes âgées? Si vous rencontrez les voisins, profitez-en pour vous renseigner. Soyez curieux, posez des questions; est-ce que c’est confortable de vivre ici en hiver?
À défaut de croiser les voisins pour leur poser des questions, vous pouvez également les poser aux locataires s’ils sont présents. Demandez-leur pourquoi il quitte cet appartement. Ce genre de petites réponses donnera une bonne idée sur est-ce que c’est appartement est idéal pour vous.
Enfin, qui sont vos voisins?
Est-ce que c’est des familles est-ce qu’ils ont des enfants est-ce que ce sont des unes grosses collocations, etc.
Si vous êtes vraiment sensible aux bruits ou si vous avez été traumatisé par des mauvaises expériences, essayez de chercher un appartement par exemple dernière étage comme ça n’y aura personne au-dessus de vous, ou des constructions plus récentes.
Pensez aussi si vous êtes sensible aux bruits à vous rendre au lieu de l’appart » à différents moments de la de la journée et de la soirée ça vous donnera une idée sur qu’est-ce que vous allez bien vivre si vous choisissez cet appartement.
Le réseau téléphonique :
Pense à regarder ton téléphone au cours de la visite. Il arrive parfois que les murs de l’appartement soient trop épais, et t’empêches de communiquer aisément avec le monde extérieur. Alors prends ton téléphone regarde combien de barres de réseau tu as. S’il y en a juste une essaye de passer un appel ou d’envoyer une photo à quelqu’un et regarde comment ton téléphone réagit!
L’électricité :
Dans les vieux appartements parfois les prises de courant se font rares. Et pour nous autres personnes du XXIe siècle qui sommes ultra connectés, ça peut être embêtant. C’est pourquoi n’hésite pas à les repérer et à les tester. Emmène avec toi ton chargeur de téléphone pour les visites, et teste un peu tout cela avant de t’engager.
La luminosité :
Enfin, un des points essentiels pour moi c’est la luminosité de l’appartement. Dorénavant pour mes appartements et particulièrement pour la pièce de vie, je privilégie les appartements exposés Sud ou sud-ouest. C’est pourquoi si je visite un appartement je regarde grâce à ma petite boussole sur mon iPhone l’exposition des pièces.
Également comme je suis assez sensible à la luminosité surtout l’hiver, j’essaye toujours de privilégier les appartements en hauteur cela me permet de pas avoir mes fenêtres obstruées par l’ombre de l’immeuble d’en face.
Après la visite :
Si vous ne connaissez pas le quartier dans lequel vous envisagez d’emménager, baladez-vous autour de votre futur appartement. Cela vous donnera une idée de l’ambiance du quartier. Repérer aussi si les commerces que vous recherchez sont présents. Pareil si vous aimez courir, regardez s’il y a un parc à proximité.
Le fait de vous balader vous permettra aussi de voir si les distances que vous aurez à parcourir au quotidien sont réalisables. Par exemple, faites les trajets vers l’épicerie ou vers le métro. Par exemple si l’épicerie est située à 2 km ou même 1 km et tu n’as pas de voiture, et bien, peut-être que cet appartement n’est pas l’idéal pour toi.
L’accessibilité et la proximité des transports :
Prenez en compte votre mode de vie. Si vous allez travailler tous les jours en voiture est-ce que le trajet est long? Est-ce qu’il y a du trafic sur votre itinéraire? Combien de temps ça vous prend de vous rendre au travail? Pareil si vous allez au travail, en transport en commun, combien de temps il faut pour vous rendre au métro?
Pour être sûr de pas faire mauvais choix tu peux également faire le trajet au moins une fois de ton appartement jusqu’à ta destination principale (ton travail ou ton école, etc.). Cela te permettra de te rendre vraiment compte c’est quoi le trajet. Si ça prend plus de 50 minutes et bien, peut-être réfléchis-y à deux fois.
Si tu es sur le point de signer ton bail de location :
Renseigne-toi avec le propriétaire également : si quelque chose brise dans l’appartement comment ça se passe? Est-ce à toi de le changer ou au propriétaire de changer.
