Coucou ! Qui n’a jamais craqué pour un petit carnet trouvé ici et là …
Personnellement, j’adore ça, j’ai l’impression qu’avec un nouveau carnet je serai bien plus organisée, et plus productive !! D’ailleurs on vous en a déjà un peu parlé dans cet article : le Productivity Planner, un carnet pour se concentrer sur le plus important.
Bref, cette semaine je vous propose de customiser un carnet avec du fil et une aiguille ! Une sorte de broderie super simplifiée.
Pour ce DIY broderie d’un carnet, il vous faudra :
un carnet !
du fil à broder ou de la laine pas trop épaisse
une aiguille adaptée au fil choisi
des ciseaux
une pince
une imprimante ou un crayon
Étape 1 :
Imprimez un motif trouvé sur le web ou dessinez-le directement à la main au crayon sur une feuille.
J’ai trouvé ce joli motif d’arbre feuille sur pinterest, privilégiez les motifs géométriques, ou dit « linéaire » pour faciliter la broderie après.
Une fois ceci fait, posez la feuille sur la couverture du carnet à personnaliser et fixez-la à l’aide d’une pince par exemple.
Étape 2 :
Avec une aiguille (sans fil pour le moment) ou un compas percez chaque point : mis en orange ici
Ils correspondent à la fin de chaque segment.
Étape 3 :
Retirez la feuille, et admirez vos petits trous 😉
Enfilez votre fil dans l’aiguille.
Étape 4 :
Faites un nœud au bout de votre fil et piquez dans un des trous (côté intérieur du cahier)
Étape 5 :
Faites ressortir l’aiguille de l’autre côté, et piquez dans le prochain trou pour re-dessiner votre dessin à l’aide du fil.
Étape 6 :
Et continuez ainsi de suite …
Étape 7 :
Si vous manquez de fil : faites simplement un nœud de fin en créant une boucle bien serrée.
Puis repassez à l’étape 4.
Étape 8 :
Voilà, c’est assez simple et ce qui compte c’est le résultat sur la couverture extérieure.
Pour vous rassurer, le côté interne de mon cahier ne ressemble à rien !
Heureusement l’avant est plutôt réussi !
Si jamais l’aspect non régulier de la broderie intérieure vous dérange, vous pouvez coller une jolie feuille de papier dessus par exemple !
Et voilà !
A vous de jouer et n’hésitez pas à nous envoyer vos belles créations !
Et pour rappel si après cette expérience vous voulez vous lancer dans de la broderie sur tissu, rendez-vous sur ce tutoriel
« We Take It Back » est le nom du programme de recyclage lancé par C&A.
En 2012, C&A s’est mise à proposer à ces clients hollandais de collecter leur vieux vêtements usagées en magasin. L’enseigne néerlandaise C&A a confié la mission à I:CO un programme de l’entreprise SOEX. C’est donc I:CO qui organise le transport de tous les vêtements et textiles collectés. Les vêtements et autres textiles collectés sont acheminés vers un centre de traitement, dans lequel chaque vêtement est trié à la main et catégorisé, afin que chacun d’entre eux soit revalorisé.
Suite au succès du programme de recyclage lancé aux Pays-Bas, C & A étend son programme de recyclage en Belgique, au Luxembourg et en Suisse.
Depuis 2012, le détaillant a collecté plus de 278 000 kilos de vêtements, au cours des cinq dernières années. Mais le distributeur néerlandais compte faire mieux en matière de recyclage. C’est pourquoi C & A étend son programme de recyclage de vêtements «We Take it Back» en Belgique, au Luxembourg et en Suisse.
Comment le programme « We Take It Back » fonctionne?
C&A offre une réduction en échange d’anciens vêtements
Dans le cadre de son programme «We Take It Back», C & A offre aux clients la possibilité de retourner des vêtements non désirés dans leurs 121 magasins C & A. En contrepartie, les clients reçoivent une remise de 15% sur leurs futurs achats.
Comment I:CO recycle-t-il les vêtements récupérés via le réseaux de magasin C & A ?
Selon I:CO, environ 60% des articles collectés prennent la voie du réemploi. I:CO revend les vêtement en bon état. Ainsi certains des vêtements collectés entament une nouvelle vie.
La majeure partie du reste sera recyclée pour devenir de nouveaux produits : les textiles particulièrement absorbants seront utilisés pour la production de chiffons de nettoyage et d’autres textiles seront déchiquetés en fibres et serviront de matière première pour la fabrication de matériaux isolants, de toiles de peinture ou de rembourrage de meubles ou de sièges de voiture dans l’industrie automobile.
I:CO a optimisé son processus afin d’avoir le moins de pertes possible, et le plus de revalorisation possible.
