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Gestion du temps : la méthode Eat that frog de Brian Tracy

Dans notre société occidentale, le temps est devenu la ressource qui nous fait le plus défaut. Le manque de temps est l’excuse numéro 1. C’est le manque de temps qui nous empêche de réaliser  nos projets, nos envies, et nos rêves. Pourtant nous avons des journées bien remplies et des agendas bien chargés. On vit des vies à 300 km/h, et avec cette vie à toute vitesse parfois on en oublie d’être efficace dans ce que l’on fait.

Pour augmenter votre efficacité au travail, je vous suggère plusieurs méthodes. L’essentiel c’est de parvenir à déterminer laquelle ou lesquelles sont utiles et efficaces pour vous et lesquelles vous permettent d’être plus productif.

Récemment je vous ai parlé de la méthode Pomodoro qui pour moi fonctionne bien. Afin qu’elle le soit encore plus, je vous suggère même d’utiliser la méthode Pomodoro combinée avec la technique « Eat that frog ».

Brian Tracy propose d’organiser vos priorités selon un classement pour le moins ambitieux. 

En effet pour augmenté votre efficacité Brian Tracy suggère dans son livre Eat That Frog! Get More of the Important Things Done – Today! de mettre volontairement en haut de votre To do list, l’action ou la tâche de la journée qui vous fait le moins envie.

Pourquoi vouloir commencer la journée par la tâche qui vous rebute le plus? 

Imaginez que vous vous levez le matin et que pour le petit déjeuner vous mangiez un crapaud cru. Une fois cette étape ragoûtante passée tous les obstacles qui se présenteront à vous par la suite apparaîtrons comme « moins pire », et donc plus facilement surmontable. En effet, peu importe les évènements où les tâches ingrates qui vont vous tombées dessus durant le reste de la journée puisque vous avez déjà fait le plus dur!

Eat That Frog ou Commencer la journée en avalant sa grenouille!

Le fait de se confronter aux tâches les moins appétissantes et d’ainsi manger sa grenouille dès le matin permet ensuite d’être plus efficace et surtout de commencer la journée avec la satisfaction d’être parvenu à manger sa grenouille. Faire les tâches les plus pénibles le matin, permet de ne pas passer le reste de la journée avec une épée damoclès au dessus de la tête. De plus, plus on se débarrasse rapidement de tâches qui nous demandent de l’énergie, plus ensuite la journée est agréable. Après vous être défait de la tâche la plus compliquée vous pourrez alors être plein d’énergie pour la journée venir. D’autant plus que vous serez paré d’un fort sentiment d’accomplissement. Celui-ci est bon pour votre mental. Ce sentiment d’accomplissement vous mettra dans une bonne dynamique, et le reste de la journée.

Les crapauds, ils s’apparentent à quoi?

Sur le plan professionnel, un crapaud peut s’apparenter à  : faire un bilan financier; prendre rendez-vous avec votre comptable; payer vos comptes, appeler un client peu aimable…

Sur le plan personnel, votre crapaud ça peut-être : faire son ménage, faire ses impôts, faire 30 minutes d’exercice   ; ….

Bien sûr, tout le monde n’a pas les mêmes difficultés à accomplir certaines tâches. Les crapauds cités ci dessus ne sont donnés qu’à titre indicatif, mais cela vous permet d’avoir un aperçu du genre de tâches avec lesquelles vous devriez commencer vos journées.

Enfin et vous cette méthode qui va droit au but ça vous inspire quoi? 

Que sont vos trucs pour être plus productif?

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Veja, la basket équitable 

Veja est une marque de baskets française créée en 2005.

Elle a été fondée avec des principes et des valeurs de développement durable. Elle produit des chaussures éco responsables. Pour moi c’est un modèle d’entrepreneuriat, c’est pourquoi je me suis dit que pour ces raisons, il fallait que j’y consacre quelques lignes ici.

Veja n’a pas été crée pas dans l’optique de faire de l’argent. 

Bien sûr pour survivre, cela est nécessaire, mais le but premier de cette entreprise française, c’est de faire les choses différemment et de contribuer à améliorer le monde dans lequel on vit.

Vera c’est d’abord une histoire d’amitié : celle de François-Ghislain Morillion et de Sébastien Kopp.

Diplômés en management et sensibles à l’écologie, ils travaillaient alors dans des banques d’affaires aux États-Unis. Bien qu’une carrière prometteuse les attendaient, les deux jeunes diplômés réalisent que la vie qu’ils sont en train de se construire n’est pas en adéquation avec leurs valeurs, et qu’ils n’ont pas vraiment envie de devenir leur N+1. Partant de ce constat, les deux amis proposent à des multinationales de partir aux 4 coins de la planète pour d’auditer leurs investissements en matière de développement durable, afin de les conseiller sur le sujet. Ils arrivent à en convaincre un certain nombre, et partent visiter les 4 coins du globe.

Pendant cette année de vadrouille, ils découvrent les rouages de notre système mondialisé.

La plupart de projets qu’ils visitent ne sont pas si convaincants que ça. De plus, en découvrant des usines de production chinoises, ainsi que leurs employés, ils prennent réellement conscience des conditions dans lesquelles ils travaillent. Au cours de cette année de vagadobadage ils rencontrent Tristan Lecomte, le fondateur d’Alter Éco, une des premières marques françaises labellisées « commerce équitable ». Cette découverte leur prouve qu’il est encore possible de produire de façon équitable.

Suite à cette année d’audiences, ils auraient pu choisir de retrouver leurs vies de salariés, mais Sébastien Kopp et François Ghislain Morillion ont décidé de tenter pendant quelques mois, de fonder une marque de baskets…

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Pour mettre au point ces fameuses baskets, les deux jeunes entrepreneurs décident de partir au Brésil pour trouver les matières premières et les fournisseurs avec lesquels ils vont travailler par la suite. Une fois sur place, ils rencontrent des producteurs et se rendent dans des usines. Le tout sans avoir fait aucune école, de design ou de stylisme. Sur place, ils font modéliser plusieurs prototypes, dans un processus itératif. (C’est à dire jusqu’à en trouver un satisfaisant.) Une fois le modèle défini, Sébastien Kopp et François Ghislain Morillion rentrent en France avec pour objectifs de séduire clients, investisseurs & banques.

Ils leur expliquent les bases de leur projet, et se montrent une fois de plus convaincant.

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© Corentin Fohlen

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Pourquoi Veja séduit autant et immédiatement les gens? C’est une marque bâtie sur de vraies valeurs :

La marque s’est développée en opposition au modèle économique traditionnel de son secteur d’activité. Dans le domaine des baskets, ou plus largement de l’industrie textile, l’essentiel de la valeur aux yeux du client est fondé sur le marketing et la communication.

