Vos pochettes en papier pour le calendrier de l’avent sont prêtes ?
Je vous propose de les accrocher et de composer votre calendrier à présent !
Rien de plus simple, un ballade en forêt ou dans un parc pour récupérer du bois et des feuilles, un peu de fil et c’est parti pour créer votre calendrier de l’avent maison ! Pour rappel, le tutoriel pour apprendre à faire ses propres pochettes cadeaux c’est ici !
Pour ce DIY calendrier de l’avent, il vous faudra :
Déterminez quel espace prendra votre calendrier de l’avent sur votre mur. Si la branche est trop grande, n’hésitez pas à en couper ou scier des bouts évidemment. Une fois que vous êtes satisfaits, plantez deux (ou plus) longs clous sous la branche pour la soutenir. Si vous n’arrivez pas à trouver un équilibre, vous pouvez aussi suspendre la branche à l’aide d’un fil et d’une punaise.
Étape 2 :
Essayez d’enrouler du fil autour de la branche et des clous histoire que le tout soit bien stable.
Étape 3 :
Numérotez vos pochettes si ce n’est pas déjà fait. Il existe des petits stickers mais vous pouvez aussi les faire vous-même !
Étape 4 :
Fermez vos pochettes à l’aide de petites pinces (pour ma part, j’ai utilisé des trombones mais si vos cadeaux sont un peu lourds n’hésitez pas à utiliser des pinces plus résistantes)
Étape 5 :
Découpez 24 ou 12 bouts de ruban ou de fil. Ici, j’en ai fait 12 assez longs que je plierai en deux par la suite.
Étape 6 :
Accrochez et répartissez vos 24 ou 12 fils sur votre branche (faites de petits nœuds sous la branche)
Étape 7 :
Enfin, accrochez vos pochettes à l’aide des pinces.
Rajoutez des feuilles ou des fleurs séchées sur la branche par exemple. Vous pouvez aussi y mettre une guirlande lumineuse pour émerveiller les plus petits 🙂
Et voilà ! Il n’y à plus qu’à attendre le 1er décembre !
Noël approche ! Bientôt ce sera le moment d’ouvrir vos calendriers de l’avent !
Mais avant ça, pourquoi ne pas le créer vous-même ? Un calendrier de l’avent 100% perso et handmade à base de petites pochettes en papier.
Dans ce tuto je vais vous apprendre à créer des petites pochettes à partir de différents papiers cadeaux.
C’est plutôt simple, surtout lorsque l’on a pris le pli ! (et c’est le cas de le dire 🙂 )
Pour ce DIY pochette en papier, il vous faudra :
des rouleaux de papier cadeau
de la colle blanche et un pinceau
une paire de ciseaux
une règle
Étape 1 :
Découpez un carré de papier cadeau : ici 23 par 23 cm
Étape 2 :
Pliez votre papier à environ un 1/4 du carré
Étape 3 :
Puis, pliez la deuxième moitié du papier de sorte que les deux bords se touchent, puis les coller à l’aide de colle blanche ou en stick.
Étape 4 :
Ensuite, pliez maintenant le bas de votre future pochette (à environ 1/4 aussi)
Étape 5 :
Rabattez chaque coté du rectangle de sorte à créer deux triangles (qui forment le carré)
Étape 6 :
Pliez les pointes des triangles vers l’intérieur du carré.
Étape 7 :
Collez les deux pointes (petits triangles) précédemment créées.
Étape 8 :
Pliez les bords de la pochette en long.
Étape 9 :
Reformer la pochette : rentrez les bords et reformer les plis dans le bon sens.
Étape 10 :
Enfin, finir le haut du petit sac en repliant deux fois les bords.
Et voilà !
Vous pouvez maintenant remplir vos petits sacs en papier. Vous pouvez y glisser des bonbons, des chocolats ou encore des petits jouets… Bref 1000 possibilités s’offrent à vous !
Enfin, je vous suggère de les accrocher à l’aide de ruban à une couronne, un sapin ou encore une jolie branche par exemple ! Voir la suite du tutoriel ici
La mode responsable, c’est une démarche globale, qui vise à produire des collections dans le respect des valeurs du développement durable. Cela signifie produire des vêtements dans des conditions de travail humaines, mais aussi utiliser des matières dont la production ne nuit pas à la planète, et enfin, de confectionner des vêtements de qualité. C’est dans cette optique-là, que je partage avec vous, mes designers et mes enseignes de mode préférées telles que Qéiko, Odelayo, ou encore de Vymoo.