Pareil s’il y a des petits travaux, est-ce que c’est à toi de les faire ou propriétaire de s’en charger? C’est des questions bêtes, mais ce sont des questions qu’il est bon de poser à son propriétaire avant de signer. Pense également à faire inscrire cela dans ton bail. Comme ça pas de surprise le jour où la situation se présente.
Si vous remarquez quelque chose qui ne vous plaît pas vraiment au moment de la visite, mais que le propriétaire vous dit, on va repeindre l’appartement ou bien ça on va faire installer un lave-vaisselle… bref toutes les promesses du propriétaire qui vous incitent à venir vous installer ici, demander qu’elles soient inscrites sur le bail, car sinon ce sont des promesses dans le vent.
Également lors ce que tu signeras ton bail lis bien toutes les clauses. Et éventuellement, pense à en rajouter une concernant les visites du propriétaire. Conviens avec lui qu’il doit te prévenir 24 ou 48 heures en avance s’il souhaite visiter l’appartement ou changer quelque chose.
Voilà! J’espère ce que petit article t’aideras à trouver l’appartement de tes rêves!
N’hésitez pas à me dire en commentaire si vous aussi vous avez des petits trucs que vous observez lors de vos visites pour ne pas vous tromper.
À l’heure de la consommation raisonnée, tous les moyens sont bons pour ne plus jeter ni gaspiller.
Une start-up innovante à créer une application futée, qui met en relation les commerçants et les consommateurs. Elle permet aux commerçants de limiter leur pertes, et aux consommateurs, d’acheter de produits à petit prix.
Qu’arrive-t-il aux invendus des commerçants?
En fin de journée, ils finissent généralement à la poubelle. Afin d’arrêter de jeter, des aliments consommables, l’application Too Good To Go a été crée.
Grâce à l’appli Too Good To Go, les invendus ne sont plus perdus!
Afin de remédier à ce gaspillage massif, l’application met en relation des clients désireux de faire des économies, avec des commerçants du quartier qui souhaitent vendre leurs invendus à prix réduit plutôt que de les expédier directement à la poubelle. Ainsi, les commerçants vendent leurs invendus (ce qui limite leurs pertes), et les clients achètent des produits à prix réduit (souvent ils sont soldés entre -60 et -70 %).
De ce fait, chaque jour les commerçants (boulangers, traiteurs, restaurateurs, hôtels, pâtissiers…) mettent en vente à petit prix leurs produits frais invendus pour éviter de les jeter. Le client achète un panier surpris composé selon les commerçants de viennoiseries, pâtisseries, plats préparés, fruits et légumes et même des jus de fruits et légumes frais (à Paris). Une bonne façon de faire des économies, mais aussi de découvrir de nouvelles adresses, de nouvelles recettes à moindres frais.
Et c’est un concept gagnant-gagnant entre clients et restaurateurs, donc tout bénef’ pour tout le monde.
Bref, grâce à cette application, tout le monde est gagnant ! Les commerçants se font mieux connaître auprès de leurs voisins. Les voisins font quant à eux des économies en achetant les invendus des commerces à prix mini. De plus, c’est meilleur pour la planète, qui ne supporte déjà plus notre mode de production et de consommation. En effet, si le gaspillage alimentaire était un pays, il serait le 3e plus gros émetteur de gaz à effet de serre!
Comment ça marche?
0 / Télécharges l’application.
1 / Choisis ton commerce anti-gaspi.
Grâce à la géolocalisation, tu peux voir les endroits les plus proches de toi. Tout les commerces qui participent à l’opération « Too Good To Go » apparaissent. Ensuite, il te suffit de sélectionner le commerce qui te plait. Puis, vient le moment de passer commande, en fonction du nombre de portions que tu souhaites, ainsi le prix pour lequel tu es prêt à payer.