À l’inverse de cette stratégie, Veja a choisi de ne faire aucune publicité :

Dans l’industrie traditionnelle la pub, la com, et le marketing représentent jusqu’à 70 % du prix de vente du produit. Alors l’idée de Sébastien Kopp et François Ghislain Morillion c’est d’éliminer les coûts liés à la publicité pour pouvoir les réinjecter ailleurs. Ainsi, en éliminant les coûts associés à ces activités, la marque les a reportés sur l’achat des matières premières et sures équitable, écologique et équitable.

Leurs baskets bio sont ainsi faites à partir de coton naturel. Il provient d’une coopérative de l’aride Nordeste brésilien, qui cultive sans engrais ni engins motorisés. Tandis que pour le caoutchouc des semelles, la marque fait appel à des saigneurs d’hévéas amazoniens. L’Amazonie est le seul endroit au monde où les hévéas (arbres à caoutchouc) poussent à l’état sauvage. Enfin, une convention a été passée avec des tanneurs de cuir. Ils travaillent le cuir de façon traditionnelle, sans utiliser de chrome, à la place ils travaillent avec des extraits végétaux comme l’acacia.

Pour Sébastien Kopp et François Ghislain Morillion, il n’y a qu’une seule façon de sauver l’Amazonie : il faut la rendre économiquement rentable: s’il est plus rentable économiquement d’abattre la forêt, alors elle sera abattue. Afin d’éviter la déforestation, Veja utilise les ressources offerte par l’Amazonie. Et en achetant le caoutchouc issu des hévéas assez cher, Veja protège une partie de la forêt. En effet, autour des zones dans lesquels Veja travaille, ce sont les zones dans lesquelles il y a le moins de déforestation. Après à l’échelle d’Amazonie c’est peu, car Veja occupe qu’une toute petite partie de l’Amazonie. Alors ce n’est pas Veja qui va sauver la forêt amazonienne, mais disons que pour un temps, elle évite la déforestation sur quelques milliers d’hectares et pour Sebastien Kopp et François Ghislain Morillion, c’est déjà superbe.

Après plus de dix années d’existence, VEJA a fondé une relation de confiance autant avec ces collaborateurs qu’avec ces clients.

En effet, VEJA est 100 % transparent.

Sur leur site, ils avouent ne pas être parfaits, mais ils sont 100 % transparents. Et c’est agréable de voir tant d’honnêteté.

Le projet « agroécologique » de Veja se double d’un volet social : rémunérer équitablement les travailleurs engagés dans la production de baskets. (…)

En bout de chaîne, les Veja sont surtout des baskets au design et aux coloris ultramode. Et si elles ne coûtent pas plus cher que les autres, c’est simplement parce qu’elles se vendent sans publicité.

Le bouche-à-oreille et les réseaux sociaux font le boulot. Là est la différence! Pour les autres marques, la part de la pub et du marketing dans le prix de revient représente jusqu’à vingt fois le coût de fabrication.

Voici les 5 choses à retenir de l’histoire entrepreneuriale de Sébastien Kopp et François Ghislain Morillion :

1 / La première chose à retenir c’est  de réaliser ce qui nous tient vraiment à cœur :

Dans la vie il faut faire ce qui nous plait réellement et s’en donner les moyens.

2 / Pas besoin d’investir des centaines de dollars dans la com’ si le produit le fait pour nous : 

Veja touche et arrive à convaincre les consommateurs. Et cela non pas grâce à une stratégie de story telling bien rodée mais grâce à une histoire réelle et sincère.

3 / Ensuite, il est encore possible de faire du business sans faire de compromis sur ces valeurs :

C’est jouable, à condition de se déplacer et d’aller sourcer soi-même ces fournisseurs.

4 / Être le plus transparent possible ça paye :

Être intraitable sur l’éthique et la transparence de chaque maillon de la chaîne sans relâche tout en augmentant ses ventes, c’est possible.

5 / Enfin, parfois la stratégie sur le long terme est la plus gratifiante : 

Grandir doucement, mais sûrement pour vendre plusieurs centaines de milliers de chaussures par an, tout en gardant 100 % du capital à deux pour éviter les pressions inutiles, c’est exaltant.

 

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J’espère que vous avez aimé cet article, puis qu’éventuellement ça vous encouragera à acheter autre chose que des Stan Smith ! 😉

Rassurez-vous je n’ai rien contre Adidas, et même je souligne leurs efforts, et leurs innovations écologiquement engagées. Vous pouvez consulter les articles que je leur ai consacré ici ou ici !

Vous avez j’adore la mode responsable, je vous ai ainsi déjà parlé d’Ekyog, d’Odelayo, d’Audvik, de Kinsu, de Qéiko, ou de Vymoo, et à travers ce blog je m’éfforce de montrer qu’il est possible d’acheter mieux, sans forcément compromettre le style. Je me demandais si par hasard vous aviez de belles adresses à me faire découvrir …? Si c’est le cas n’hésitez pas à me les partager en commentaire, je suis toujours avide de belles nouveautés sympa !

 

 

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Mon expérience + mon avis sur la compagnie WOW air 

Moi dans la vie j’aime bien tester des affaires. Qu’il s’agisse de nouvelles adresses, de nouvelles sensations ou de nouvelles compagnies aériennes. Ainsi j’ai décidé de partir en voyage avec WOW air.

Pour rentrer de Montréal à Paris, j’ai alors pris un billet aller avec la compagnie aérienne WOW air :

Comme chez les compagnies classiques les billets d’avions pour un aller-simple uniquement étaient excessivement chers j’ai décidé de me tourner vers une compagnie où les billets sont plus abordables. Je choisis donc de voyager avec la compagnie aérienne WOW air. Bon il y a une correspondance et peu de services à bord… Mais je me dis que je suis jeune et après tout je m’en fiche!

Bref j’achète mes billets (la vielle du départ), et je me rends à l’aéroport pour prendre mon avion. Une fois arrivée à l’aéroport de Montréal, j’ai eu la chance d’avoir été sélectionnée pour les contrôles de sécurité aléatoire, pour un contrôle plus approfondi. Bref, à part cela c’est le parcours classique. Enfin pas pour bien longtemps!

J’attends l’heure d’embarcation de mon vol : le temps passe… et l’embarcation ne démarre pas.

Bien qu’informée de rien, je ne commence à me rendre compte que quelque chose cloche. 15 minutes avant l’heure du décollage, alors que l’embarcation n’a pas commencée on nous informe qu’il y a un problème technique sur l’avion. Et que l’on nous donnera des informations … Plus tard !

Déjà à ce moment-là, c’est l’agitation. La plupart des voyageurs ont comme moi une correspondance à l’aéroport de Reykjavik.

Ils s’en vont à Paris, à Copenhague, à Zurich, à Francfort… Ainsi ils se dirigent un à un au comptoir d’embarquement inquiet, à l’idée de manquer leur correspondance. Malgré les interrogations de gens, sur les différents vols, les agents d’embarcations n’ont pas vraiment d’informations ou de réponse à donner aux passagers.

On patiente environ trente minutes, et là on nous informe que notre vol de Montréal vers Reykjavik est annulé. 