En effet, les employés du centre de tri séparent les articles en métal du reste des vêtements. Les boutons et les fermetures en métal auront une seconde vie dans l’industrie de la métallurgie.
I:CO recycle même la poussière, produite pendant le processus de recyclage mécanique. Elle est pressée en briquettes pour l’industrie du carton.
Enfin, malgré tout cela, il reste certains textiles. Afin de valoriser ceux qui n’ont pas trouvés de débouchés, I:CO les utilisent comme combustibles pour la production d’énergie.
Jeffrey Hogue, le directeur mondial du développement durable chez C & A, a déclaré:« Notre approche se base sur l’idée que nous devons transformer notre industrie d’un modèle de fabrication, d’utilisation et d’élimination à un modèle où chaque produit vestimentaire est conçu avec une prochaine vie à l’esprit. Les articles Cradle-to-Cradle Certified ™ de notre nouvelle collection #WearTheChange sont un excellent exemple de cette vision circulaire. La transition vers une industrie de l’habillement entièrement circulaire sera difficile, exigera du temps et une approche systémique holistique. Les étapes importantes de ce processus sont le développement d’un système efficace de collecte et de tri à travers le monde, l’accompagnement de start-ups innovantes, le développement de nouvelles technologies cycliques et l’utilisation de matériaux recyclés dans nos vêtements »
L’initiative de recyclage C & A a été lancée en 2012 aux Pays-Bas. L’enseigne prévoit d’ici 2020, C & A d’offrir le programme de recyclage dans ses 18 pays de distribution européens, ainsi qu’au Brésil, au Mexique et en Chine.
Nous mettons de cotés, les articles que nous n’avons pas portés au cours des derniers mois … Ou au cours des dernières années… Mais qu’arrive-t-il aux vêtements usagés que nous ne portons plus? Dans le meilleur des cas, nous les donnons à nos proches ou à nos amis. Parfois, nous les échangeons. Parfois également, nous les apportons à une organisation de charité ou à un organisme comme l’Armée du Salut pour en faire don. La plupart des consommateurs qui font dons de leurs vêtements pensent que leurs pièces indésirables bénéficieront à quelqu’un qui en a besoin. Ainsi, une fois débarrassés du trop plein de notre garde-robe, nous nous félicitons de notre don. Et nous repartons le cœur léger…
Cependant, le voyage d’un vêtement donné peut ne pas être aussi linéaire que vous le pensez. Voici qui arrive réellement à vos vêtements donnés.
Les vêtements collectés suivent un processus très complexe qui comporte beaucoup d’intermédiaires.
Contrairement à la croyance populaire (naïve), moins de 20 % des dons de vêtements envoyés à des organismes de bienfaisance sont effectivement revendus dans ces organismes de bienfaisance. Les 80 % des dons restants sont généralement envoyés à des recycleurs de textiles qui déterminent ensuite le cycle de la deuxième vie du vêtement.
Pourquoi est-ce qu’on exporte les vieux vêtements ?
Elizabeth Cline, auteur d’Overdressed explique « il y a beaucoup plus de vêtements non désirés aux États-Unis qu’il n’y a de demande ». Ainsi, pour rééquilibrer le marché des vêtements de seconde main, les organismes de bienfaisance exportent une grande partie des vêtements reçus. Les organismes de bienfaisance reçoivent beaucoup plus de dons de vêtements que ce qu’ils pourraient vendre dans leurs friperies. Alors pour ne pas les jeter, et pour trier un revenu de ces vêtements collectés, ils font affaires avec des entreprises de tri et d’exportation de textiles. Cela leur permet de trouver un débouché pour vendre et écouler les vêtements récoltés.
Vous l’aurez compris, il y a peu de chances que votre vieux jeans se retrouve porté par l’itinérant du coin…
Cependant, la revente de vos dons, va tout de même aider l’organisation dans sa mission caritative.
Je pense que certains d’entre vous pourraient se sentir bernés ou mal à l’aise avec l’idée que quelqu’un, quelque part, tire profit de vos dons de vêtements. Mais il faut voir cela d’un point de vue pratique. Les organisations auxquelles on fait dons de nos vêtements nous fournissent un service. Ils font disparaître ces vêtements non désirés.
Cette situation d’exportation des vêtements usagés vers les pays en voie de développement est une conséquence de la fast fashion (mode rapide).
Les Américains achètent cinq fois plus de vêtements que dans les années 1980. La quantité de vêtements que reçoivent les organismes de bienfaisance et les friperies a doublé au cours des 15 dernières années, car les gens se séparent beaucoup plus souvent et plus souvent qu’avant. Une grande raison est la montée de la mode rapide.