Bref, aujourd’hui la changer notre façon de consommer la mode, est vraiment nécessaire.
En effet, le système de production et de consommation des vêtements actuel n’a aucun sens. Autrefois, on sortait deux collections par an, puis s’était amplement suffisant. Aujourd’hui les collections sortent chaque semaine. C’est ce que l’on appelle le « fast-fashion ». À l’image des fast-food, la mode est aujourd’hui vite produite, et vite consommée.
Mais ce système ne fonctionne guère plus. Il n’y a lire les nouvelles, ou à s’intéresser aux conditions de production des vêtements qui logent dans nos placards. Dans les pays ateliers de pays plus pauvres, les conditions de travail s’apparentent presque à de l’esclavagisme. Leurs travailleurs confectionnent des vêtements non-stop durant des heures, sans pause bien sûr. Ils perçoivent un salaire ridicule, qui leur permet à peine de vivre décemment. Et tout cela, dans le but de satisfaire nos 1001 coups de cœur du moment !
Alors, bien que je vous présente souvent des créateurs de mode, que j’apprécie et dont les vêtements sont fabriqués dans des conditions responsables, il n’y a que cette façon de faire. Il est aussi possible d’acheter en friperie. C’est dans cette optique-là, notamment que je vous avais parlé de la Gaillarde, une boutique friperie, qui présente de nombreux éco-designers. Et aujourd’hui, j’aimerais attirer votre attention sur la nouvelle plateforme appelée Station Service. À l’ère de l’économie sociale et du partage, ce type de plateforme se démocratise et c’est tant mieux!
« Station Service » est une plateforme de location de vêtements imaginée par Raphaëlle Bonin (et dont je vous avais déjà parlé ici) .
Le principe de la boutique Station Service est assez simple : il s’agit de louer un vêtement plutôt que de l’acheter.
Cette solution est hyper avantageuse ! En effet, pour le constater, il n’y a qu’à ouvrir votre placard pour le constater ; Comptez combien de vêtements vous n’avez pas portés plus de 5 fois… Sans doute un paquet !
Et bien, d’une part, je vous invite à vous départir de tous les vêtements que vous avez identifiés comme tels.
D’autre part, je vous invite à identifier dans quelles circonstances vous les avez achetés.
Peut-être qu’il s’agit de vêtements achetés en ligne qui finalement étaient trop étroits, ou trop amples.
Il se peut également que ce soit des vêtements achetés en gros soldes, en friperies, dont le prix accrocheur vous a plus convaincu que le vêtement en lui même.
Il se peut aussi que ce soit, une tenue achetée pour une occasion spécifique. Souvent, lors des occasions spéciales, il arrive que l’on fasse de petites folies, comme par exemple dépenser plusieurs centaines de dollars pour une robe, pour un mariage, pour un bal de finissant, ou encore pour le temps des fêtes.
Bref, Station Service vous permet de louer vos vêtements plutôt que de les acheter.
Cela vous permettra d’éviter de dépenser d’importantes sommes d’argent pour des vêtements que vous ne porterez sans doute que quelques fois.
Station Service c’est donc une façon de consommer moins tout en restant ultra stylé !
Et pour vous le prouver Station Service a mis au défi la belle et talentueuse Noémie Lacerte a créé 2 looks, pour deux occasions spécifiques; challenge qu’elle a bien sûr relevé haut la main ! Puisque la particularité de Station Service de proposer de vêtements des créateurs locaux les plus cool .
D’ailleurs le fonctionnement de la boutique de Station Service est super facile :
Puis, il faut simplement ajouter les articles sélectionnés dans le panier.
Enfin, il ne reste plus qu’à choisir entre la livraison chez soi ou la cueillette à l’atelier.
Et puis, si tu n’apprécies pas magasiner en ligne, il est aussi possible de passer directement à leur atelier sur rendez-vous pour jeter un coup d’œil aux morceaux disponibles. Sur place, tu pourras faire une séance d’essayage.
Station Service est donc une plateforme qui te permet de renouveler ta garde-robe sans te ruiner, sans encombrer tes placards, tout en encourageant les talentueux designers d’ici.
