Entrepreneuriat

Réinventer la mode grâce au laser

Repenser le vêtement et même l’industrie textile avec la découpe laser

Au cours des dernières décennies, on a cessé d’augmenter la quantité des vêtements produits, mais souvent au détriment de la qualité. De plus, cette tendance n’est pas sans conséquence pour l’environnement et les gens qui travaillent au sein de ce secteur. C’est en partant de ces constats, que le collectif Post-Couture a souhaité imaginer une alternative au système de l’industrie actuelle de la mode.Ce jeune collectif néerlandais a pour ambition de modifier la façon de distribuer, consommer et produire la mode. Comment? L’idée c’est simplement de se servir de la découpe laser. Déjà présente dans l’industrie textile, cette technique permet de découper de nombreuses pièces de vêtements en même temps. Alors, pourquoi ne pas adapter la mode à cette technologie? Et bien c’est le pari du collectif qui a dessiné des vêtements sans couture. Il propose une collection numérique innovante.

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La collection ONE | OFF:

La première collection du collectif Post-Couture se compose de six pièces. Elles ont été conçues par Martjin van Strien. Cette ligne de vêtement un peu particulière se présente sous forme de patronage digital. Mais la nouveauté c’est que chaque patron est téléchargeable. Les utilisateurs sont ainsi placés au cœur du processus, car chaque modèle a été pensé afin que n’importe qu’elle personne, puisse assurer la production du vêtement lui-même .

Le design des pièces :

La collection est composée de pièces aux coupes futuristes. Elles traduisent la fascination de Martjin van Strien pour l’architecture, et la science. Ces pièces aux allures parfois minimalistes sont découpées dans un matériau fabriqué à partir de bouteilles de plastique recyclées. Ce matériau high-tech est assez rigide. De plus, il a une bonne tenue, ce qui permet aux vêtements de ne pas se défaire.

Une mode téléchargeable… et après comment ça se passe?

Le principe est ultra simple : pas besoin d’être designer ni d’être couturier. Il suffit de sélectionner le modèle de votre choix sur le site du collectif The Post-Couture. Sur le site, vous renseignez vos mensurations, puis une fois la commande passée vous recevrez le patron dans votre boite courriel… Ensuite le producteur c’est vous!!

Combien ça coute? 

Le fichier téléchargé est un fichier au format illustrator (un logiciel vectoriel). Pour Martjin van Strien, si les gens ont recours actuellement au fast-fashion, c’est aussi grâce aux prix attractifs, peu élevés qu’elle propose. C’est pourquoi il a souhaité que son projet soit accessible. Le téléchargement d’un patron coûte 5 euros, soit environ 7 $. Par ce prix abordable, il instaure une nouvelle alternative.

Do it!!!

Dans ce processus de production inversé, c’est vous qui êtes au cœur du projet! Votre rôle est central. Vous devez choisir la matière et de la couleur qui vous convient pour réaliser votre vêtement. Ainsi, si vous souhaitez recycler une vieille robe liberty, dont vous adorez le motif, mais dont la coupe ne vous plait plus, et bien c’est possible!!

Après le choix du patron et du tissu, vous devez vous rendre dans un fablab afin de procéder à la découpe. Puis, une fois les morceaux découpés, c’est à vous de les assembler!! Inquiétez-vous pas, il y a des vidéos explicatives (sur le site du collectif). Vous n’aurez qu’à vous laisser guider.

L’avantage de cette technique, ce n’est que nul besoin d’avoir des connaissances en couture, pour réaliser un tee-shirt. C’est malade non? Pour Martjin van Strien, le fait d’intégrer les gens dans le processus de création de leurs vêtements, permet de créer des produits beaucoup plus attractifs, que ceux proposés par l’industrie de masse. De plus, si vous choisissez de vous faire une garde robe 100 % Post Couture, vous pourrez jouer avec les assemblages et reconfigurer vos vêtements! Bref, en fait c’est un jeu de construction, comme des legos!

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Le coté innovant du projet Post-Couture

Cette façon innovante de produire des vêtements demande un fort engagement de la part de l’utilisateur. En effet, cette nouvelle façon de faire, et de produire, renverse le processus habituel, et le consommateur devient un acteur. De surcroit, cette expérience unique permet une personnalisation ultime que l’industrie actuelle ne permet pas. Au cours du processus, l’utilisateur s’implique et cela confère  une valeur ajoutée aux vêtements. Enfin, l’utilisateur portera un habit unique dont il sera faire. Le vêtement produit sera unique et révèlera son identité.