Ainsi, par exemple les États-Unis envoient à l’exportation plus d’un milliard de livres de vêtements usagés par an. La plupart de ces textiles excédentaires sont acheminés vers des pays d’Afrique de l’Est comme le Kenya, le Rwanda et l’Ouganda.
La mode rapide nous a permis de développer une dépendance à l’achat de vêtements et, en même temps, elle nous a vraiment aidés à élever la culture du jetable.
Depuis l’inondation des marchés par la mode rapide, les pays occidentaux consomment la mode comme quelque chose de jetable. En 2015, l’association britannique Barnardo’s a interrogé 1 500 femmes de plus de 16 ans. L’étude révèle qu’en moyenne un vêtement n’est porté que sept fois. 33 % des femmes interrogées considèrent que les vêtements sont « vieux » après les avoir portés moins de trois fois. Des statistiques alarmantes quand on s’est l’impact environnemental d’un t-shirt.
Selon Kestrel Jenkins cette dépendance au shopping est due aux médias sociaux.
« Pensez au fait que beaucoup de blogueurs porteront une chose une fois et ne la porteront plus jamais », dit-il. Cela ne signifie pas nécessairement qu’ils le donnent tout de suite, mais la culture Instagram nous amène à croire que nous devrions avoir honte d’être vus plus d’une fois dans la même tenue.
Je pense également qu’Instagram et le hastag #ootd encourage la surconsommation de vêtements. J’ai d’ailleurs consacré un article à la tendance du « snap and send back ».
Les gens donnent trop rapidement les vêtements qu’ils achètent car la qualité des vêtements achetés est moindre.
Une solution simple consiste à magasiner mieux.
Il faut cesser d’acheter des pièces tendance, à la mode, au profit de vêtements aux coupes plus intemporelles.
Préférer acheter un jeans plus cher, mais dont la coupe vous va parfaitement, et qui est fait pour durer.
Pensez à la fin de la vie d’un vêtement lorsque vous achetez quelque chose de nouveau.
Penser à combien de fois vous pourriez le porter : allez-vous pouvoir l’intégrer dans votre garde-robe et l’utiliser de multiples façons et vraiment lui donner la vie qu’il mérite?
Assurez-vous de poser suffisamment de questions lorsque vous faites un achat de vêtements. Plus une marque est transparente mieux c’est. Elle doit pouvoir être transparente sur le lieu de fabrication. Elle doit également être capable de mentionner les fibres utilisées et leurs provenances.
C’est un processus fastidieux, mais nécessaire.
Enfin, si vous ne souhaitez pas que vos vieux habits aient un fort impact environnemental lors de leur 2e vie, essayez de les donner à quelqu’un.
Pensez par exemple à organiser une soirée swap entre ami(e)s. C’est une des meilleures façon d’assumer la responsabilité de vos propres vêtements non désirés.
Cependant, si à l’issue d’une soirée de dons ou d’échange vos vêtements n’ont pas trouvés preneurs, apportez-les à une association.
Même si le fonctionnement de associations ne peuvent vous renseigner sur la seconde vie de vos vêtements, il reste primordial de se débarrasser adéquatement. Cela signifie que vous ne devez jamais jeter vos vêtements ou autres textiles à la poubelle. Le citoyen américain moyen jette environ 80 livres de vêtements et de textiles par an. Si vous disposez de vos vêtement de façon non responsable, il y a de fortes chances que celui-ci finisse sa vie dans une décharge ou dans un site d’enfouissement. Dans les 2 cas, la décomposition des fibres textiles va émettre une pollution toxique. Alors même si vous n’êtes pas 100 % d’accord avec la façon dont les organismes de bienfaisance disposent des vêtements que vous donnez, ça reste une meilleure alternative à la mise en décharge.
Et vous? Comment faites-vous pour vous débarrasser de vos vieux vêtements? Plutôt team vide-dressing ou soirée d’échange? Apportez-vous vos vêtements usagés dans des points de dépôts?
Le shaka est un geste de la main généralement lié à Hawaï au point d’en être devenu un symbole.
Le « Shaka » peut signifier « relax » ou « détends-toi ». Le shaka est un rappel constant qu’à Hawaï, la norme est de ne pas stresser ni se presser. Le signe shaka représente le « style des îles ». Il indique que tout va toujours bien.
A Hawaï, on utilise le le Shaka partout dans la vie de tous les jours. Il porte de nombreuses significations. On l’utilise pour dire « Merci », « ça roule », « de rien » et beaucoup d’autres choses. Mais lorsqu’on demande aux Hawaïens de clairement définir le Shaka, ils répondent qu’il représente l’Aloha Spirit, un esprit d’appréciation et d’amour. Pour eux ce signe fait partie du quotidien.