Ah le terrazzo ! Ultra tendance depuis quelques mois, j’imagine que vous n’avez pas pu y échapper !
Technique utilisée depuis la nuit des temps pour en faire des sols : à base de fragments de pierre et de marbre agglomérés à du ciment. Quelque peu passé de mode ces dernières années, on le retrouve aujourd’hui partout sur Pinterest, Instagram : sur les murs, les salles de bain, les plans de travail.
D’ailleurs plusieurs enseignes proposent de nombreux objets déco à base de terrazzo.
Personnellement, je suis super fan. C’est pourquoi je vous propose d’apprendre une technique pour créer vous-même votre propre terrazzo et ainsi créer vos objets déco
Pour ce DIY terrazzo il vous faudra :
de l’argile autodurcissante (ici, elle vient de Søstrene Grene)
un cutter, un couteau, un rouleau
de la peinture acrylique
du papier de verre
pour le pot à crayon :
du papier cuisson
du vernis
un pot à crayons, ou un objet cylindrique
un emporte-pièce
Étape 1 :
Tout d’abord, couper plusieurs bouts d’argile. Poser une noisette de peinture sur l’argile et bien les mélanger.
Ainsi, vous pouvez obtenir différentes teintes d’argile qui vous serviront pour en faire des copeaux dans votre terrazzo.
Étape 2 :
Découper vos bouts d’argile en lamelles et les laisser sécher. Une fois sèches, couper-les à l’aide d’un cutter ou d ‘un couteau pour créer des petits morceaux de taille differentes (copeaux, poudre…)
Étape 3 :
Là, on va préparer un carré pour en faire un dessous de verre par exemple. Pour faire un pot à crayons, faire la même chose avec une forme de grand rectangle. Étaler de l’argile à l’aide d’un rouleau.
Étape 4 :
Placer les copeaux sur le carré (ou le rectangle pour le pot à crayons)
Faites une joli composition, vous pouvez mélanger les couleurs, alterner les petits et grands copeaux. Inspirez-vous de photos de vrai terrazzo visible sur internet par exemple.
Étape 5 :
Une fois votre composition faite, passez le rouleau pour écraser les copeaux et les incruster dans le carré d’argile.
Étape 6 :
Mouiller votre composition pour que les copeaux se fondent bien avec la base carrée en argile. C’est une étape où votre création ne ressemblera plus à rien ! Mais ce n’est pas grave, l’important ici est d’arriver à bien sceller les copeaux avec le reste.
Étape 7 :
Créer-vous un gabarit en papier de la forme souhaitée, poser-le dessus et à l’aide d’un couteau, découper délicatement les bords.
Pour le dessous de verre vous pouvez aller directement à l’étape 11.
Étape 8 :
Pour créer un pot à crayons : emballer votre pot ou votre objet cylindrique avec du papier cuisson.
Découper la base de votre pot (ici en gris) à l’aide d’un emporte-pièce ou à la main.
Étape 9 :
Poser votre pot emballé (de papier cuisson) sur votre rectangle. Le rectangle doit être préalablement retourné : les copeaux vers la table.
Enrouler le rectangle autour du pot. Bien sceller les bords.
Étape 10 :
Essayer aussi de bien sceller le fond du pot aux bords : pour cela, créer de fines hachures et mouiller le tout. Ne pas hésiter à ajouter des petits bouts d’argile préalablement trempés dans l’eau.
Ensuite, il faut laisser sécher !
Étape 11 :
Maintenant que votre création en terrazzo est bien sèche il faut .. la poncer !
D’abord dans un grain moyen puis assez fin.
Étape 12 :
Vernir le tout pour faire ressortir les motifs.
Ici c’est du vernis en spray mais cela fonctionne aussi avec d’autre types de vernis.
et voilà !
Puis, il ne vous reste plus qu’à remplir votre pot !
Enfin, vous pouvez retrouver tous les DIY du blog sur cette page !
Aujourd’hui je vous propose un Do It Yourself super simple, rapide, léger et stylé ! Une suspension géométrique en pailles (ou mobile en paille).
Réalisé avec des pailles noires, on pourra penser que le mobile est en métal et donnera une touche industrielle à votre pièce par exemple! Pour une fête ou une chambre d’enfant, vous pouvez utiliser des pailles de différentes couleurs! Aussi, n’hésitez pas à jouer avec la lumière pour créer des ombres géométriques sur les murs.