De plus, ce principe a d’autres avantages, il est éco-responsable. En effet, les dessins sont partagés numériquement et fabriqués localement et à la demande. Le fait de produire à la demande constitue un autre avantage de taille. Il n’y aucun stock à gérer. Le fait d’être découpé et assemblé de façon locale, entraine une réduction de  la pollution et les coûts de transport habituels.

Enfin, le dernier point positif, est celui de l’éthique. Ce mode de production, n’exploite pas des ouvriers dans des conditions lamentables.

Bref,  je vois en ce projet une porte de secours pour l’industrie textile. Vous l’aurez compris, à mes yeux le projet du collectif est prometteur. Il mêle design futuriste, «  Do it Yourself  » et technologie… J’ai hâte de découvrir les prochaines collections.

Que pensez-vous du projet de Post-Couture?

Audvik, réussir en entreprenariat

Derrière la marque Audvik, se cache actuellement une entrepreneuse, hors pair. Elle se nomme Sophie Boyer. Âgée d’à peine 26 ans, et récemment diplômée de l’Université de Sherbrooke en administration des affaires, elle a fait le grand saut. Elle a racheté l’Entreprise, Québécoise qui conçoit et fabrique des manteaux depuis plus d’une trentaine d’années. Son regard neuf sur les modelés lui a permis de moderniser cette enseigne.

Quel était son objectif ? 

Redonnez le gout au clients de bouger l’hiver, sans craindre les températures.

Car, pendant la saison hivernale, le froid, dissuades certains habitants à profiter de la saison.

Quels sont les produits proposés par audvik ?

Parmi la gamme de modèles proposés, les coupes sont ajustées. Les manteaux sont élégants et conviendront autant aux citadins, . Il sont conçus à partir de matériaux technologiques, car le cahier des charges de se manteau n’est pas des moindre. En effet, il doit pouvoir offrir de la chaleur aux citadins, mais il doit également être respirants, pour les sportifs. Enfin il doit absolument être imperméables afin de s’adapter au climat.

Par rapport au budget, on se situe sur la même échelle que d’autres manteaux d’hiver haut de gamme. Il faut prévoir entre 400 à 800 $.

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D’où vient cette formidable réussite?

1 – De sa connaissance du terrain 

Sophie Boyer a travaillé plusieurs années dans un magasin de sport. Au cours desquelles, elle s’est familiarisée avec le milieu, ainsi qu’avec la concurrence. Cela lui a également permis de connaitre les aspirations et les attentes de la clientèle. Ainsi, avec toutes les cartes en main, elle a su déterminer sa cible, ses concurrents, et se positionner.

2 – Du soutien de son entourage

Dans cette jolie aventure, Sophie Boyer est très bien entourée. En effet, elle soutenue d’une part par sa famille et d’autre part par les anciens propriétaires. Sa mère qui est designer de vêtements de sport a également embarqué dans le projet. Elle s’occupe de remettre les modèles au goût de la clientèle, en rajeunissant les coupes.

 3 – De son investissement au sein du processus  

Sophie Boyer, qui est une sportive de haut niveau, teste elle même ses produits. Car comme dit l’adage, « on n’est jamais mieux servis que par soi-même! »

4 – De son engagement auprès de la clientèle 

Audvik était une marque de manteaux conçus pour les hivers enneigés québécois. La conception et la fabrication étaient réalistes au Québec. Jugeant cet aspect comme une véritable haleuse ajoutée au produit, Sophie Boyer a maintenu toutes les étapes de la conception et de la fabrication.

5 – De sa maitrise de réseaux sociaux. 

En effet, la clientèle aujourd’hui on ne l’a trouve pas que dans les boutiques. Les jeunes passent toujours plus de temps sur les réseaux sociaux. Et ils peuvent y faire de belles découvertes. C’est pourquoi, pour relancer l’activité, la jeune entrepreneuse n’a pas hésité à faire appel à des influenceurs. Pour ceux, qui ne savent pas vraiment de quoi il s’agit, en fait, ce sont simplement des gens qui ont une grosse popularité sur les réseaux sociaux, et qui influencent de par cette notoriété le comportement de futurs consommateurs.