Cependant au fil du temps, le shaka a évolué et formé des variantes, chacune avec des subtilités différentes dans la forme et le sens.
Voici quelques-uns des types de shaka les plus courants que vous verrez.
1. Le classique shaka, acceptable dans toutes les situations.
Le pouce et l’annulaire sont complètement étendus, tandis que le reste de vos doigts sont enroulés dans votre paume. La paume de la main peut être dirigée vers votre poitrine lorsque vous avez besoin de prendre une pose pour des photos, ou dirigée vers une autre personne pour envoyer un message de confirmation ou de remerciement.
2. le shaka local
Les habitants d’Hawaï optent parfois pour cette version du shaka plus douce.
Le petit doigt et le pouce ont une courbure impénétrable, tandis que le reste des doigts sont à peine fermés, c’est comme si vous vouliez faire du shaka, mais que vos doigts sont tellement détendus que vous vous retrouvez à mi-chemin.
3. Le shaka : on s’appelle ?
4. Le double : le shaka shaka
Inclinez les jambes, courbez le torse et initiez deux shakas simultanément, les bras croisés. Cela peut fonctionner comme une méthode d’intimidation avant un match. Cela fait également office de pose amusante et ironique pour les photos.
5. Le shaka du continent
Une fois rendue sur le continent les choses changent. Les Poke ne contiennent plus de riz, les slippers sont appelées des tongs et les shakas sont tournés vers de haut.
La surréservation est désormais une pratique généralisée auprès des compagnies aériennes. C’est une réalité du marché. C’est pourquoi il faut donc s’attendre, à parfois, se voir refuser l’embarquement à bord de notre vol d’avion.
Voici quelques trucs pour réduire tes chances de faire partie de la liste des loosers qui ne pourront pas embarquer à bord de l’avion.
Tout d’abord c’est quoi le surbooking ?
L’overbooking ou le surbooking a lieu quand les compagnies aériennes vendent plus de billets qu’il n’y a de places dans l’avion.
Le risque avec cette technique c’est évidemment que certains passagers se voient refuser l’embarquement, faute de place. En cas de surréservation de l’avion, certaines personnes se retrouvent aléatoirement contraintes à rester à quai bien qu’elles avaient réservé leurs billets d’avion en bonne et due forme.
Pourquoi les compagnies s’obtiennent-elles à ventre plus de billets qu’il n’y a de place dans l’avion?
C’est stratégique ! Constamment au fil du temps qu’il y avait un nombre important de personnes ne se présentaient pas à l’embarquement (jusqu’à 25 %) et pour lutter contre ces désaffections de dernière minute, les compagnies aériennes ont mis en place une méthode qui impacte plus de 250 000 passagers aériens chaque année : elles vendent plus de place qu’il n’y en a de disponibles dans l’avion.
De cette façon, la compagnie aérienne est sûre de vendre 100 % des places et donc de rentabiliser au mieux le vol. Seulement voilà : parfois, le nombre d’annulations n’est pas suffisant et la compagnie se retrouve avec trop de passagers à bord. Il y a surréservation.
Pour contrer les nombreuses annulations de dernières minutes, les compagnies aériennes vendent 5 à 10 % de plus de sièges que la capacité réelle de l’avion. Alors, des fois, ya juste trop de monde et pas assez de places dans l’avion.
Oui, le surbooking est légal !
Premièrement, il faut savoir que le surbooking (ou surréservation) n’est pas illégale et qu’une compagnie aérienne peut, en tout temps, vous refuser l’embarquement à bord de son appareil.
Mettre toute ces chances de son coté pour éviter le surbooking
#1 Arriver en avance :
Respecte les temps recommandés par la compagnie. En général 3 heures avant le décollage.
#2 Réserver ton siège à l’avance :
Réserve ton siège au moment de l’achat. Ou 48 à 72 heures à avant le départ, il est possible de choisir son siège dans l’appareil sur le site de la compagnie aérienne.
#3 Éviter les vols avec escales
Éviter les vols avec escales, car plus de vols signifie plus de probabilités de faire partie des victimes du surbooking.
#4 Devenir membre du programme VIP
Faire partie du club des voyageurs privilégié de la compagnie aérienne. Si tu as la carte magique, ils seront sans doute plus gênés de te choisir…
#5 Éviter les périodes de pointe
Les vols d’avion le 23 décembre et le lundi matin sont probablement à éviter.
#6 Éviter les derniers vols de la journée
: tous les « bumpés » seront déportés sur les vols plus tard dans la journée, si bien que les derniers vols pourraient être surbookés à cause des victimes de la surréservation.