Pour le moment, en France environ une vingtaine de villes sont déjà répertoriées. Parmi elles, on retrouve généralement et les grandes villes comme Lille, Paris, Saint-Germain-en-Laye, Vincennes Strasbourg, Lyon, Valence, Saint Étienne, La Rochelle, Niort, Poitiers, Lille, Metz, Angoulême, Bordeaux, Biarritz, La Teste-de-Buch, Nantes, Rennes, le Havre, Rouen, Marseille Montauban, et Montpellier….
Mais sachez que l’application est aussi disponible dans plusieurs pays européens.
2 /Récupères ta commande.
Une fois ta commande passée, rends-toi chez ton commerçant à l’heure de collecte indiquée, afin de récupérer ta boîte surprise composée des invendus du jour!
3 /Dégustes ta boîte surprise!
C’est le moment de découvrir le contenu de ta boîte surprise et surtout de savourer!
Tu peux être fier de ta contribution à la réduction du gaspillage alimentaire. Mais te peux aussi soutenir les personnes sans-abris.
Car Too Good To Go s’engage aussi pour les sans-abris.
Pour la petite somme de deux euros payés en ligne, les internautes peuvent aussi offrir un repas à un démuni.
Pour suivre toute l’actualité du développement de l’application et son implantation à travers la France, ou à l’étranger, n’hésitez à les suivre sur Facebook!
Enfin, pour contribuer à préserver l’environnement, rendez-vous sur les plateformes de téléchargement de l’application (disponible sur iPhone et Android) !
N’hésitez pas à en parler à vos commerçants préférés, mais aussi à partager ce bon plan avec vos amis qui ont un petit budget, et ceux soucieux de l’environnement !
Le « Twingo Nail Polish » un vernis double-usages : retouche peinture et manucure!
Il y a quelques jours la marque Renault a lancé sa dernière publicité un vernis qui à doubles usages. Le constructeur automobile propose donc un vernis pour ongles et pour corriger les petits défauts visibles sur la carrosserie.
Le « Twingo Nail Polish » pour les ongles et pour les rayures :
Dans le cadre de la dernière promotion de la Twingo, la marque française au losange a commercialisé un vernis à la fois pour les ongles et pour la carrosserie. Cette nouvelle collection de vernis contient quatre couleurs : du vernis bleu dragée, un rouge flamme, un noir étoilé, et un jaune éclair.
La publicité pour la promotion de ce nouveau produit est teintée de sexisme.
Elle est tellement grotesque et surréaliste qu’on croirait même une blague, seulement on n’est pas le 1er avril. Et elle associe seulement des femmes et à des personnes superficielles et gauches.
L’idée n’est pas forcément mauvaise, sortir un vernis pour masquer les rayures de sa voiture peut être quelque chose d’utile. C’est même je dirais assez révolutionnaire. En effet, pour les personnes qui n’ont pas le temps ou les moyens de se payer une nouvelle couche de peinture un vernis pour carrosserie est une idée recevable. Mais ce qui n’est carrément pas avant-gardiste, et ce qui me pose un gros problème c’est la façon dont Renault en fait la promotion.
La femme active devrait-elle assortir ces ongles, à son automobile? Est-ce vraiment une priorité?
Une femme active au XXIe siècle est donc seulement une femme qui assortit la couleur de son vernis à ongles avec celle de sa voiture? Une publicité qui associe, ramène et rabaisse les femmes à des personnes maladroites, qui ne savent pas se garer ou conduire une voiture. Dois-je rappeler que ce sont les hommes qui ont le plus d’accidents de voiture?
Je trouve cela inacceptable que l’on continue de véhiculer des stéréotypes mensongers, qui font passer les femmes pour des incapables. Et en plus d’être maladroites au volant, cette pub les range dans la jolie case de personnes superficielles qui auraient le temps de chaque jour de s’apprêter les ongles (et de faire du shopping).
Je ne suis pas sûre que la femme active aujourd’hui soit celle qui pense à se faire une manucure chaque matin.
Enfin personnellement je ne mettrai jamais un vernis à carrosserie sur mes ongles!
Enfin au-delà du sexisme de cette publicité, est-il utile de vous rappeler la toxicité de la plupart des vernis à ongles?