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Voici une capture d’écran google docs, que nous avons reçu par la suite.

Suite à l’annonce de l’annulation du vol de WOW air, rapidement c’est la cohue : 

Les gens affluent vers le comptoir d’embarquement pour demander des informations. Malgré les demandes incessantes des gens, les hôtesses et les stewards chargés de l’embarquement n’ont aucune information à nous communiquer. Les minutes passent et finalement on nous donne un numéro pour joindre la compagnie.

Puis les agents chargés de l’embarcation nous demandent de patienter encore. En effet, il faut attendre les agents de sécurité de l’aéroport. Ils vont nous escorter pour nous faire repasser la douane.

Les plus rapides et les perspicaces d’entre nous, en attendant la sécurité ont directement appelé Island Air pour voir s’il était possible de partir le soir même. Mais l’avion de cette autre compagnie qui partait dans vers destination était déjà plein.

À ce moment-là nous sommes tous debout au téléphone, attroupés à attendre que la sécurité daigne bien arriver pour nous escorter pour repasser la douane.

En attendant l’arrivée de la sécurité on apprend que l’on a 3 options pour « compenser » notre annulation de vol WOW air :

Alors si pour une raison x ou y votre vol avec la compagnie aérienne WOW air est annulé vous pourrez soit bénéficier d’un remboursement de votre billet. Soit choisir l’option de partir pour le prochain vol, soit choisir de partir dans les 7 jours qui suivent à la date de notre choix.

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La sécurité arrive, on a tous plein d’interrogations. Ils nous avouent qu’ils sont étonnés de ne voir qu’aucun représentant de la compagnie se soient présentés à nous, pour nous donner des informations et éventuellement des excuses. Bref, en troupeau on traverse tout l’aéroport pour repasser les douanes, et éventuellement pour récupérer les bagages enregistrés.

Après avoir passée les douanes, je me suis donc rendue au bureau des départs pour essayer de parler à un agent. Je voulais voir si une autre option était possible. Je souhaitais réserver mon billet pour partir sur le prochain vol. Après plus d’une heure d’attente, sans la moindre information j’arrive au guichet. Il  n’y a qu’un seul guichet ouvert. Il est tard, mais juste à coté, des employés discutent. Ils n’avaient pas l’air d’être préoccupés par de la file d’attente qui ne cessait de s’accroitre. En échangeant avec la personne au guichet, j’apprends qu’il n’est même pas possible d’effectuer une réservation, et que je n’obtiendrais rien de cette compagnie aérienne.

En effet, contrairement à d’autres compagnies, WOW air ne permet pas à ces passagers de partir avec une autre compagnie et de payer les frais liés à ce changement.

Le problème avec les trois options que la société nous propose c’est qu’avec les 300 passagers qu’elle a mis dans l’embarras les quelques places éventuelles restantes pour les jours suivants sont vite prise d’assaut.  D’autant plus que cette compagnie pratique fréquemment le surbooking. Ainsi, pour la plupart des destinations, pour les jours qui suivent il n’y a pas de vol disponible pour le lendemain ou le sur lendemain.

Ainsi la seule chose que propose la compagnie c’est donc, soit de partir avec une autre compagnie et de payer un billet beaucoup plus cher, à nos frais, soit partir plusieurs minimum 4 jours plus tard avec eux.  C’est à dire ce si vous avez des obligations, un départ sur une croisière, ou autre, dans les prochains jours, ou votre bouleau qui vous attend, vous êtes donc contraint de payer un billet au prix fort et à vos frais.

J’ai été très déçue de la façon dont les événements se sont déroulés. En effet, un problème technique c’est quelque chose qui peut arriver, mais ne pas informer les clients, c’est autre chose.

Au final, j’ai passé 7 heures dans un aéroport aujourd’hui, pour finalement me faire annuler mon vol.

Suite à cette mésaventure, j’ai pris l’option de remboursement. Constatant le manque d’informations et le mépris de cette compagnie envers leurs clients laissés dans l’embarras, je me suis dit que je souhaitais plus voyager avec eux à l’avenir.

Si toi aussi tu trouves anormal que cette compagnie, ne propose pas solution arrangeante pour les passagers qu’elle met dans l’embarras ; Je t’invite à partager l’article sur tes réseaux sociaux. Du fond du coeur, merci !

Update du 16/09/2017 :

6 jours plus tard de 120 partages plus tard, j’ai reçu le remboursement de mon billet avion.

Merci WOW air ! 😉

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Maja Ganszyniec x IKEA

Maja Ganszyniec est une jeune designer, qui a déjà collaboré avec Ikea.

De leur première collaboration était né un petit secrétaire. Le secrétaire est un meuble de bureau apparu au XIIe siècle sous Louis XIII. À l’époque, il servait à l’écriture et au rangement des documents et courriers. Il y a quelques années, Maja Ganszyniec a travaillé avec Krystian Kowalski, et Pawel Jasiewicz, afin de rendre au secrétaire ses lettres de noblesse.

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Ainsi, ils avaient travaillé à moderniser le secrétaire afin que celui s’insère facilement dans nos intérieurs contemporains. De cette façon, ils ont conservés la forme archétypale du secrétaire, mais en l’adaptant à nos modes de vie citadins, et à ces contraintes en termes d’espace. De cette façon le secrétaire IKEA de la collection PS de 2014, est petit. Il dispose d’un rangement pour des livres sur le dessus et d’un plateau de travail rabattage. La mobilité de ce plateau, permet de dissimuler le désordre. Pour le faire disparaitre, il suffit  de refermer le volet pour le cacher. Enfin, compte tenu qu’aujourd’hui nous écrivons plus de correspondances sur papier, ce secrétaire,  dispose même d’un trou pour pouvoir faire passer les câbles liés aux ordinateurs et à tout objets électriques.

Cette fois, pour la collection temporaire SPÄNST Maja Ganszyniec a retravaillé une armoire.

Elle a imaginé le genre de mobilier idéal, qu’un jeune homme ayant un mode de vie urbain reverrait d’avoir. Pour répondre à cette épineuse question, elle a travaillé en étroite collaboration avec le designer Chris Stamp. Pour concevoir cette armoire, ils ont observé la façon dont de nombreux jeunes exposent leurs habits ou leur paire de chaussures, tels des trophées au sein de leur chambre, ou dans leur dressing.

Cette observation leur a servi de point de départ pour concevoir, la fameuse armoire de la collection SPÄNST.

Parmi les contraintes qu’ils s’étaient fixées, il y avait donc la première répondre à une demande de mobilier pour jeune actif, avec toutes les contraintes que cela impose. Notamment en termes d’espace. Car lorsqu’on entre dans la vingtaine souvent, on emménage dans nos premiers appartements, mais parfois l’espace au sein de ceux-ci est limité. C’est pourquoi il est souhaitable de proposer un meuble qui ayant plusieurs fonctions. 