#7 Bien choisir ta compagnie aérienne
Certaines sont tristement réputées pour abuser de cette pratique.
Mais à l’inverse, certaines ont des politique qui t’offriront un meilleur dédommagement, en cas de refus d’embarquement.
#8 Prendre un billet en première classe ou classe affaires
Si tes finances te le permette : voyage en classe affaire : les surréservations sont beaucoup plus rares en première classe.
BONUS : Faire des bébés
Les femmes enceintes, les personnes à mobilité réduite ou accompagnée de jeunes enfants sont prioritaires pour l’embarquement.
Pour ce qui est du surbooking, la compagnie a l’obligation de te proposer 2 solutions :
• l’annulation de ton voyage (tu renonces à ton départ) moyennant le remboursement intégral de ton billet + un dédommagement.
• un siège sur le vol suivant, avec dédommagements et prise en charge de tous tes frais (nuit d’hôtel, repas, appel téléphonique…).
Bon voyage ! Enfin, si tu parviens à décoller ! 😉
Est-ce cette situation t’es déjà arrivé ? Si oui raconte-moi dans les commentaires !
Monoprix est une chaîne de magasins de la grande distribution. Majoritairement implantés en ville qui sont aujourd’hui habitées par des célibataires. À l’occasion de la Saint-Valentin Monoprix a donc eu l’idée de leur rendre hommage ou de les aider dans leur quête amoureuse. Pour se faire elle a ainsi lancé le « Pack 06 ».
Le Pack 06 une gamme de produits pour draguer en magasin et laissez votre 06 dans son caddie.
Il s’agit d’une gamme composée de sept faux produits. Ce qui fait leur charme c’est bien sur leur packaging. Monoprix a une fois de plus misé sur les jeux de mots.
Ces faux produits permettront aux célibataires de déclarer leur flamme à l’inconnu(e) croisé(e) au détour d’une allée. Car honnêtement, qui n’a jamais craqué sur un(e) inconnu(e)dans les rayons d’un supermarché ? Personne!
Pour ne plus laisser filer l’amour de votre vie, Monoprix a une fois de plus fait appel à l’agence Rosapark pour monter cette ingénieuse idée marketing !
Ensemble ils ont développé des messages teintés d’humour. Ils ont ainsi détourné les célèbres packaging de l’enseigne pour aider les plus timides à faire le premier à pas… Et pourquoi pas trouver l’amour ! Pour démontrer l’utilité des « Packs 06 », l’agence a même conçu un film digital dans lequel Alice parvient à aborder César au rayon salades grâce à un de ces packs.
Malheureusement, les « Packs 06 » ne seront pas disponibles dans toutes les boutiques à travers la France.
Pour cette opération marketing réussie Monoprix à mis à disposition de ces clients ces packs 06 dans les magasins de Paris Les Halles, Paris Saint-Paul, Lyon GBL (Cordeliers).
Cependant, l’espoir de faire savoir à votre crush que vous existez n’est pas totalement anéanti puisque Monoprix donnera l’opportunité aux utilisateurs de Twitter de décrire leurs crush secrets avec #UnCrushChezMonoprix et fera appel à sa communauté pour tenter de les retrouver.
Monoprix et Rosapark ont une fois de plus réussi leur campagne marketing
Ils sont parvenus à renforcer leur communauté grâce à une campagne teintée d’humour et de génie!
Et qui sait, les Packs 06 ont permis à certains de tisser de nouveaux liens !
Le livre « Les 7 habitudes de ceux qui réalisent tout ce qu’ils entreprennent », de Stephen COVEY, est un grand classique de la littérature sur le développement personnel. Je serais même tenté de dire qu’il s’agit d’un incontournable que vous devez absolument lire.
Stephen R. Covey, à l’instar des nombreux gourous du développement personnel fait le constat que chaque personne doit effectuer un choix dans sa vie : se laisser guider dans une direction voulue par les autres, ou suivre sa propre direction. Ce livre donne 7 habitudes à prendre pour mieux vivre sa vie et réussir ses projets.
Habitude 1 : Sois proactif
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La proactivité, c’est quoi au juste? C’est la capacité de maîtriser son environnement.
Le concept est simple. Je suis libre de choisir mon chemin de vie, ainsi je suis responsable de mes choix.
L’auteur explique que face à un événement difficile, il existe 2 attitudes :
La réactive : c’est une personne qui subit les événements de la vie et qui a tendance à se poser en victime et à dépenser l’essentiel de son énergie à se plaindre.
La proactive : c’est une personne qui réfléchit à la vie et aux événements et qui décide d’avoir une attitude saine en apprenant de ses erreurs et en progressant.