Je ne suis pas certaine qu’un produit destiné à une carrosserie de voiture puisse être bon pour l’environnement ou pour nos ongles.
Sur le site, qui vend le produit, aucune information n’est disponible… Alors méfiance !
Bien que je ne puisse pas affirmer que la composition de ce vernis à ongles est nocive, par précaution, je vous conseille de garder cela pour votre véhicule.
Le sac Frakta d’IKEA, vous ne connaissez peut-être pas encore son nom, mais vous l’avez sans doute déjà porté ou du moins, déjà aperçu!
Et pour cause…. il est vendu depuis des années! Et au fil du temps cet énorme sac en plastique, est devenu iconique.
L’iconique sac FRAKTA a été crée par Knut Hagberg et Marianne Hagberg :
On l’oublie parfois mais derrière les grandes enseignes il y a aussi des designers. Knut et Marianne Hamberg sont frères et sœurs. Ils ont fait leurs études ensemble, et travaillent ensemble pour IKEA depuis près de 40 ans. Au cours de leur longue carrière, le duo de designers a çoncu environ 1600 produits qui ont alors été produits par IKEA.
Et parmi tout ces objets, il y a le mythique sac bleu et jaune !
Le sac Frakta a de nombreuses qualités… et a déjà fait ses preuves!
Vendu bien avant l’avènement des sacs réutilisables dans tout les hypermarchés, le sac FRAKTA était déjà dans les rayonnages des caisses d’IKEA. Ce sac est donc en quelques sortes un précurseur du sac réutilisable!
Outre son ancienneté, ce sac a un coloris remarquable, et dans tout les sens du terme ! En effet, il difficile de passer à côté de ce dernier sans remarquer sa teinte presque criarde bleu canard !
Une solidité remarquable :
Le sac Frakta est à la fois pratique et solide. Il supporte jusqu’à 25 kg, et peu accueillir un volume de plus 70 l. Bref, il est possible d’y mettre bien des choses ! De plus, son format est plus gros que la plupart des sacs réutilisables. Ainsi, il est particulièrement pratique pour mettre les gros articles qui ne rentreraient pas à un sac à provisions standard. Enfin, ce sac possède deux sortes de poignées. Ainsi, on le porter à la main ou sur l’épaule. Parfois, en cas de gros chargement, les poignées permettent aussi de porter le sac à deux personnes, afin de se répartir le poids.
Un prix défiant toute concurrence :
Un des points qui a fait son succès c’est sans doute son prix ultra abordable.
Vendu à moins de 1 $, il est accessible à toutes les bourses!
Mais qui ne protège pas pour autant de la copie:
En effet, lors du défilé homme printemps-été 2017, la maison Balenciaga a présenté un sac à main bleu.
Ce dernier ressemble étrangement au célèbre cabas en plastique d’Ikea. Il a des proportions similaires, une couleur semblable… Bref il n’en fallait pas plus pour agiter la toile!
De plus, IKEA en a profiter pour surfer sur le bad-buzz de Balenziaga :
La célèbre marque de meubles a donc collaboré avec l’agence de pub Acne pour créer une affiche publicitaire intitulée « Comment identifier un sac FRAKTA […] original » sous-entendu, comment de le distinguer de sa « copie » Balenciaga.
La pub énumère donc à un tout les points forts du sac IKEA. La campagne insiste par ailleurs bien sur le mot « vrai ».
« Le vrai FRAKTA peut être simplement rincé à l’aide d’un tuyau d’arrosage lorsqu’il est sale ».
Une campagne réussie qui a même fait le tour des réseaux sociaux.
Cependant, si la plupart des internautes y voient une simple copie hors de prix, il faut tout de même souligner que le sac de la maison de luxe parisienne a troqué la matière plastique contre du cuir d’agneau. Ce changement de matériaux peu contribuer à expliquer le prix de vente du sac Balenziaga à près 3170 $.
Mais, si ce lancement du sac Balenziaga a fait fureur, il y en a un qui fait un peu moins parler de lui. Il s’agit de la collaboration entre HAY (la marque de design danoise), avec IKEA (l’enseigne de mobilier suédois).