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Ainsi elle a créé une armoire-penderie légèrement ajourée. Selon les prototypes. Certains permettent de laisser transparaître les vêtements, tandis que d’autres cachent le désordre éventuel : selon notre degré de maniaquerie, on peut choisir!!

J’ai déjà hâte de découvrir à quoi ressemblera la version définitive. Elle devrait être lancée en mai 2018.

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IKEA lance une application de déco en réalité augmentée

Ikea il y a quelques mois avait lancé une application pour sensibiliser les jeunes au développement durable. Cette appli leur permettait d’apprendre les éco-gestes, tout en leur permettant de mettre un peu de piquant pendant leur visite en magasin. Pour cette rentrée, le géant suédois, revient en force et propose une application de décoration en réalité augmentée !

Jusqu’à aujourd’hui il existait une application appelée « Catalogue Ikea » qui proposait déjà des fonctionnalités de réalité augmentée.

En effet, cette application permettait de placer des meubles 3D dans sa maison grâce à la surimpression. Mais cette technologie n’avait que séduit partiellement les utilisateurs, car elle n’était pas toujours très fidèle. Cependant, dernièrement Apple a annoncé la sorite de l’application ARKit.

ARKit est la nouvelle technologie de réalité augmentée proposée par Apple dans iOS 11 :

ARKit sera disponible dès cet automne sur l’iPhone et l’iPad et proposera de nouvelles expériences réalistes. En effet, ARKit offrira aux utilisateurs la possibilité de placer un objet 3D, dans un environnement réel à l’aide d’un smartphone ou d’une tablette. Suite à cette annonce de taille, Ikea a à son tour annoncé qu’il allait se servir du système d’Apple pour lancer une application qui permettra de visualiser les meubles Ikea, chez vous!

Visualisez les meubles IKEA chez vous avant de les acheter :

L’app va permettre de poser un meuble du catalogue Ikea dans n’importe quelle pièce de sa maison. Cela se déroulera en temps réel avec réalisme notamment au niveau des effets de lumière et des proportions. Cette application aidera les indécis à faire leur choix, en plein conscience. En effet, qui ne sait jamais demander : « est-ce orange ira bien avec le mur, ou avec tel ou tel coussin? » Ou encore : « est-ce que ce canapé d’angle n’est pas trop gros et trop imposant pour mon petit chez-moi ? »

Avec cette nouvelle appli ces questions appartiendront au passé car il vous sera possible de visualiser le meuble convoité dans votre intérieur !

Le fonctionnement est ultra simple. Il suffit, comme le montre les vidéos, de sélectionner le meuble IKEA qui vous plaît  via l’application et de l’installer dans votre intérieur. Grâce à la réalité augmentée, le meuble s’affichera sur votre écran comme s’il était réellement dans notre appartement. Si vous vous approchez de là ou vous avez placer le meuble, vous percevrez, tout les détails et couture de celui-ci ! Avec cette nouvelle application, il sera facile le déplacer les objets afin de trouver où sera leur place idéale. D’ailleurs à ce propos : qui n’a jamais monté une bibliothèque ou un placard, puis après l’avoir rempli, s’être aperçu que finalement il irait sans doute mieux de l’autre côté de la pièce ! Ces situations appartiendront désormais au passé !

Cette application va être extrêmement pratique pour ceux et celles qui n’ont jamais les mesures de chez soi à portée de main ou qui galèrent simplement à optimiser un espace. En effet, le fait de pouvoir visualiser les meubles chez soi avant de les acheter permet ainsi d’être sûr que les dimensions sont bonnes et que celui-ci se marient bien avec son intérieur…

 

Les démos d’ARKit postées sur YouTube ces dernières semaines sont utilisées avec des iPhone 7 ou modèles antérieurs. Les résultats sont déjà très bons. Mais le rendu devrait être encore meilleur ! En effet avec la sortie imminente de l’iPhone 8 on peut s’attendre à un résultat encore plus précis. Car ce dernier sera équipé d’un capteur 3D dédié. Ce capteur devrait permettre de mieux calculer les distances.

Utiliser la réalité augmentée pour nous permettre de mieux nous projeter.

Enfin, je pense que cette application pourra être très utile pour les personnes qui déménagent, qui changent de maison ou d’appartement. En effet, cette application pourrait leur permettre de visualiser comment aménager leur intérieur grâce à deux trois clics !

Cependant, alors que le catalogue Ikea compte près de 10 000 références, seuls 500 à 600 articles seront proposés via cette application. On peut imaginer  qu’en cas de succès Ikea augmente son catalogue de produits disponible en réalité augmentée.

Et vous que pensez-vous de cette nouvelle application de réalité augmentée ? Moi en tout cas, je suis très curieuse et déjà impatiente de la tester !!!

 

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C’est la rentrée : comment prendre des résolutions et s’y tenir?

C’est la rentrée scolaire! Les journées commencent à diminuer, et l’automne s’en vient. Tranquillement vous reprenez le chemin de la routine, dites au revoir aux vacances.

Pourquoi ne pas en profiter pour prendre quelques résolutions?… Et s’y tenir !

Souvent les premiers jours qui suivent la rentrée, nous sommes pleins de belles intentions… Nous sommes bien disposés, nous avons passé de belles vacances, et nous avons pris le temps d’anticiper cette rentrée, en faisant le ménage, dans notre chambre, dans notre trousse d’école… Mais après seulement, quelques jours, voir quelques semaines, la routine reprend son cours, et les résolutions que l’ont s’étaient fixées, s’envolent en fumée. Alors voici un petit article qui va vous donner les clés pour faire perdurer vos résolutions et atteindre vos objectifs!

Une résolution telle que arrêter de fumer, passer moins de temps sur les réseaux sociaux, avoir de meilleurs résultats ou faire plus de sport, sont des objectifs trop vagues, et par conséquent qui sont voués à l’échec.

Si vous souhaitez vous améliorez dans un domaine, peu importe lequel, c’est possible. Mais il faut se créer des « objectifs SMART « :

Un objectif SMART, est un objectif qui doit répondre à 5 critères. Autrement dit, votre objectif doit être :

▪Spécifique

▪Mesurable

▪Atteignable

▪Réaliste

Temporellement défini

 

         1 / Pour parvenir à atteindre votre but il faut que les résolutions que vous allez prendre soient spécifiques :

Tout d’abord, vous devez regarder votre comportement (problème, objectif) que vous souhaitez modifier, puis structurer ce changement comme un objectif que vous soyez le plus précis possible. Par exemple plutôt que de dire ok, pour ma rentrée en classe de seconde, je veux de meilleurs résultats, fixez plutôt un objectif tel que cette année, je souhaite augmenter ma moyenne en mathématiques, de 1 point par trimestre. Il faut avoir de objectifs qui sont très clair. Plutôt que de vous éparpillez, fixer vous une seule résolution mais tenez vous y.