Une personne proactive est une personne qui vit sa vie! Elle prend des décisions, parfois des risques, et assume ses choix, ses envies. Pour devenir une personne comme cela, et pour sortir de la réactivité, il faut que tu consacres ton énergie à ce que tu peux contrôler. Ainsi, inutile de blâmer la malchance, ou n’importe quoi, ça ne te fera avancer. De plus, il faut être persévérant et ne pas baisser les bras au premier obstacle.
La leçon dans tout cela, c’est que même s’il y a des événements que l’on ne contrôle pas et qui nous dépassent, on a pas nécessairement choisi de les vivre, mais on peut choisir notre réponse à ces événements.
Habitude 2 : Savoir dès le départ où on veux aller
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Le concept est simple. On peut avoir la vie qu’on veut, à condition de savoir ce qu’on veut. Pour cela, imaginez et planifiez et ainsi vous réaliserez vos objectifs.
Pour cela, il faut avoir une idée de nos objectifs personnels, et professionnels. Par exemple, ça peut être : « se marier » « devenir propriétaire » ou encore « devenir mon n+1 » « changer de job pour être mieux payé »… Bref, les objectifs peuvent être très divers, l’essentiel c’est de savoir qu’elle est notre mission.
Stephen R. Covey, propé de définir tes objectifs de vie à long terme et ta mission personnelle. Ces objectifs seront ensuite ta boussole. Cela te permettra de garder le cap, dans la bonne direction.
Habitude 3 : Donner la priorité aux choses les plus importantes
Crédit : Go Visual
Crédit : Go Visual
Il faut consacrer du temps à ce qui est important et non à ce qui semble urgent.
En fait, si on agit, car quelque chose est urgent, nous sommes réactifs. Alors que si quelque chose est important à nos yeux, comme « aller chercher son fils à l’école le soir » et bien c’est urgent.
Faire la distinction entre urgence et importance, permets de toujours faire des choix, et des actions qui sont en accord avec nos valeurs.
Ainsi on considère parfois, certains courriels, ou certaines réunions comme urgentes, mais elles ne sont pas si importantes..
Privilégier ce qui est important permet d’éliminer de sa vie tout ce qui est futile.
Pour cela, il faut apprendre à faire des choix, apprendre à renoncer et à savoir dire non.
Habitude 4 : Penser gagnant-gagnant
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Il est possible de trouver des solutions qui sont arrangeantes pour tous :
Pour adopter une attitude de gagnant-gagnant, il ne faut pas être jaloux. Par exemple, accomplir une mission pour son boss peut être contraignant pour certains. Mais en fournissant ce qu’il attend de nous, on le satisfait et donc on se satisfait également.
Habitude 5 : Chercher d’abord à comprendre, ensuite à être compris
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Une bonne écoute est la base d’une bonne relation.
Pour cela, mettez-vous à la place de votre interlocuteur, pour comprendre son point de vue. Prenez une oreille attentive et compréhensive, est un pas vers la réussite.
Habitude 6 : Pratique la synergie
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Cette habitude repose sur le principe que « le tout est plus grand que la somme des parties. »
L’écoute et le travail en équipe peuvent faire émerger de nouvelles idées. En effet, dans une équipe chacun a son expérience et une expertise. Ainsi travailler en équipe permet de tirer parti des forces de chacun.
La synergie est un concept assez intéressant, en effet, elle est bien plus puissante que le compromis. En effet, un compromis c’est se mettre d’accord pour quelque chose. Exemple, si vous souhaitez allez manger japonais et votre moitié elle préférait allez dans un restaurant il italien, et bien, un compromis c’est dire OK, on mange italien ce soir et la prochaine fois, japonais. Alors que la synergie c’est ne pas faire de compromis. Alors il faut trouver une situation, qui permettra de manger et japonais et italien, en se faisant livrer chacun son repas par exemple.
Habitude 7 : Aiguise tes facultés
Crédit : Go Visual
Pour continuer ta progression, il faut que tu entretiennes tes « capacités ».
Pour aller toujours de l’avant, il faut prendre soin de soi, et rechercher un équilibre selon les cinq dimensions suivantes : le physique, le mental, le spirituel, l’affectif et le social.
Parfois dans la vie on travaille sans relâche, mais on en oublie, de prendre soin de nos outils de travail. Ça peut être ranger ses documents, se ménager physiquement si on a un travail demandant.
Faire des pauses peut nous permettre d’être par la suite plus efficaces et plus performants. Alors pas forcément de besoin de travailler 60 h/semaine pour être productif, surtout si vous êtes freelance ou indépendant.
Voici les 7 habitudes de ceux qui réalisent tout ce qu’ils entreprennent!