IKEA x HAY :
Quand les suédois et les danois collaborent :
Il existe de nombreux produits Ikea qui ont atteint le statut d’icônes. Parmi eux, il y a le sac Frakta. Avec ses doubles poignées, son tissu imperméable, son design pliable, et son mini prix … Il a fait bien des adeptes. La seule chose, qui chagrine un peu les acheteurs, c’est sa couleur. Alors pour lui donner un petit coup de jeune, IKEA a fait appel à HAY.
Le mythique sac FRAKTA va être relooké avec des couleurs plus douces :
Le sac va garder le même le matériau, et la même forme. La seule chose que HAY va modifier ce sont les couleurs. On dit bye-bye au bleu électrique ainsi qu’à l’inscription le logo IKEA sur les poignées. HAY a préféré remplacé bleu vif, par des couleurs un petit moins criardes.
À priori, il y aura (au moins) deux versions : l’une verte sapin, et l’autre sera ornée de carreaux blanc et vert, ainsi qu’ornée de deux bandes dans le prolongement des poignées …
Ce sac sera disponible d’ici quelques mois … sans doute dès le mois d’octobre !
Et à mon humble avis, nul doute que tout le monde va se l’arracher!
En effet, pour moi le sac à provisions Frakta est tellement un élément incontournable. La taille et la force du sac le rendent extrêmement polyvalent. Je l’utilise pour les retours des bouteille consignées, lors de mes déménagements, pour les courses, etc. Parfois, je l’utilise même pour mes achats IKEA !!
Il s’agit d’un article qui a fait ses preuves depuis longtemps. Il est devenu pour moi véritable un must-have !
Et si l’avenir de la construction était dans les bennes à ordures et les sacs de gravats? C’est l’avis des architectes Julien Choppin et Nicola Delon de l’agence « Encore Heureux » qui considèrent que l’ont jette parfois au rebut des matériaux qui pourraient être encore exploités. Ainsi afin de prouver qu’il est possible de faire de belles choses même avec des matériaux de récup’ ils ont conçu le Pavillon circulaire. Il a donc été conçu avec la volonté de diminuer la consommation de matières premières et de ressources. La problématique de la gestion des déchets est au centre de la pratique des architectes.
Ainsi, ce bâtiment municipal n’a rien de circulaire, si ce n’est son processus de fabrication.
Ce bâtiment municipal a été commandé par la ville de paris, en amont de la COP21. Ainsi, la Ville de Paris s’est engagée à exposer des projets dans l’espace public, qui démontrent que l’on peut faire beaucoup avec peu de moyens.
Pour que le résultat soit à la hauteur de leurs ambitions, ils ont fait appel à l’agence Encore Heureux. Ces derniers ont alors conçu un bâtiment à faible impact environnemental, en suivant les principes de l’économie circulaire.
C’est-à-dire que ce bâtiment a été fabriqué uniquement avec des matériaux de réemploi.
Lorsque les déchets des uns sont les ressources des autres :
Le bâtiment est composé d’une structure en bois. Les tasseaux de la structure ont été récupérés. Ils proviennent du surplus d’une commande d’immeubles de bureaux. Ensuite, le pavillon est composé d’une couche d’isolation fabriquée à partir de laine de roche. Cette dernière provient d’un excédent de toiture d’un chantier de centre commercial. Puis, le bâtiment est recouvert d’un bardage étonnement très élégant. Il est constitué de 180 portes en chêne. Elles ont été assemblées suivant un motif à chevrons. Ces portes palières proviennent de la réhabilitation d’un immeuble de logements situé dans le 19e arrondissement.
Enfin, pour l’aménagement intérieur l’éclairage provient de la récupération de luminaires de voiries. Le sol est composé d’anciennes cimaises d’exposition en bois du Pavillon de l’Arsenal; et le mobilier provient de collectes réalisées auprès de déchetteries parisiennes. Tout le mobilier a été réparé et repeint afin de créer une uniformité entre tous ces éléments quelque peu éclectiques.