Pour ce DIY mobile géométrique en paille, il vous faudra :
des pailles !
du fil de fer assez fin ( celui-ci convient très bien)
une paire de ciseaux
Pour les photos des différentes étapes, j’ai utilisé des pailles de longueur classique mais plus fines que les modèles standards. Pour les premières photos ce sont des pailles classiques, vous pouvez voir la différence … c’est un peu moins précis.
Étape 1 :
Pour commencer, couper le fil métallique de 2m70 environ si vous utilisez des pailles au format standard et que vous les laissez entières.
Par la suite, si votre fil est finalement trop court, vous pouvez faire un petit raccord invisible qui sera caché dans une des pailles.
Étape 2 :
Enfilez une première paille jusqu’au bout du fil en laissant un ou deux centimètres.
Étape 3 :
Enfilez une deuxième puis une troisième paille à la suite pour former un triangle.
Pour raccorder des deux bouts de fil et créer le triangle, faites un petit « nœud » : pour cela torsadez des deux fils entre eux, comme ceci.
Étape 4 :
Enfiler deux pailles en créant un angle. Rentrer le fil de fer dans une des pailles : en 1 et ressortez-le en 2.
Essayez de bien tirer et plier le fil pour que le mobile soit bien tendu.
Étape 5 :
Ajouter une paille. Puis, rentrer le fil en 3 et ressortez-le en 4.
Étape 6 :
Enfiler 2 pailles de plus, plier pour créer un angle en 5.
Étape 7 :
Glisser le fil dans la paille en 6 et le faire ressortir en 7.
Étape 8 :
Enfilez la dernière paille, rejoindre le point 8, et faites un nœud ! Voila votre suspension est terminé !
Voila !
C’était une version assez simple avec chaque paille de même longueur mais vous pouvez vous amusez avec des longueurs différentes ou plus de 3 angles !
Les dessins d’Adrien Défago se marient avec les suspensions.
Enfin, en mettant des dessins derrière, on peut jouer avec le fait que les suspensions soient seulement des structures évidées qui laissent apparaître l’arrière plan.
Nous y avons vu : le matériel nécessaire, le type de fil, d’aiguille, de tissu, et comment se servir des cercles à broder. Dans cette partie nous allons commencer à broder, mais avant il vous faudra.. un motif évidemment.
Un motif :
Pour dessiner votre motif, plusieurs solutions : Dans un premier temps, mettez votre tissu à l’envers dans le tambour de sorte d’avoir le tissu tendu mais collé à la table : pour y dessiner dessus facilement. – Soit à la main avec un crayon ou feutre effaçable à l’eau. – Soit avec du papier carbone – Ou encore par transparence avec une table lumineuse ou un ordinateur : dans la pénombre décalquez votre motif sur le tissu simplement !
Enfin retournez le tissu dans le cercle et c’est parti !
Débuter une broderie :
Faire un nœud de début
Commencer par enfiler vos deux brins dans l’aiguille et faire un nœud au bout de votre fil.
Piquer l’aiguille sur le début de votre motif par dessous : le nœud doit être caché derrière le cercle à broder.
Les points de bases :
Pour broder les contours : ce sera le point de piqûre
sortez votre aiguille en 1, piquez en 2 (un ou deux milimètres entre les deux)
ressortez votre aiguille en 3, et repiquez exactement en 2
et ainsi de suite : sortez votre aiguille en 4, piquez en 3
Plus ce sera régulier plus le résultat final sera harmonieux et soigné.
Pour les remplissages : ce sera le passé plat droit Cela permet de couvrir des surfaces rapidement, mais ce point là, je vous l’apprendrais dans la seconde partie de ce tuto 🙂
Faire un nœud de fin :
Retournez votre cercle, faites une boucle et passez votre aiguille dedans. Serrez, et votre nœud est fait !
Voila, normalement avec ces bases vous devriez déjà être autonomes !
Aujourd’hui on va parler .. broderie ! Je vous propose un pas à pas pour apprendre les bases de la broderie.
De nouveau super tendance sur instagram et pinterest depuis quelques années, la broderie se dépoussière et devient une nouvelle manière de dessiner, de customiser, ou de décorer !