Enfin, j’ai trouvé ce livre utile. Il est positif, du sens, où il fait sentir que tout est possible.
Je le recommanderais plus spécifiquement aux personnes qui sont dans une période d’entre-deux. C’est à dire, les personnes plus heureuses dans leur emploi, ou encore pour les personnes en quête d’un nouvel emploi. Je le recommanderais aux entrepreneurs, artistes et aux indépendants qui ont choisi de tracer eux-mêmes leur route.
Parce que je côtoie beaucoup de personnes seules qui souffrent de la solitude, ou qui sont mal dans leur couple, ça m’a ainsi donné envie de vous dire, en cette journée de l’amour, que l’amour ne vient pas que d’une seule personne. Il vient de partout.
Et la bonne nouvelle, c’est que toutes les façons sont bonnes pour la fêter ! Et en d’autres mots, tu n’as pas besoin d’un copain ou d’une copine pour te sentir aimé(e) et heureux, que ce soit aujourd’hui et tous les autres jours !
Prends du bon temps pour toi, pour penser à toi, faire ce qui te plaisir, mets ta playlist pref., prends un bain, bois un verre de vin et relaxe.
Si t’es cébitaire, apprécie ton célibat :
Pense à tous les superbes avantages que t’apporte ton célibat, en commençant par une main mise sur la télécommande de la télévision : pas besoin d’être contraint à regarder le foot ou les JO ce soir.
Fais la liste des trucs cool que tu aimes de ta vie de célibataire : à commencer par la prise de tête de fêter la Saint-Valentin, en allant jusqu’à la décision personnelle de garder votre appartement aussi propre ou aussi sale que tu souhaites.
Bref, soit heureux avec toi-même, que tu sois en couple ou non.
Si tu déprimes un peu, car tu es seul… relativise !
C’est correct d’avoir des petits moments où l’on se sent moins bien… Mais sincèrement, dans la vie y a tellement 1000 fois pire.
Oui, je vais te sortir le discours rébarbatif, de » il existe des milliers de gens qui n’ont même pas de maison, de nourriture, de médicaments, ou qui n’ont pas accès à des soins, ou encore qui ne disposent pas de leurs libertés ou des droits fondamentaux « … Mais c’est vrai quoi !
Alors plutôt que de regarder un film 100 % love, ce soir, regarde-toi un documentaire basé sur une histoire vraie. Au moins, tu auras une bonne raison de verser quelques larmes !
Plutôt que de te morfondre sur ton sors de célibataire, soit reconnaissant envers tout ce que tu as :
Envoie des messages de la Saint-Valentin à tous les gens que tu aimes vraiment.
Ça peut inclure les membres de ta famille, tes amis proches, et ton animal de compagnie ! Remercie-les de faire partie de ta vie. Ça t’aidera à être reconnaissant, ainsi qu’à porter de l’importance aux choses qui le sont vraiment. Parce que oui, ça devrait être interdit de sentir mal à cause d’une fête commerciale !
Enfin, si malgré tout aujourd’hui ça a tout de même été une journée de m***** pour toi. J’ai une bonne nouvelle : demain, tous les chocolats seront en promotion dans les épiceries !
Alors, à défaut d’avoir fêté la Saint-Valentin, tu peux te faire plaisir, en fêtant et en honorant la « journée de chocolats pas chers » !
En effet, au lendemain de la Saint-Valentin, le 15 février, de nombreuses boites de chocolat se bradent à petit prix. T’pouvez passer du bon temps en fêtant le lendemain de la Saint-Valentin et en profitant de tous ces chocolats, et en te réconfortant dans le fait de faire des économies ! 😉
Voilà, j’espère que ces quelques trucs t’auront redonné le sourire, ou quelques idées… 😉
Bien que je ne porte pas vraiment dans mon cœur la marque H&M, aujourd’hui j’ai entendu parler d’une collection exclusive dont j’avais tout de même envie de vous faire part. Il s’agit d’une des collections capsules « Conscious », qui servent à montrer l’engagement d’H&M pour une mode plus durable ou plutôt à redorer l’image de marque de l’enseigne. La raison pour laquelle je trouve cette initiative plus marketing/green washing qu’autre chose, c’est que ces collections ne représentent qu’une infime partie de leurs collections et de leur chiffre d’affaires. Cependant beaucoup de communications sont faites autour d’elles. Certes je conçois parfaitement qu’il est important d’informer le consommateur autour de ces collections, et de leur matériaux innovants. Mais en tant que consommatrice éclairée, je préfèrerais un peu plus de transparence la confection du reste de leurs collections…
Malgré cela je trouve que cette collection utilise des matériaux assez innovants et dont on entend relativement peu parler. C’est pourquoi je trouve que cette collection mérite tout de même d’être partagée.