Cette démarche expérimentale démontre qu’il est possible de faire quelque chose d’élégant à partir de matériaux de récupération.
Le pavillon circulaire, a été construit d’un le cadre d’une manifestation éphémère. À la suite de celui-ci le bâtiment a été mis aux enchères et vendu, pour la modique somme de 10 euros !!
C’est pourquoi il était particulièrement important de tenir compte de l’impact environnemental des matériaux utilisés.
Lors de son installation sur le parvis de l’hotel de ville, le pavillon était un lieu multiculturel, qui accueillait des expositions, des débats, et des rencontres :
Ainsi ce lieu était la fois démonstrateur du potentiel du réemploi dans l’architecture mais également un lieu convivial. Le pavillon circulaire était un lieu d’échange et de rencontres.
Il accueillait une programmation riche, ouverte à tous et en accès libre :
Tous les mardis soirs étaient organisés des débats ou des conférences. Le but de ce rendez-vous était de donner la parole aux acteurs de l’économie circulaire, qu’il soit architecte, urbaniste ou paysagiste.
L’objectif était de réfléchir ensemble aux façons de créer des métropoles plus durables.
Tous les mercredis, les samedis et dimanche étaient organisés des ateliers et des spectacles de marionnettes. Cette fois, l’événement s’adressait à un public. Les thèmes des ateliers étaient orientés sur des problématiques de société, comme sur le vivre ensemble, les habitats écologiques et le gaspillage.
Bref, la programmation avait pour but de promouvoir une nouvelle économie; l’économie sociale, solidaire et circulaire
Le pavillon comportait également un café solidaire et un restaurant, au sein duquel, le chef Pierre Sang promouvait la gastronomie circulaire. Ainsi, il se servait des rebuts pour concocter de savoureux plats. La gastronomie circulaire est approche responsable qui lutte et réduit le gaspillage alimentaire.
Dommage que l’aventure du pavillon circulaire n’est pas durée plus longtemps.
Les blogueurs d’aujourd’hui semblent très loin des débuts du blogging…
Dans les années 2000–2010 : les blogueurs ont commencé à bloguer pour exprimer un point de vue autour de sujets qui étaient souvent sous ou mal représenté par les médias traditionnels. Ils étaient diversifiés, authentiques et très divertissants.
Les thématiques abordées par ces derniers étaient larges, elles couvraient aussi bien les tendances insolites comme le crochet, le Kawaii, le wax, et bien d’autres…souvent sous forme de journaux intimes anonymes.
Aujourd’hui l’anonymat des débuts d’internet semble bien loin!
En effet, les blogueurs qui autrefois étaient discrets ou anonymes se retrouvent dorénavant sous le feu des projecteurs. Les pionniers comme Garance Doré ou Scott Schuman (celui qui est derrière le blogue The Sartorialist) sont devenus de véritables vedettes des médias sociaux. Ces blogueurs sont devenus des véritables influenceurs.
Si autrefois c’étaient des outsiders du milieu de la mode, aujourd’hui ils sont devenus des icônes à part entière sur les médias sociaux. Ainsi désormais les marques leur accordent une place importante. Et ceux sont eux qui siègent aux premiers rangs des défilés. Outre cet exemple démonstrateur, la plupart des enseignes ont tissé, au fil des années, des liens solides avec les blogueurs devenus de véritables influenceurs. Les marques ont bien compris, et saisis, le rôle et l’influence que ces personnalités avaient sur leurs communautés. Ainsi elles soignent la relation qu’elles entretiennent avec eux. Elles leur accordent volontiers divers cadeaux, invitations, privilèges et toute sortes de partenariats. Mais avec le temps la relation entre les blogueurs et les marques a évolué. Est-ce que ce changement a transformé l’univers du blogging? L’âge d’or des blogues est-il révolu?
Alors le blogue est-il mort?