 

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Pour conclure, on peut affirmer, que lorsqu’on parvient à allier nos passions, ça a plus de chance de focntionner. Car, bien sur derrière tout cela, il y a une motivation immense, et une charge de travail importante, mais quand on aime… on ne compte pas !

Travailler sur la route c’est le pari de nomade studio

Vous savez, il y a les projets que vous trouvez bien, ce que vous trouvez ingénieux et ce que vous auriez rêvé d’avoir réalisé.Nomade studio fait parti pour moi, de cette dernière catégorie.

Bref, nomade studio est, comme son nom l’indique un studio nomade. Le projet est tout simple. Il s’agit de faire le tour de France à bord d’un vieux Van Volkswagen, transformé en atelier mobile.Le but d’avoir un atelier mobile est d’une part de pouvoir facilement se déplacer. Ainsi que de pouvoir me mener des projets avec différents artisans aux savoir-faire uniques.

Ce projet a été mené par  Nicolas Vershaeve et Matthieu Metivet. Ce sont deux étudiants de l’école nationale des Arts décoratifs de Paris. L’un est designeur. Il dessine et prototype ses projets avant de passer à l’étape de production. Il est passionné est persuadé que le design peut-être une valeur ajoutée pour des secteurs en déclin. C’est pourquoi, il engage des nombreuses collaborations avec des céramistes, des ébénistes, ou des verriers. Avec eux, il crée des objets emprunts d’une culture est un savoir-faire traditionnel, mais en y ajoutant sa touche innovante et actuelle.Le second, lui est photographe. Il s’associe au projet pour pouvoir en suivre l’évolution. Son but est de traduire le processus de création collaborative sous un angle documentaire.

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Le plus beau dans tout ça c’est que le projet été financé par Crownfunding, et via la plate-forme Kisskiss bang bang.

Ça ne vous fait pas rêver ?

Travailler moins, gagnez plus et vivre mieux!

Le livre La semaine de quatre heures donne les clés pour « Travaillez moins, gagnez plus et vivre mieux ». Pour cela l’auteur Tim Ferris se base sur 4 concepts clés. Je vous invite également à lire ce livre au complet. Il regorge d’exemples et d’autres petits conseils. En voici un condensé.

Le premier concept fondamental est le rapport à l’argent. Il se base sur le principe que la richesse et la possession ne font pas le bonheur. Pour lui ce qu’il y a de plus précieux à ces yeux, c’est le temps. Pour cela il explique la différence entre les revenus relatifs et les revenus absolus.  La plupart des gens se concentrent sur les revenus absolus. C’est à dire, combien d’argent ils gagnent annuellement. Mais ce qui est intéressant c’est de savoir la proportion entre le temps passé à travailler et le temps allouer aux loisirs et à faire ce qu’on aime. Pour cela il faut s’intéresser au revenu relatif. Il s’agit de la somme d’argent gagnée par heure réelle de travail.

Si vous souhaitez être heureux et plus libre, ce qu’il faut augmenter ce n’est pas votre revenu absolu annuel, mais votre revenu relatif.

Pour parvenir à augmenter son revenu relatif, c’est à dire à gagner plus en travaillant moins, Tim donne des conseils, pour parvenir à créer son entreprise. L’idée développée dans ce livre est qu’il vaut mieux avoir une entreprise sur laquelle vous allez travailler 4 h/semaine et qui va vous rapporter 3000 € que de travailler comme un dingue pendant des années pour peut être un jour devenir millionnaire. Pour réussir à travailler efficacement et mettre en pratique la semaine de 4 heures, il faut comprendre deux principes de causes à effet.

La première est celle de Pareto : « 20 % des causes produisent 80 % des effets ». Donc dans le business ça se traduit par le choix des clients. Il s’agit de se concentrer sur les clients qui génèrent le plus de bénéfices et de s’occuper très bien d’eux.

