Ce que je ne l’achète plus – par quoi je les ai remplacés

Aujourd’hui, nous continuons notre cheminement vers le minimalisme en explorant dix produits que j’ai cessé d’acheter. Bonjour à tous, je suis ravie de vous retrouver pour cette nouvelle discussion sur les objets et produits que j’ai décidé de ne plus acheter. Certaines de ces décisions datent de plusieurs années, tandis que d’autres sont plus récentes. Je vais vous expliquer pourquoi je ne les achète plus et par quoi, si nécessaire, je les ai remplacés. Si ce sujet vous intéresse, installez-vous confortablement et découvrons ensemble comment simplifier nos vies en réduisant nos achats.

Voici 10 produits que je n’achète plus et ce par quoi je les ai remplacés

1. L’essuie-tout jetable

Pourquoi je ne l’achète plus

Cela fait de nombreuses années que je n’achète plus d’essuie-tout jetable. Cette décision remonte même à avant que je m’intéresse au minimalisme, dans une démarche de réduction des déchets. J’ai réalisé que je l’utilisais pour tout et n’importe quoi, créant ainsi une quantité importante de déchets. En supprimant ce produit de mes achats, j’ai contribué à réduire considérablement ma production de déchets ménagers.

Par quoi je l’ai remplacé

Au lieu d’essuie-tout, j’utilise désormais des torchons, des éponges et des chiffons en microfibre. Ces alternatives sont non seulement réutilisables, mais aussi plus efficaces pour le nettoyage. J’ai également reçu de nombreux torchons faits à partir de vieilles nappes, ce qui m’a permis de recycler du tissu et de réduire encore plus mes déchets. Avec ces alternatives, je ne ressens plus le besoin de revenir à l’essuie-tout jetable. Ces torchons sont faciles à laver et peuvent être réutilisés de nombreuses fois, ce qui réduit également la nécessité de les remplacer fréquemment.

2. Le papier aluminium et le film étirable

Pourquoi je ne les achète plus

Ces produits sont souvent oubliés lors des courses, et j’ai vite réalisé que je pouvais m’en passer. Ils prennent de la place dans les placards et finissent souvent froissés et inutilisables. De plus, leur utilisation contribue à la production de déchets, et leur fabrication a un impact environnemental significatif.

Par quoi je les ai remplacés

J’utilise maintenant des bocaux de conservation en verre ou en plastique (type Tupperware). Ces solutions sont non seulement plus écologiques, mais elles m’évitent aussi de penser constamment à acheter du papier aluminium ou du film étirable. Les bocaux en verre sont particulièrement avantageux car ils ne retiennent pas les odeurs et peuvent être utilisés au micro-ondes sans risque. Pour couvrir des plats, j’utilise également des couvercles en silicone réutilisables et des emballages en cire d’abeille, qui sont très pratiques et durables.

3. La vaisselle jetable

Pourquoi je ne l’achète plus

La vaisselle jetable, qu’elle soit en plastique, en carton ou même en bois compostable, génère beaucoup de déchets. Elle est souvent utilisée pour des occasions spéciales ou des pique-niques, mais finit rapidement à la poubelle.

Par quoi je l’ai remplacée

Nous avons reçu un kit de pique-nique en bambou comprenant des assiettes, des bols, des couverts et des verres réutilisables. Ce kit est léger, lavable et parfait pour les sorties en plein air, éliminant ainsi le besoin de vaisselle jetable. En plus de réduire les déchets, cette solution est plus esthétique et agréable à utiliser. Le bambou est également un matériau durable et biodégradable, ce qui en fait un choix écologique.

4. Les cotons démaquillants jetables

Pourquoi je ne les achète plus

J’ai cessé d’acheter des cotons démaquillants jetables il y a quelque temps dans le but de réduire les déchets et la charge mentale associée à leur achat constant. De plus, leur fabrication et leur élimination ont un impact environnemental non négligeable.

Par quoi je les ai remplacés

Je suis passée aux cotons démaquillants lavables, qui sont plus doux et réutilisables. Ils m’évitent de penser à en racheter constamment, et je les trouve plus économiques à long terme. Les cotons lavables sont faciles à nettoyer : il suffit de les mettre dans un filet de lavage et de les passer en machine. J’ai également investi dans des lingettes en microfibre, qui sont très efficaces pour enlever le maquillage sans nécessiter de produits supplémentaires.

5. Les produits d’entretien chimiques

Pourquoi je ne les achète plus

Les produits d’entretien chimiques, comme les nettoyants multi-usages, les détergents et les désinfectants, contiennent souvent des ingrédients nocifs pour la santé et l’environnement. Ils peuvent provoquer des allergies, irriter la peau et polluer l’air intérieur.