Les blogues de mode sont ceux qui ont connu l’ascension la plus fulgurante. En effet, ils apportaient quelque chose de frais, et de nouveau à un univers jusque-là opaque. Les blogues par leurs regards inédits ont révolutionné le monde de la mode, en publicisant les défilés, jusque là hermétiquement fermés au public. Ils se sont même souvent attiré la jalousie et la convoitise, des rédactions de journaux traditionnels. Bref, les blogues de mode ont grandement contribué à démocratiser la mode, en partageant leur regard, et leurs bons plans…
Mais à force de flirter de près avec les grandes enseignes, la sincérité et l’intégrité des blogueurs sont de plus en plus remis en cause. Et les blogueurs se retrouvent alors pointés du doigt, pour leur manque d’objectivité.
Enfin si autrefois les blogueurs démocratisait un milieu opaque, désormais, ils s’affichent tous avec les vêtements et des sacs de maisons de luxe, qui sont inaccessibles pour le commun des mortels. Alors si autrefois, les blogueurs étaient comme vous et moi, aujourd’hui il semblerait qu’ils se soient rangés du côté des enseignes.
Où est passé le regard critique et distancé des blogueurs?
Il suffit d’analyser le web site de Garance Doré pour constater l’évolution du milieu. Elle photographiait autrefois les modeuses qu’elle admirait dans la rue. Aujourd’hui les femmes qui sont photographiées sur son blogue, et sur ses réseaux sont ses amies. Les marques qui l’a faisait rêver, et qui lui paraissaient inabordable font désormais partie de son quotidien, et jonchent les pages de son site web.
Cette ascension et ce genre de succès story sont au cœur des médias.
Bien que ce type d’aboutissement reste tout de même rare dans le milieu, il fait rêver de nombreuses personnes. Ainsi, chaque jour les blogueurs sont de plus en plus à se lancer dans l’aventure du blogging.
Cependant, aujourd’hui les personnes lancent leur blogues le font dans le but, non pas de partager leur point de vus, mais uniquement dans l’espoir de pouvoir un jour flirter avec les maisons de luxes dont elles rêvent tant.
Les blogues de mode se sont également démocratisés grâce aux réseaux sociaux.
En effet, quoi de plus rapide aujourd’hui que de créer un compte instagram, une page Facebook, ou même un compte Twitter. Tout cela n’a jamais été aussi facile et accessible qu’aujourd’hui.
Les médias sociaux ont-ils pris le relais?
Les réseaux sociaux permettent de partager et de diffuser rapidement des informations, ainsi pourquoi les lecteurs (potentiels) prendraient-ils le temps d’aller lire un blogue quand ils peuvent voir et lire un contenu semblable sur les médias sociaux?
Et si les réseaux sociaux étaient devenus des blogues à part entière?
Les plateformes comme Twitter ou Instagram sont souvent considérées comme des espaces de micro-blogging, alors dans ce contexte quelle est la valeur ajoutée d’un blogue?
Aujourd’hui la question de la valeur ajoutée d’un blogue, est relativement peu prise en compte, car la principale chose, qui importe les marques c’est le nombre d’abonnés.
C’est dommage à mon sens, car la valeur ajoutée d’un blogue est pourtant tangible. Mais de nombreux blogueurs ne la perçoivent pas. Car lorsqu’on blogue il faut savoir être patient avant de percevoir le fruit de son travail. Or sur les médias sociaux, c’est l’inverse, c’est immédiat. On poste une photo et boom les likes et les commentaires fusent. Les réseaux sociaux permettent ainsi d’acquérir un « succès » plus rapide. Et aujourd’hui c’est les gens comme les marques sont à l’affut de cette immédiateté.
Cependant, les réseaux sociaux et le blogue sont deux entités complémentaires, pour qui c’est les utiliser à bon escient.
Il faut savoir percevoir la relation entre « le temps court » des tweets, et du flux des perpétuelles actualisations des statuts sur les médias sociaux, et le « temps long » — les articles publiés, couchés « sur papier » qui paraissent sur internet. L’un a une durée de vie de quelques heures, que l’autre est pérenne.
C’est pourquoi le blogging n’est pas en voie de disparaitre.
De plus, les réseaux sociaux c’est éphémère.