Vous vous dites que c’est difficile ? Et bien en fait non, ce n’est pas si compliqué ! Il faut par contre être un peu précis pour de jolis résultats.. eh oui 🙂
Pour ce DIY Broderie il vous faudra :
un cercle à broder
des fils à broder
une ou des aiguilles
du tissu
un crayon ou feutre effaçable à l’eau
des ciseaux
Tout ceci est facilement trouvable en mercerie ou magasin de loisirs créatifs.
Je vais vous apprendre à broder simplement, avec des petits conseils et astuces pour débuter sereinement et facilement.
Du fil à broder :
Tout d’abord, il vous faudra du fil à broder (mouliné de coton). Vendu en échevettes, le fil est composé de 6 brins. Lorsque vous allez broder, il faudra isoler deux brins seulement. Le nombre de brins que vous allez enfiler dans votre aiguille dépendra de la finesse souhaitée de votre broderie. Pour isoler vos deux brins : couper un fil d’une longueur de 50cm environ (= une coudée), prendre entre deux doigts vos deux brins et les séparer pas trop rapidement (pour éviter les nœuds) des autres.
La qualité du fil est également importante. Si le fil est de mauvaise qualité il va s’effilocher rapidement, faire des nœuds, créer des petites aspérités, et visuellement le rendu sera moins lisse et uniforme. Par exemple je vous déconseille les « Anchor, soft cotton retors matt » qui sont sûrement mieux pour faire du point de croix que de la broderie. Je vous conseille les Anchor stranded mouline et Mouline ISPE italia (et il y en a d’autres !) Ceux achetés par lots ne sont souvent pas si mauvais. Pour reconnaître un fil qui sera pratique à broder, je dirais qu’il faut qu’il « brille » légèrement.
Des aiguilles :
Il y en a des spéciales broderie, (mais vous pouvez sûrement commencer avec des aiguilles standard).
Il faut que le chas de l’aiguille soit assez large pour y passer deux brins. Mais aussi que l’aiguille soit assez large pour que vos deux brins de fil passent facilement dans le trou créé par l’aiguille sans se faire abîmer (si l’aiguille est trop fine, les fils auront du mal à rentrer dans le tissu et au fur et à mesure, le fil s’effilochera)
Du tissu !
Alors vous pouvez broder sur différents tissus (des tote bags au tshirt ou chemise en passant par du jean ou des coussins) Le plus simple c’est d’avoir un tissu à maille fine : une toile avec un tramage bien serré est plus pratique pour broder. Je vous conseille des cotons ou des lins.
La rigidité du tissu compte aussi, moi j’aime les tissus qui se tiennent un peu et qui ne se déforment pas trop (= rigide) surtout si je fais des formes géométriques droites… sinon à la fin le motif est plus très droit.. Si jamais votre tissu ne correspond pas à ces critères vous pouvez le doubler avec un deuxième tissu plus serré dessous et broder les deux en même temps.
Des cercles à broder (ou tambours) :
Composés de deux cercles en bois (ou en plastique), ils servent à tendre le tissu sur lequel on va broder nos motifs. On place le tissu sur le plus petit cercle, puis on vient placer le plus grand autour. Enfin, on resserre grâce à une vis.
Voila pour le début ! RDV dans la seconde partie de ce tutoriel pour commencer à broder !
Je suis une grande admiratrice de Stephan Sagmeister… J’admire autant son travail que sa philosophie. Mais peut-on vraiment dissocier les deux? Je ne pense pas!
Si vous connaissez son travail, mais pas son mode de fonctionnement je vous conseille vivement d’écouter sa conférence Design & Happiness. Ce designer touche-à-tout place la recherche du bonheur au cœur de son travail et ça se ressent! Ses œuvres sont souvent teintées d’humour et d’autodérision. Mais il semblerait que cette petite touche soit savamment cultivée et entretenue.
En effet, afin de pouvoir prendre du recul, de la distance et de pouvoir se re-inventer Stefan Sagmeister prend une année de pause tous les sept ans.
Tous les sept ans, il ferme l’agence, afin d’entreprendre des projets plus expérimentaux. Vous savez le genre de projets, que l’on traîne dans nos un coin de notre tête où sur un bout de carnet, mais qui ne voient jamais le jour, car ils sont parfois difficiles à accomplir pendant une année classique de travail.