Pour vous fixez un objectif spécifique demandez-vous :

Qu’est-ce que je veux faire ? Décrivez exactement ce que vous souhaitez atteindre. Plus votre objectif sera précis, plus il sera facile de l’atteindre.

 

         2 /Pour parvenir à atteindre votre but il faut que les résolutions que vous allez prendre soient mesurables :

Pour cela, il faut d’une part, indiquer une quantité, ou un nombre de fois, ainsi qu’une durée et qu’une fréquence pour cet objectif. Par exemple, si votre objectif c’est de faire plus de sport, vous pouvez vous dire,  » je souhaite dépenser 800 calories chaque semaines à la salle de sport ». Ou alors, si vous ne fréquentez pas la salle de sport, vous pouvez vous donner comme objectif « j’irais à l’escalade tout les lundis ». Le fait de fixer un jour dans votre semaine vous permet de prendre rendez-vous. Ainsi lorsque vous avalerez votre objectif, il vous suffira de regarder votre calendrier.

Ensuite, vous devez avoir une date de fin. Par exemple, » jusqu’à Noël « . Selon vos objectifs, la date buttoir, peut être plus ou moins éloignée dans le temps. Le fait de pouvoir évaluer très clairement la poursuite de vos objectifs, vous permettra de constater vos progrès et vous encouragera à rester motiver et à continuer.

Pour vous fixez un objectif mesurable demandez-vous :

En quelle quantité et à quelle fréquence vais-je le faire ?

 

         3 /Puis parvenir à atteindre votre but il faut que les résolutions que vous allez prendre soient atteignables :

Il faut être réaliste. Si par exemple, vous souhaitez « perdre du poids ». Il faut vous fixer un objectif réalisable, en fonction de votre morphologie, et en fonction de ce que votre corps est prêt à faire. Ainsi, inutile, de vous fixer comme objectif  » je souhaite perdre 2 kilos par mois « . Pour un objectif aussi sensible que celui-ci, je vous conseille, de définir votre objectif avec un spécialiste, et de tenir compte de vos attitudes, vos capacités, vos compétences et de vos soutiens (il peut s’agir d’un coach, ou d’un médecin, ou encore d’un ami).

Pour vous fixez un objectif atteignable demandez-vous :

Comment vais-je le faire pour y parvenir ?
Par exemple, si votre objectif, est de perdre x kilos, vous devez sans doute, faire un petit rééquilibrage alimentaire pour manger plus sainement, ou encore fréquenter la salle de sport, ou une autre activité sportive plus régulièrement. Et bien assurez vous, que cela soit compatible avec votre emploi du temps.

       4 /Ensuite, parvenir à atteindre votre but il faut que les résolutions que vous allez prendre soient réalistes:

Il faut fixer un objectif que vous soyez capable d’atteindre. Celui-ci doit représenter un défi, mais pas trop grand car il faut que vous soyez capable de le surmonter. Par exemple, si vous n’Avez jamais fait de course à pied, je ne vous conseille pas de viser tout de suite de courir un marathon. Mais si vous aimez que les défis de taille, et bien ajuster votre programme en fonction de cela. Pour ce faire, vous pouvez vous fixer une date buttoir très lointaine, avec de nombreux objectifs intermédiaires. Ainsi si votre objectif à long terme est de courir un marathon, commencez par un premier objectif qui pourrait s’apparenter à quelque chose comme  » courir toutes les semaines 30 min pendant 2 mois », et y allez graduellement.

Pour vous fixez un objectif réaliste demandez-vous :

Est-ce que je suis capable de le faire ? Est-ce compatible avec mon emploi du temps, et mes obligations ?

 

         5 /Enfin, pour parvenir à atteindre votre but il faut que les résolutions que vous allez prendre soient reliés à un temps précis :

Pour que vos résolution soient effectives, il faut vous créer un échéancier qui va les accompagner. C’est à dire, il faut que dès que vous avez déterminez votre objectif, il faut que vous mettiez en place un calendrier. Celui-ci doit contenir la période durant laquelle vous allez travailler à atteindre cet objectif, mais aussi le moment auquel vous réaliserez une introspection pour constater si oui ou non vous êtes parvenus à atteindre l’objectif que vous vous étiez fixé.

Pour vous fixez un objectif temporellement demandez-vous :

Tout d’abord, quand allez-vous le faire ?

Puis, quand sera la date butoir?

Enfin, quand allez-vous évaluer si vous avez progressez et atteint votre objectif ?

 

 

Alors, voilà désormais vous avez toute les clés en main pour faire une magnifique rentrée.

N’hésitez à me dire en commentaire, quelle est votre résolution…

Car oui, nul besoin d’en prendre plusieurs ! Mieux vaut en choisir une seule et s’y tenir !

Le fait de l’écrire et l’affirmer votre résolution dans les commentaires vous rapprochera un petit peu de plus de votre engagement, alors ne soyez pas timide! 😉

 

 

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Mon premier saut en parachute en tandem

Sauter d’un avion à plus de 3500 mètres d’altitude et se laisser tomber pendant près d’une minute, il faut être dingue comme dirais ma maman! Et pourtant, c’est vraiment une expérience géniale ! Pour certains, c’est synonyme de source d’angoisse, mais pour moi, c’est synonyme de pur plaisir ! C’était un projet que je voulais tester depuis longtemps, mais  je n’avais pas encore eu l’occasion de sauter le pas…

Finalement, j’ai fais mon premier saut en parachute le jour de mes 24 ans ! Beau cadeau n’est-ce pas ! 😉

Pour ce double cadeau, car j’ai sauté avec mon copain, avec Parachutisme Adrénaline. Il y a plusieurs endroits desquels il est possible de sauter. Nous avons choisi Saint-Jérôme car c’était proche de Montréal… Finalement, je ne suis pas sure que c’était la meilleures des idées..

On a réservé la veille car on n’est pas des pros de l’organisation. Nous avons été chanceux,  il restait des places pour le jour de mon anniversaire. Je pense qu’il vaut tout de même mieux réservé quelques jours à l’avance afin d’être certain d’avoir le créneau qui vous convient.

D’ailleurs, bien que j’ai été très contente de sauter le jour de mon anniversaire, je vous déconseille d’aller à Saint Jérome depuis Montréal le vendredi soir ! Au lieu de mettre 42 min, comme l’indique Google Map lorsqu’il n’y a pas de trafic, nous avons mis plus de 3 h 30. Le GPS nous a fait sortir de l’autoroute, ou nous roulions à une vitesse de pointe à 15 km/h lorsque nous étions pas à l’arrêt, pour passer par les petits chemins de banlieue bordés de panneaux ARRET ou nous roulions un peu plus vite… C’était vraiment vraiment long. Heureusement on avait prévu un peu d’avance, mais on ne s’attendait pas à autant de trafic, plus on roulait, plus le temps pour arriver à destination s’allongeait. C’était décourageant! Après les routes de banlieue, qui étaient elles aussi bien chargées on a rejoint l’autoroute, le chemin était entièrement rouge jusqu’à la sortie.