On n’est jamais à l’abri, de la disparition d’un réseau, comme on l’a vu pour MySpace, MSN… et bien d’autres.
Alors que l’avenir de la plupart des plateformes comme Facebook, Instagram ou twitter, demeurent incertaines, le blogue, lui est une plateforme indépendante, dont les auteurs sont les propres chefs décisionnels.
De plus, l’instantanéité des réseaux fait que le post est perçu, puis il est perdu dans un fil d’actualité qui ne cesse de s’actualiser. Alors que les articles de blogue eux sont référencés et une recherche sur Google les ramène sans cesse, vers ce même contenu.
Enfin, un blogue nous permet d’avoir de grandes libertés.
Sur un blogue, tu peux tout customiser : le fond, la mise en page, les couleurs… Alors que sur Instagram, (comme sur Twitter ) tout est standardisé par la plateforme. Le photo de format est carré et le feed doit être homogène. ( pour ne pas se faire pénaliser par l’algorithme.)
Instagram est un réseau social qui a pris une énorme importance ces dernières années, au point que les marques s’y intéressent exagérément. On ne me demande plus au blogueurs tu peux faire un article sur ton blogue, on me demande tu peux faire un post Instagram?
Mais ces influceurs qui misent tout sur les réseaux sociaux ont-ils tords?
Je ne crois pas, car les marques ne demandent toujours en première instance les nombres d’abonnés. Cependant, elles ont tords…
Car l’influence, c’est beaucoup plus qu’un nombre d’abonnés.
Et si les marques se détournaient des grandes vedettes des réseaux sociaux au profit des micro-influenceurs?
Lentement mais sûrement, ces outsiders que sont les micro-influenceurs sont en train de grignoter leur part du gâteau du marketing d’influence. Mais elles sont encore trop peu de marques à explorer les opportunités que représentent les micro-influenceurs.
Les micro-influenceurs, c’est qui et c’est quoi?
Il s’agit de profil de personnes lambda, comme vous et moi, mais qui ont la particularité d’être actives sur les réseaux sociaux. Ainsi elles ont rassemblé une grande partie de leurs amis (et éventuellement quelques curieux de passage) autour d’eux.
Mais pour quelles raison vouloir faire appel à Monsieur ou Madame Tout Le Monde?
Micro-influenceurs = maxi-engagement :
En effet, cela peut sembler absurde, mais bien souvent, les comptes qui comptent moins d’abonnés ont un engagement supérieur.
Les micros influenceurs interagissent plus avec les leurs abonnés.
Ayant moins d’abonnés, ils sont d’autant plus susceptibles d’être proches de leur communauté. C’est certainement l’une des raisons qui expliquent le fort taux d’engagement de leurs communautés.
On peut aussi expliquer leur fort taux d’engagement, par le fait que l’image que les micro-influenceurs renvoie n’est pas détériorée par une surexposition. Ainsi, ils écrivent et postent ce qui leur plait de façon naturelle et authentique. Ils ont une activité professionnelle à coté, et ainsi il ne dépendent pas de leur contrats publicitaires. Ainsi si un micro-influenceur accepte un partenariat, il aura plus de chance de le faire car il aime le produit, et non car il est un peu limite du coté des finances ce mois-ci.
Enfin, les micro-influenceurs sont moins demandés et donc ils ont encore leur intégrité ainsi que la totale confiance de leur communauté alors convaincue de lors authenticité. C’est sans doute cela qui explique que les petits influenceurs ont un taux d’engagement organique supérieur à ceux qui sont devenus des personnalités publiques.
Par exemple Kim Kardashian a un engagement organique d’environ 1,5 % alors que de petits influenceurs atteignent des taux d’engagement bien supérieurs, qui varient entre 5 à 15 % environ.
Voici un petit tableau basé sur le taux d’engagement moyen en fonction du nombre d’abonnés. Il met en avant pourquoi les marques, devraient davantage faire appel à des petits influenceurs.
Et vous comment voyez-vous l’avenir du blogging et des réseaux sociaux?
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