La première fois que Stefan Sagmeister a décidé de fermer son studio, c’était en 2000. Ça à l’air beau, sur le papier mais fermer complètement son studio pendant une période aussi longue n’est pas si facile, que ça peut en avoir l’air…
Fermer son studio cela demande beaucoup de courage et de détermination :
En effet fermer son studio pendant ça peut entraîner la perte de clients fidèles mais aussi encore la perte d’opportunités majeures. Pour se résigner à fermer, il faut voir plus loin et considérer les opportunités que cela peut nous offrir. En fait c’est comme monter une société, lorsqu’on démissionne d’un emploi salarié, on perd quelques conditions comme un salaire fixe… mais on retrouve d’autres avantages. Et bien c’est similaire, pour fermer son studio il faut considérer non pas les opportunités que l’on perd, mais celles qui s’offrent à nous.
On en rêve tous, de prendre une année entière consacrée à nos projets, et bien lui le fait. Et il va même jusqu’à nous décrire à quel point, c’est un moment merveilleux et très énergique.
Prendre une année de congé sabbatique permet de se ressourcer et de s’inspirer :
Comme tout créatif, on a une patte un style qui nous appartient, mais parfois, les mêmes idées reviennent… Et comme elles ont bien fonctionné une première fois, il arrive que l’on adapte le concept, mais cela est lassant. Pour Stefan Sagmeister, le meilleur moyen pour éviter la lassitude c’est de sortir de sa zone de confort et de sa routine, en prenant des congés.
Cette idée du congé sabbatique lui a été inspirée par le mythique cuisinier catalan de Ferran Adrià. Son restaurant est fermé six mois par an pour permettre au chef de se livrer en toute tranquillité à ses expériences culinaires.
Je crois que cette idée du congé sabbatique devient de plus en plus nécessaire à nos vies modernes.
Nos rythmes de travail sont parfois devenus si intenses, les frontières entre vie pro et vie perso si floues, le souci de productivité si prégnant, que quelques périodes de ruptures sont les bienvenues pour retrouver un équilibre intérieur.
L’année sabbatique pour Stefan Sagmeister c’est réellement un rendez-vous!
En effet, il ne conçoit pas la vie professionnelle comme tout le monde. Pour nous, la vie est séparée en parties bien distinctes. La première partie dure environ 25 ans. Elle est consacrée à l’apprentissage. La seconde et bien plus longue, elle dure environ 40 ans, elle est consacrée au travail. Enfin la dernière, est à durée variable, mais elle dure environ 15 ans et elle consacrée à la retraite. Je ne sais pas si Stéphane Sagmeister envisage de mourir jeune, mais en tout cas il a décidé de ne pas attendre sagement comme tout le monde ces 65 ans pour prendre sa retraite. En effet, il a décidé d’intercaler ces années de retraites au milieu de ces années de travail.
Ainsi tous les 7 ans Stefan Sagmeister prend une année de sabbatique.
Il a passé son premier congé aux États-Unis. Mais pour son second, il a choisi une destination plus exotique, qu’il connaissait moins, il est donc parti à Bali. Durant cette seconde année sabbatique, Stefan Sagmeister questionne la pratique du design graphique.
De ce questionnement est né un journal rassemblant aujourd’hui une vingtaine de maximes, réunies sous le titre Things I have learned in my life so far
– Complaining is silly. Either act or forget.
– Thinking life will be better in the future is stupid, I have to live now.
– Being not truthful works against me.
– Helping other people helps me.
– Organizing a charity group is surprisingly easy.
– Everything I do always comes back to me.
– Drugs feel great in the beginning and become a drag later on.
– Over time I get used to everything and start taking it for granted.
– Money does not make me happy.
– Traveling alone is helpful for a new perspective on life.
– Assuming is stifling.
– Keeping a diary supports my personal development.
– Trying to look good limits my life.
– Worrying solves nothing.
– Material luxuries are best enjoyed in small doses.
– Having guts always works out for me.
– Whatever I want to explore professionally, it’s best to try it out for myself first.
– Thinking about ideas and content freely–with the deadline far away.
– Working without interruption on a single project.
– Using a wide variety of tools and techniques.
– Traveling to new places.
– Working on projects that matter to me.
– Having things come back from the printer done well.
Soit en français :Les choses que m’a apprises la vie jusqu’à présent
– Se plaindre est idiot. Il faut agir ou oublier.