Le géant suédois de la fast-fashion présente, le septième volet de sa collection Conscious Exclusive, marqué par l’introduction de nouveaux tissus durables.
Il s’agit d’une collection confectionnée en Econyl.
L’Econyl est une fibre régénérée à 100 %. Elle est conçue à partir de déchets tels que des filets de nylon et autres accessoires recyclés.
Des vêtements en matériaux recyclés
« Nous sommes enchantés d’introduire deux nouvelles matières durables dans la collection. Avec la création d’une sublime dentelle ECONYL et de superbes bijoux réalisés en argent recyclé, nous repoussons sans cesse les limites de la mode durable », souligne Ann-Sofie Johansson, conseillère créative chez H&M.
Pour créer la collection, l’équipe créative d’Anna Gedda s’est inspirée de l’art du 19e siècle.
Ils sontchoisi de rendre hommage au couple d’artistes suédois emblématique de la fin du XIXe siècle-début XXe : Karin et Carl Larsson.
Carl Larsson s’attachait a dépeindre la poésie quotidienne de sa vie de famille. Tandis que Karin Larsson s’attachait à la décoration du cottage dans lequel ils vivaient.
Les robes de la collection Conscious représentent des jardins à l’aura impressionniste, des tapisseries oniriques.
La collection se compose notamment de deux robes longues.L’une est en ECONYL avec des broderies en coton biologique. Et l’autre est en jacquard fleuri métallisé vert en polyester recyclé. La collection comprend également des accessoires tels que ces slippers en polyester recyclé. Cette collection qui sort au mois d’avril comprendra également des accessoires en Tencel ainsi qu’en lin biologique.
La collection Conscious est une jolie démarche en faveur de l’environnement.
On espère toutefois que les pièces invendues ne finiront pas incinérées. 😉
Le mouvement contre l’usage de peaux d’animaux prend de plus en plus d’ampleur.
Consciente des enjeux environnementaux la marque Juch, saute le pas et lance à son tour des chaussures éco-responsables.
Financée il y a près de 3 ans, grâce au succès grâce à une campagne de crowdfunding, Juch est une marque française de chaussures née de la rencontre entre deux jeunes ; Julia et Charles-Hugo, dont le nom de la marque est la contraction de leurs deux prénoms.
À l’instar des grandes marques, de plus petites entreprises commencent à proposer des chaussures en matières véganes, et c’est tant mieux !
Devenir végane, c’est renoncer à consommer des produits d’origine animale et issue de l’exploitation animale. Le cuir est l’un des principaux composants exclus par les véganes et c’est également l’un des textiles les plus difficiles à remplacer.
Pourtant, de plus en plus d’alternatives véganes et éco-responsables se développent.
En effet, dernièrement de nombreux similicuirs se sont développés. Mais parmi les alternatives les plus écoresponsables il y a le Pinatex. C’est une fibre végétale en laquelle je crois énormément. D’ailleurs je vous ai déjà parlé plus longtemps, il y a près d’un an dans cet article: Le cuir d’ananas, le matériau de demain?).
Et c’est justement le Pinatex que Juch a choisi pour son dernier modèle de baskets : la Pinya !
Pour rappel, le Pinatex est un textile élaboré à partir de fibres d’ananas extraites des feuilles du fruit.
Initiée par Carmen Hijosa, le Pinatex est une fibre particulièrement écologique, puisqu’elle est créée à partir de matériau de récupération. Cependant à l’inverse du cuir, le Pinatex n’entraîne pas la mort d’animaux.
La basket Pinya a un design sobre et très élégant.
Vous aimez ces baskets en « cuir végétal » ?
Vous pouvez en essayer un paire au sein de leur toute première boutique au 39 rue Dauphine 75006 Paris. Elles y sont vendues au prix de 160 euros, un prix plutôt abordable! Si ce montant peut paraitre cher pour certains, il est le reflet d’une fabrication respectant les normes européennes. Les chaussures Juch ne sont pas fabriquées à l’autre bout de la planète, mais dans des ateliers au Portugal, ou en Hongrie. Juch élimine les intermédiaires pour ne proposer des chaussures à un prix à la fois accessible et une fabrication de qualité. En effet, Juch choisit également soigneusement ces partenaires qui sont à la fois soucieux des détails, rigoureux et professionnel.
Est-ce que pour vous la quête de chaussures respectueuses de l’environnement représente parfois un véritable défi ?
Si oui partage cet article, et contribue à ta manière à faire évoluer les mentalités, et nos habitudes de consommation ! 😉
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