Par quoi je les ai remplacés

J’utilise maintenant des produits d’entretien faits maison et écologiques. Par exemple, le vinaigre blanc, le bicarbonate de soude, le savon noir et les huiles essentielles sont devenus mes alliés pour le nettoyage. Ces ingrédients naturels sont tout aussi efficaces que les produits chimiques et beaucoup plus sûrs pour la santé. Le vinaigre blanc est excellent pour détartrer et désinfecter, le bicarbonate de soude est idéal pour récurer, et les huiles essentielles ajoutent une touche de fraîcheur et d’antibactérien naturel. De plus, ces solutions sont économiques et réduisent l’impact environnemental.

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6. Le maquillage que je n’utilise pas

Pourquoi je ne l’achète plus

J’avais une grande collection de maquillage qui commençait à se périmer avant que je puisse tout utiliser. Cela créait de la frustration et de la charge mentale. Accumuler du maquillage inutilisé est non seulement coûteux, mais également peu pratique.

Par quoi je les ai remplacés

Maintenant, je n’achète du maquillage que lorsque j’ai presque terminé un produit en cours. J’évite les grandes palettes et préfère les petites palettes ou les mono fards, ce qui réduit le gaspillage. Cette approche me permet de mieux contrôler la qualité et la durée de vie de mes produits. De plus, je privilégie les marques éthiques et respectueuses de l’environnement, ce qui réduit mon impact écologique.

7. Les vêtements neufs

Pourquoi je ne les achète plus

J’ai pris l’habitude d’acheter mes vêtements sur Vinted / Leboncoin / en friperie, ce qui est souvent plus économique et écologique. L’industrie de la mode rapide est l’une des plus polluantes, et acheter d’occasion permet de réduire la demande pour de nouveaux produits.

Par quoi je les ai remplacés

Acheter d’occasion sur Vinted me permet de trouver des articles de bonne qualité à des prix bien inférieurs à ceux des magasins. J’achète maintenant uniquement des vêtements dont j’ai réellement besoin, ce qui réduit les achats impulsifs et la surcharge de mon dressing. En outre, cela me permet de trouver des pièces uniques et vintage que l’on ne trouve pas dans les magasins classiques. J’ai également développé une meilleure compréhension de mon style personnel et de ce qui me va vraiment.

8. Les bouteilles d’eau en plastique

Pourquoi je ne les achète plus

Les bouteilles d’eau en plastique sont une source majeure de pollution. Elles prennent des siècles à se décomposer et contribuent de manière significative à la pollution des océans et des terres. De plus, elles peuvent contenir des produits chimiques nocifs qui se retrouvent dans l’eau que nous buvons.

Par quoi je les ai remplacées

J’utilise maintenant de l’eau du robinet, et une gourde pour mes déplacements.

9. L’adoucissant

Pourquoi je ne l’achète plus

J’ai cessé d’utiliser de l’adoucissant car je préfère que mon linge sente simplement le propre. De plus, les adoucissants contiennent des produits chimiques qui peuvent être irritants et nuire à l’environnement.

Par quoi je l’ai remplacé

J’utilise du bicarbonate de soude dans le tiroir à lessive pour adoucir mon linge. Cela fonctionne particulièrement bien pour les serviettes et le linge de lit. Le bicarbonate de soude est un produit naturel et économique qui adoucit le linge sans laisser de résidus chimiques. Pour ajouter une légère fragrance, j’utilise parfois quelques gouttes d’huile essentielle de lavande ou de citron.

10. Les sacs de courses et poches de magasin

Pourquoi je ne les achète plus

J’ai pris l’habitude de refuser les sacs de magasin et d’utiliser des tote bags. Les sacs en plastique à usage unique sont une source majeure de pollution plastique.

Par quoi je les ai remplacés

Les tote bags sont pratiques, réutilisables et évitent l’accumulation de déchets. J’en ai toujours un ou deux dans mon sac à main pour les courses imprévues. Ces sacs sont également plus solides et durables que les sacs en plastique, ce qui les rend plus pratiques pour transporter des objets lourds ou volumineux. De plus, il existe une grande variété de designs et de tailles, ce qui permet de trouver des tote bags adaptés à tous les besoins.

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Conclusion

Adopter le minimalisme en réduisant ses achats a de nombreux avantages : on gagne du temps, de l’argent et de l’espace. Ces changements, bien que parfois petits, peuvent avoir un impact significatif sur notre qualité de vie et notre environnement. En partageant mon expérience, j’espère vous inspirer à évaluer vos propres habitudes de consommation et à envisager des alternatives plus durables et minimalistes.

Si vous avez d’autres astuces ou des produits que vous avez cessé d’acheter, partagez-les dans les commentaires. Ensemble, nous pouvons apprendre et progresser vers un mode de vie plus simple et plus épanouissant.