– Penser que la vie sera mieux dans le futur est stupide, il faut vivre maintenant.
– Ne pas être sincère ça se retourne contre moi.
– Aider les autres m’aide moi-même.
– Créer une organisation caritative est étonnamment facile.
– Tout ce que je fais provoque toujours un retour.
– Les drogues sont toujours géniales au début et deviennent des putes par la suite.
– Avec le temps, je m’habitue à toutes choses et commence à les tenir pour acquis.
– Ce n’est pas l’argent qui me rendra heureux.
– Voyager seul est bénéfique pour s’ouvrir de nouvelles perspectives de vie.
– Supposer est étouffant.
– Tenir un journal de bord soutient mon développement personnel.
– Essayer de bien paraître limite ma vie.
– S’inquiéter ne résout rien.
– Le luxe s’apprécie mieux à petites doses.
– Avoir des couilles travaille toujours pour moi.
– Quoi que je veuille explorer professionnellement, il est mieux de l’essayer pour moi même d’abord.
– Penser les idées et le contenu librement, avec des délais lointains.
– Travailler sans interruption sur un seul projet.
– Utiliser une large variété d’outils et de techniques.
– Voyager dans de nouveaux endroits.
– Travailler sur des projets qui comptent pour moi.
– Avoir des choses qui reviennent bien faîtes de chez l’imprimeur.
Stefan Sagmeister prouve que ce moment privilégié permet de developper de nouvelles idées ainsi que de revenir plus motivé. Alors que les trous au sein des CV font toujours tâche, Stéphane lui y voit une belle illustration. Pour lui c’est un moyen idéal, pour enrichir sa vision des choses du monde.
Parmi les beaux exemples de break il y a aussi celui de la blogueuse et entrepreneuse Josée-Anne Sarazin-Côté. Elle est partie au Nicaragua, pour surfer et pour prendre des vacances. Finalement au cours de ce voyage elle a rencontré un amoureux et s’est révélé professionnellement.
Certains d’entre vous ont déjà pris des breaks ? Quelles sont vos expériences ?
À l’heure où le sac plastique se retrouve enfin banni des commerces, il nous faut trouver des alternatives pour que nous puissions embarquer nos courses, nos petites affaires et bien plus. Le tote bag, par son prix modique, sa légèreté et sa simplicité, a tout pour s’accrocher à de plus en plus d’épaules. Mais, ce dernier, trop souvent publicitaire, parfois un peu terne n’est pas forcément l’accessoire qui égaiera votre tenue. Si vous voulez apporter un peu de fantaisie à votre sac de coton beige ce tutoriel est pour vous !
Pour ce do it yourself je vous propose de customiser un tote bag standard : on va le pimper avec un tissu fun : à paillette, rigide, cuivré, en cuir, en liège … soyons fous 🙂 Le tissu fun viendra habiller le fond du sac (l’extérieur bien sur).
Pour ce DIY spécial Tote Bag, il vous faudra :
un tote bag vierge (ici le prix est imbattable, prenez-en plusieurs !)
du tissu épais (skaï, liège, cuir.. )
une machine à coudre, des épingles, du fil
une paire de ciseaux, une règle, crayon à papier, fer à repasser.
Étape 1 :
Tracer un rectangle de la largeur d’un tote bag + 3 cm par la hauteur que vous voulez que votre tissu prenne sur votre tote bag x 2
Le tissu coloré sera plié en deux dans le sens de sa longueur pour créer le fond du tote bag.
Donc pour ma part j’ai tracé un rectangle de 30 cm X 41 cm
Étape 2 :
Découper le rectangle, les bords doivent-être bien nets parce qu’on ne fera pas de coutures.
-> Pour ce tutoriel, il est mieux d’avoir un tissu épais style skaï ou liège ou encore du cuir : qui ne s’effiloche pas et qui donc ne demande pas de coudre un revers. Mais si jamais vous voulez faire ça avec un tissu « normal » il faudra coudre auparavant votre rebord ou au moins le coller légèrement sur lui-même.
Étape 3 :
Plier votre rectangle en deux et repasser-le pour marquer le pli (qui correspondra au fond du tote bag) Si vous avez un tissu comme du liège ou du skaï pensez à utiliser un tissu entre votre fer à repasser et le fond du sac, histoire de ne pas le brûler. Et attention certains tissus ne peuvent se repasser …
Étape 4 :
Poser votre tote bag sur votre futur fond de sac et tracer un trait représentant sa largeur. On va coudre par la suite ces deux traits.