Malgré nos précautions nous sommes arrivés avec une bonne demi-heure de retard. J’avais appelé pour prévenir que nous allions être en retard, et l’équipe s’est montrée compréhensive… Heureusement, car nous n’aurions pas apprécié faire 3h de bouchons, pour faire demi-tour ! Nous n’étions d’ailleurs pas les seuls retardataires ni même les derniers!!

Une fois sur place, nous avons réglé les dernières dépenses, puis nous nous sommes pesé et enfin nous avons signé la fameuse décharge de responsabilité!

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Ensuite on fait la rencontre de l’équipe, à la fois des instructeurs et des gens qui sont montés dans l’avion avec nous. On a regardé une petite vidéo, puis on s’est équipés. L’équipement pour nous c’était assez sommaire : on a juste une combinaison à enfiler. Étant frileuse, j’avais pris un gros pull à mettre dessous car à 3500 m d’altitude il ne fait pas très chaud… Le gros de l’équipement s’est l’instructeur qui le porte : 20 kilos sur le dos! Ensuite vient la petite séance photo… Enfin l’un des instructeurs nous fait un petit rappel, de ce qu’on a vu dans la vidéo…

La formation est un véritable catalyseur d’excitation!

Étant donné que nous attendions de retardataires, on a eu un petit moment de battement. Ce n’était pas dérangeant, on a pu voir, tout un groupe de parachutistes sauter et surtout descendre jusqu’au champ d’atterrissage. C’est cool, de les voir et ça donnait vraiment envie. Ils sautaient seuls, alors on voyait comment chacun d’entre eux négociait leur atterrissage, c’était plutôt fun à voir… Il y avait ceux qui atterrissent tout en douceur, et ceux pour qui on avait un peu d’appréhensions!

Les retardataires eux, ont eu le droit à une formation accélérée dans l’avion ! Certains de leurs amis étaient déjà sur place, alors c’était un moyen pour eux de pouvoir sauter ensemble.

Au moment de monter dans l’avion, faut faire attention de bien se baisser car la porte est petite. Et ce serait dommage de se faire assommer avant de monter !

Dans l’avion le pilote, m’a proposé d’être le copilote. C’est donc avec grand plaisir que j’ai accepté d’être copilote. Bien que j’étais déjà monté à bord d’un petit avion, cette fois j’étais copilote spectatrice, mais c’était un moment sympa. J’avais un petit casque qui me permettait de parler avec le pilote et d’être protégé du brouhaha de l’avion. Une fois suffisamment haut, j’ai quitté ma chère place de copilote, pour aller rejoindre Jean-Remi, mon instructeur. Il a alors accroché ces 4 harnais, à ma combinaison, et resserré mes sangles, puis c’était déjà le moment de sauter!

Pour moi le saut c’était vraiment le meilleur moment!

Le moment où on sort de l’avion, c’est bien moins sexy, que dans les films! Ce n’est pas l’immense porte arrière qui s’ouvre, mais une petite porte sur le côté de l’avion. C’est pourquoi au lieu de sauter dans le vide, il faut se mettre en « position caca »! On s’accroupit, et l’instructeur se met en positon crabe derrière, car la porte de l’avion est petite! Mais bon c’est fun pareil!

Une fois en chute libre les sensations sont dingues, mais trop courtes!

Au moment où on quitte l’avion, on se sent vraiment emporté, on ressent bien la vitesse de chute. Ça ne dure vraiment pas très longtemps, mais être en chute libre à près de 200 km/h c’est vraiment une sensation superbe! Une vraie décharge d’adrénaline!

Le passage de la chute libre au déploiement du parachute n’est pas le moment le plus agréable…

L’ouverture du parachute ralentit la chute d’un seul coup. Ça fait l’effet d’un gros coup de frein, surtout que comme c’est l’instructeur qui ouvre le parachute, on ne s’y attend pas ! Juste après l’ouverture du parachute on se remet tranquillement de nos émotions. On s’aperçoit qu’on a un peu mal aux oreilles et qu’on a les doigts tout froid (enfin pour ma part). Mais le plaisir était là pareil! L’instructeur était super cool, à l’écoute et de bons conseils; il m’a gentiment conseillé d’avaler plusieurs fois ma salive pour me déboucher le tout, ainsi que de souffler en me pinçant le nez… Ça peut paraître étrange, mais avec l’adrénaline on n’y pense pas forcément, on est juste heureux de vivre l’expérience ! Aussi mon instructeur ma directement desserrée les sangles, pour que je me sente plus à l’aise, pour la seconde partie de la descente !

Après ces petites formalités, on a pu reprendre un peu de vitesse, en tournant. Pour cela suffit de tirer sur les sangles du parachute, et c’est vraiment agréable. C’est cool, on peut gérer de quel coté on se dirige, car il y’a des poignées doubles. Du coup, moi je tirais, mais l’instructeur mettait plus de pression avec ces gros bras, c’était bien pratique, pour faire des petits loops. Un coup à gauche un coup à droite, ça tourbillonne dans les airs! Plus on tire, plus on tourbillonne, plus on va vite, plus c’est fun !

Encore une fois, mon instructeur a été parfait : il était très à l’écoute, entre deux vrilles, il a pris le temps de m’indiqué le paysage ainsi que la vue sur le Mont Tremblant.

On a sauté vers 19 h 30, au moment où le soleil se couchait, c’était sublime! Je pense qu’au lever et au coucher du soleil, c’est vraiment les meilleurs moments pour admirer le paysage! Enfin je vous dirais ça une fois que j’aurais testé toutes les heures de la journée!!

On avait un petit altimètre au poignet, qui nous permettait de voir l’altitude au fur etc mesure de notre descente. Lors de la chute libre, j’aurais été incapable de regarder l’altimètre tellement ça va vite ! Mais dans la deuxième partie de la descente, c’est vraiment plus relax, on admirer le paysage, jouer avec les sangles, et constater notre altitude, via l’altimètre!

À l’approche du sol, l’instructeur reprend les commandes, afin de gérer l’atterrissage. Avant d’approcher du sol, il m’a fait faire une petite vérification pour être sur, que je n’avais pas oublié les instructions, c’est-à-dire de lever, les jambes. L’atterrissage s’est fait tout en douceur! C’est top! Une fois au sol, on se sent tout léger. J’avais un large sourire niais bloqué sur les lèvres!!

Bref, sauter en parachute c’est une expérience à vivre que je recommande  !

Le moment le plus stressant pour moi?

Il n’y en a pas eu! Je m’attendais à avoir la chienne un peu, dans l’avion. En fait tout s’est passé à merveille. L’équipe était tellement de bonne humeur et ça passe tellement vite que je n’ai hélas même pas eu le temps d’avoir peur! En résumé, je suis ravie d’avoir sauter avec l’équipe de Parachute Adrénaline Saint Jérome car l’équipe était vraiment au top!

Pour ceux qui hésitent, car ça coute un certain prix, je vous conseille d’être à l’affut des offres sur internet. Par exemple, j’avais acheté un coupon sur Groupon pour l’anniversaire de mon copain. Et lui voulait sauter avec moi, donc il a décidé de copier mon idée de cadeau d’anniversaire pour qu’on saute ensemble! & C’était une très bonne idée! Lui a pu bénéficié d’un -20 % de réduction car on a sauter le jour de ma fête..

Alors n’hésitez plus, allez réaliser vos rêves, ne garder pas à vos projets fous dans un coin de votre tête!

Vous l’aurez sans doute compris… j’envisage déjà de retenter l’expérience, peut-être en France… ou ailleurs, mais vers un bord de mer!

Et vous? Avez-vous déjà fait l’expérience de sauter en parachute ? Comment s’est passé votre première fois? J’aimerais beaucoup vous lire à ce sujet.

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Des tapis inspirés par Yann Arthus-Bertrand

C’est peut être kitsch ou peu original, mais j’adore les photos aériennes de Yann Arthus-Bertrand !

C’est grâce à lui que j’ai découvert les enjeux environnementaux, étant jeune, grâce à ces fameuses photo vues du ciel.

Lorsqu’on regarde la terre reste depuis là-haut, elle est extraordinaire!

J’étais à la fois fascinée par la beauté des ces photographies, et à la fois horrifiée en découvrant l’impact de l’activité économique de l’homme sur la planète. Ce mélange d’amour-haine que je ressentais en regardant ces photos me captivait.

En effet, au-delà de belles images photographies révèlent les réalités du monde. Ces photos aériennes reflètent la variété des milieux naturels et des expressions de la vie, mais aussi l’empreinte de l’homme sur son environnement. Par l’esthétisme de ces photographies Yann Arthus-Bertrand, parvient à attirer notre attention sur la fragilité des écosystèmes ainsi que sur les violences, parfois irréversibles, qu’ils subissent.

De plus, le moyen de la photographie, a permis à Yann Arthus-Bertrand de toucher un très grand nombre de personnes.

Les images, c’est universel! Lorsqu’une photo est réussie elle se passe à merveille de mots! C’est grâce aux messages puissants que véhiculent ces photographies qu’elles ont fait le tour du monde. C’est important que ces images voyagent, car même si certains se voilent la face, on est tous concernés. Et chacun, individuellement, nous avons un rôle à jouer pour l’avenir de la planète. Nous avons tous  le pouvoir et le devoir d’agir.

Cette chasse aux trésors à échelle planétaire qui dévoile les plus beaux endroits du globe, à attiré l’attention de Roche Bobois !

Roche Bobois a ainsi édité une collection de tapis signée Nicolas Roche. Ces tapis reprennent certains clichés du célèbre photographe Yann Arthus-Bertrand.

Les modèles « Cheval blanc d’Uffington » et « La Terre vue du Ciel » mettent en avant les dégradés de vert qui traduisent la richesse des paysages que l’on retrouve dans la nature.

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Pour rester dans la lignée environnementale de l’artiste, Roche Bobois a conçu ses tapis à base de matériaux respectueux de l’environnement.

Ainsi, ils sont réalisés dans de la pure laine provenant de Nouvelle-Zélande. De plus, ils sont certifiés par la norme ISO 14 001 Environnement. Enfin, ces tapis font l’objet d’une compensation carbone. Pour chaque achat, une contrepartie est reversée à l’association GoodPlanet afin d’absorber  les rejets de CO2 générés par le transport des tapis.

 Bon la mauvaise nouvelle par contre, c’est que ces charmants tapis commercialisés par Roche Bobois ne sont pas donnés…

Alors il va falloir mettre la main au portefeuille si vous souhaitez les voir dans votre séjour !

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Prendre un congé sabbatique, pour rester inspiré !

Je suis une grande admiratrice de Stephan Sagmeister… J’admire autant son travail que sa philosophie. Mais peut-on vraiment dissocier les deux? Je ne pense pas!

Si vous connaissez son travail, mais pas son mode de fonctionnement je vous conseille vivement d’écouter sa conférence Design & HappinessCe designer touche-à-tout place la recherche du bonheur au cœur de son travail et ça se ressent! Ses œuvres sont souvent teintées d’humour et d’autodérision. Mais il semblerait que cette petite touche soit savamment cultivée et entretenue.

En effet, afin de pouvoir prendre du recul, de la distance et de pouvoir se re-inventer Stefan Sagmeister prend une année de pause tous les sept ans.

Tous les sept ans, il ferme l’agence, afin d’entreprendre des projets plus expérimentaux. Vous savez le genre de projets, que l’on traîne dans nos un coin de notre tête où sur un bout de carnet, mais qui ne voient jamais le jour, car ils sont parfois difficiles à accomplir pendant une année classique de travail.

La première fois que Stefan Sagmeister a décidé de fermer son studio, c’était en 2000. Ça à l’air beau, sur le papier mais fermer complètement son studio pendant une période aussi longue n’est pas si facile, que ça peut en avoir l’air…

Fermer son studio cela demande beaucoup de courage et de détermination :

En effet fermer son studio pendant ça peut entraîner la perte de clients fidèles mais aussi encore la perte d’opportunités majeures. Pour se résigner à fermer, il faut voir plus loin et considérer les opportunités que cela peut nous offrir. En fait c’est comme monter une société, lorsqu’on démissionne d’un emploi salarié, on perd quelques conditions comme un salaire fixe… mais on retrouve d’autres avantages. Et bien c’est similaire, pour fermer son studio il faut considérer non pas les opportunités que l’on perd, mais celles qui s’offrent à nous.

On en rêve tous, de prendre une année entière consacrée à nos projets, et bien lui le fait. Et il va même jusqu’à nous décrire à quel point, c’est un moment merveilleux et très énergique.

 

Prendre une année de congé sabbatique permet de se ressourcer et de s’inspirer :

Comme tout créatif, on a une patte un style qui nous appartient, mais parfois, les mêmes idées reviennent… Et comme elles ont bien fonctionné une première fois, il arrive que l’on adapte le concept, mais cela est lassant. Pour Stefan Sagmeister, le meilleur moyen pour éviter la lassitude c’est de sortir de sa zone de confort et de sa routine, en prenant des congés.

Cette idée du congé sabbatique lui a été inspirée par le mythique cuisinier catalan de Ferran Adrià. Son restaurant est fermé six mois par an pour permettre au chef de se livrer en toute tranquillité à ses expériences culinaires.

Je crois que cette idée du congé sabbatique devient de plus en plus nécessaire à nos vies modernes.

Nos rythmes de travail sont parfois devenus si intenses, les frontières entre vie pro et vie perso si floues, le souci de productivité si prégnant, que quelques périodes de ruptures sont les bienvenues pour retrouver un équilibre intérieur.