Étape 5 :
plier le fond en deux : face contre face. Épinglez-le, le long des traits précédemment tracés
Étape 6 :
À l’aide d’une machine à coudre… coudre le long des traits !
Étape 7 :
Retourner votre pièce et marquer les plis à l’aide d’un fer à repasser (pensez à protéger votre tissu si besoin)
Voilà votre pièce en tissu est prête à être cousue sur un tote bag !
Étape 8 :
Enfiler le fond du sac sur le tote bag et épinglez-les deux ensemble.
Attention à ne pas épingler les quatre épaisseurs ensemble mais bien les deux épaisseurs du recto (face du tote bag + face du fond de sac coloré) et les deux épaisseurs du verso (dos du tote bag + dos du fond de sac coloré)
Pour vous faciliter le passage à la machine à coudre, je vous conseille de roulotter le haut du sac.
Étape 9 :
Alors voici l’étape qui nécessite le plus d’attention mais je vous rassure c’est assez simple tout de même. Et après, c’est fini !
Il va donc falloir coudre le fond du sac sur le tote bag. Pour vous faciliter la tâche, il vous faudra enlever la partie basse de votre machine à coudre (c’est souvent prévu pour) : ainsi vous allez pouvoir enfiler le tote bag sur la machine, cf photo.
Maintenant il faut simplement faire une couture le long du tissu coloré sur tout le tour du sac.
Faites ça avec un fil de la même couleur que votre tissu évidement, moi j’ai pris un fil noir pour le rendre visible sur les photos 🙂
Et voila ! C’est assez simple et rapide ! J’espère voir vos créations !
« Fais-le toi-même! », tel est le mot d’ordre des adeptes du DIY :
Fabriquer plutôt qu’acheter permet de personnaliser le cadeau. Ainsi, le résultat obtenu est plus singulier.
C’est bientôt la fête des Mères, et comme on le sait, les plus beaux des cadeaux sont souvent les plus personnels… Surtout s’ils viennent du cœur… C’est pourquoi s’est dit que c’était peut-être le temps de s’y mettre !
Alors, pourquoi ne pas s’adonner aux joies du DIY pour satisfaire votre maman?
En plus, quelle est la meilleure occasion que la fête des Mères pour gâter votre maman?
Le moment est venu de mettre en pratique vos talents artistiques!! Reste à trouver l’inspiration, car les colliers de pâtes et les cache-pots peinturlurés, elle connait déjà!
Si cette année vous avez décidé d’innover pour la fête des Mères, on vous laisse vous inspirer avec une sélection de 3 DIY qui sauront ravir votre maman.
Alors pour vous donner un peu de l’inspiration, j’ai eu envie de regrouper dans un article quelques idées de cadeaux à faire soi-même. Voici donc une sélection de DIY qui vous permettra d’offrir à votre maman, un cadeau à la fois original et unique.
Pour cela, je vous propose plusieurs créations, certaines sont à la portée des petites mains, parce qu’il n’y a pas d’âge pour confectionner soi-même un superbe présent!
Première idée un joli herbier encadré :
Si votre maman n’a pas la main verte, mais qu’elle adore les plantes, c’est le cadeau idéal; offrez-lui herbier sous verre !
N’hésitez pas à l’adapter et à le personnaliser selon ses goûts et ses préférences.
Ainsi, si elle adore, les plantes tropicales, allez-y avec une feuille de palmier, mais si au contraire, elle adore les balades en forêts, choisissez plutôt quelques feuilles d’arbustes de sous bois comme une feuille d’érable, ou quelques fougères par exemple.
Bref, toutes les occasions sont bonnes pour se mettre au DIY, mais si vous n’êtes vraiment pas manuel, ou vraiment trop pressé, vous pouvez toujours offrir un joli bouquet ou un abonnement à l’année parce avec vous, la fête des mamans ce n’est pas juste une fois par année!
Et vous?
Qu’allez-vous préparer ou offrir pour la fête des Mères?
Ces petits tutos vous ont-ils convaincu de vous mettre aux travaux manuels?
Parmi la sélection lequel préférez-vous?
Avez-vous des DIY que vous aimeriez nous faire découvrir?
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