L’année sabbatique pour Stefan Sagmeister c’est réellement un rendez-vous!

En effet, il ne conçoit pas la vie professionnelle comme tout le monde. Pour nous, la vie est séparée en parties bien distinctes. La première partie dure environ 25 ans. Elle est consacrée à l’apprentissage. La seconde et bien plus longue, elle dure environ 40 ans, elle est consacrée au travail. Enfin la dernière, est à durée variable, mais elle dure environ 15 ans et elle consacrée à la retraite. Je ne sais pas si Stéphane Sagmeister envisage de mourir jeune, mais en tout cas il a décidé de ne pas attendre sagement comme tout le monde ces 65 ans pour prendre sa retraite. En effet, il a décidé d’intercaler ces années de retraites au milieu de ces années de travail.

Ainsi tous les 7 ans Stefan Sagmeister prend une année de sabbatique. 

Il a passé son premier congé aux États-Unis. Mais pour son second, il a choisi une destination plus exotique, qu’il connaissait moins, il est donc parti à Bali. Durant cette seconde année sabbatique, Stefan Sagmeister questionne la pratique du design graphique.

 

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De ce questionnement est né un journal rassemblant aujourd’hui une vingtaine de maximes, réunies sous le titre Things I have learned in my life so far  

–  Complaining is silly. Either act or forget.
–  Thinking life will be better in the future is stupid, I have to live now.
–  Being not truthful works against me.
–  Helping other people helps me.
–  Organizing a charity group is surprisingly easy.
–  Everything I do always comes back to me.
–  Drugs feel great in the beginning and become a drag later on.
–  Over time I get used to everything and start taking it for granted.
–  Money does not make me happy.
–  Traveling alone is helpful for a new perspective on life.
–  Assuming is stifling.
–  Keeping a diary supports my personal development.
– Trying to look good limits my life.
– Worrying solves nothing.
– Material luxuries are best enjoyed in small doses.
– Having guts always works out for me.
– Whatever I want to explore professionally, it’s best to try it out for myself first.
– Thinking about ideas and content freely–with the deadline far away.
– Working without interruption on a single project.
– Using a wide variety of tools and techniques.
– Traveling to new places.
– Working on projects that matter to me.
– Having things come back from the printer done well.

 

 Soit en français : Les choses que m’a apprises la vie jusqu’à présent  

– Se plaindre est idiot. Il faut agir ou oublier.
– Penser que la vie sera mieux dans le futur est stupide, il faut vivre maintenant.
– Ne pas être sincère ça se retourne contre moi.
– Aider les autres m’aide moi-même.
– Créer une organisation caritative est étonnamment facile.
– Tout ce que je fais provoque toujours un retour.
– Les drogues sont toujours géniales au début et deviennent des putes par la suite.
– Avec le temps, je m’habitue à toutes choses et commence à les tenir pour acquis.
– Ce n’est pas l’argent qui me rendra heureux.
– Voyager seul est bénéfique pour s’ouvrir de nouvelles perspectives de vie.
– Supposer est étouffant.
– Tenir un journal de bord soutient mon développement personnel.
– Essayer de bien paraître limite ma vie.
– S’inquiéter ne résout rien.
– Le luxe s’apprécie mieux à petites doses.
– Avoir des couilles travaille toujours pour moi.
– Quoi que je veuille explorer professionnellement, il est mieux de l’essayer pour moi même d’abord.
– Penser les idées et le contenu librement, avec des délais lointains.
– Travailler sans interruption sur un seul projet.
– Utiliser une large variété d’outils et de techniques.
– Voyager dans de nouveaux endroits.
– Travailler sur des projets qui comptent pour moi.
– Avoir des choses qui reviennent bien faîtes de chez l’imprimeur.

 

Stefan Sagmeister prouve que ce moment privilégié permet de developper de nouvelles idées ainsi que de revenir plus motivé. Alors que les trous au sein des CV font toujours tâche, Stéphane lui y voit une belle illustration. Pour lui c’est un moyen idéal, pour enrichir sa vision des choses du monde.

Parmi les beaux exemples de break il y a aussi celui de la blogueuse et entrepreneuse Josée-Anne Sarazin-Côté. Elle est partie au Nicaragua, pour surfer et pour prendre des vacances. Finalement au cours de ce voyage elle a rencontré un amoureux et s’est révélé professionnellement.

Certains d’entre vous ont déjà pris des breaks ? Quelles sont vos expériences ?

Une planche de SURF 100 % écologique

On vous a déjà vanté les pouvoirs du mycélium pour faire des emballages, mais aussi pour faire du mobilier. Désormais ce  matériau innovant conquit le monde du surf !!!

Les surfeurs sont généralement des amoureux de l’océan et de ce fait la plupart sont particulièrement sensibles à l’environnement :

En dépit de cela, leur matériel n’est pas vraiment écolo. En effet, leurs planches, wax, et combinaisons sont fabriqués dans des matérieux qui ne sont pas toujours écologiquement exemplaires. Par exemple, les planches de surf sont généralement composées d’un pain de mousse coulé dans de la résine sur laquelle on applique de la fibre de verre. Ces matériaux sont toxiques et non pas recyclables.

 

Alors, comment inverser la tendance et parvenir à proposer une planche de surf 100 % écolo?

 

La société américaine Ecovative Design Society a proposé un moyen de remplacer les plastiques habituellement utilisés pour fabriquer une planche de surf (comme la styromousse ou le polystyrène) avec un matériau naturel comme du mycélium associé à des résidus alimentaires.

Le projet s’appelle Mycofoam, et vise à produire des planches de surf 100 % écologiques.

L’idée a été imaginée par Daniel Del Toro et David Purser. Ces deux hommes sont très engagés dans le développement durable. Le but de ce projet c’est de remplacer la mousse polyuréthane par du mycélium.

Cette idée est particulièrement ingénieuse!

Le mycélium fonctionne de la même façon que le polyuréthanne expansé, il s’empare et envahit de l’espace dans lequel on le place.

Alors de ce nouveau processus qui nécessite une culture de déchets agricoles, et du mycélium (la partie végétative des champignons) .

Pour la fabrication, c’est un processus très simple. Tout ce dont vous avez besoin est de mettre ces deux éléments dans un moule et de le laisser reposer pendant 10 jours. Au cours de cette période, le mycélium croît et prend la forme du moule.
Ensuite, une fois démoulée la planche sèche quelques jours, puis ensuite elle est enduite de résine Entropie afin de la rendre étanche.

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Afin de rendre ce prototype commercialisable Ecovative Design est actuellement en train de collecter des fonds afin qu’ils puissent commencer à produire à plus grande échelle.

Je me demande cependant si cette planche est aussi légère que celles « habituelles »… Aussi je me demande qu’elle sera sa durée de vie ..?! Car les planches de surf se retrouvent parfois ensevelies par des tonnes d’eau. De plus, l’eau salée c’est tout de même assez agressif.

Et vous, qu’en pensez-vous ?