La seconde est loi de Parkinson. Cette loi peut s’appliquer dans différents domaines, pas uniquement dans le business. Elle dit que plus on alloue de temps à une tâche, plus la tâche va devenir complexe et donc plus on va mettre du temps à la réaliser. Donc plus vous mettez une date butoir proche pour une tâche à effectuer plus vous allez faire rapidement cette tâche. Par exemple, nombreux sont ceux qui souhaitent sauter en parachute, mais peu sont ceux qui passent à l’action. Il dit qu’il faut transformer les rêves flous en des chronos-rêves pour qu’il devienne réalité. C’est-à-dire qu’il faut les inscrire dans le temps. Ainsi en mettant une date butoir exemple dans 6 mois, je fais telle chose, ainsi vous avez beaucoup plus de probabilité de réaliser ce rêve la.

Donc si vous parvenez à combiner la loi et Pareto et la loi de Parkinson vous avez tout gagné! En effet, le fait de réduire vos actions au minimum pour faire uniquement ce qui est important et le fait de réduire le temps que vous allouez à ses actions, vous allez gagner du temps tout en simplifiant vos tâches en même temps. C’est très simple moins vous faites d’action plus vous gagnez de temps. Moins vous consacrez de temps à ces actions et moins elles seront complexes.

Enfin le dernier concept clé est externaliser les tâches qui ne nous apportent pas la plus grande contribution. Il faut apprendre à déléguer. L’idée est d’éviter de perdre son temps dans des tâches pour lesquelles on est pas spécialement compétent et qui ne nous intéressent pas plus que ça, par exemple vous pouvez faire appel à un comptable pour les tâches administratives. La question du coût est ici centrale. Mais si vous gagnez entre 20 et 25 € de l’heure, et que vous faites ce qu’un autre aurait fait pour 10 ou 15 €, vous utilisez mal vos ressources : vous perdez de l’argent et du temps.

Ce dernier point est un peu controversé, il s’agit de sous traiter des gens ou des entreprises dans des pays ou le revenu moyen est plus faible.

Connaissant les lois et conditions de travail appliquées dans ces pays-là, j’ai un peu plus de difficulté à considérer ce dernier point.

Mais n’en reste pas moins que je vous conseille très fortement la lecture de ce livre.

Le dernier point que j’ajouterai est que malgré que ce livre soit riche de concepts fort intéressants, à mon goût il s’agit d’un livre écrit pour les gens qui ne sont passionnés par leur travail. Personnellement, je conseillerais de faire de ses loisirs ou de sa passion un travail, plutôt que de travailler 4 heures par semaine sur quelque chose qui ne nous satisfait pas à 100 %.

Pour résumer :

Points forts

•il vous incitera à vous réapproprier votre vie.

•Facile à lire;

•Motivant de découvrir le parcours de Tim;

•D’exemples nombreux;

•Plein d’espoir et d’optimisme;

Points faibles

•L’approche individualiste (externalisation);

•Le manque de passion pour le travail.

 

Et vous êtes-vous déjà lu ce livre? Vous a-t-il aidé à augmenter votre salaire relatif?

Si vous ne l’avez toujours pas lu, procurez-le-vous!

big data, et problèmes sociaux et sociétaux

 

Paul Duan est un jeune entrepreneur, qui utilise la big data dans un contexte tout nouveau.

 

En effet, aujourd’hui on associe la big data aux algorithmes qui gèrent les marchés financiers, la bourse, le trading. Bref les grosses machines à fric.

 

Mais le postulat de Paul Duan, c’est que la big data peut être utilisée pour plus que ça. Son objectif à lui n’est pas de faire de l’argent, mais simplement d’aider les gens. Son ambition est d’utiliser la big data pour résoudre des problèmes sociaux à grande échelle.

 

 

Mais la big data c’est quoi?

Chaque jour nous créons des milliers de données de par notre activité quotidienne.

À partir des données créent des data scientifist ce sont mis à les analyser.

 

La science des données est une nouvelle discipline à l’intersection des mathématiques, de l’informatique et de la recherche opérationnelle. Ça consiste à créer des algorithmes capables d’apprendre automatiquement des données afin de pouvoir faire des prédictions.

 

Voici un exemple de l’application de la science des données :

Uber est un service de taxi qui collecte des données sur chaque trajet effectue par ces utilisateurs; il récolte, les requêtes, l’heure, et les destinations. À partir de cela les data scientifist analysent les informations pour prédire où et quand les requêtes sont plus à même d’arriver. Cette analyse leur permet de dissimuler les véhicules en temps réel en fonction du besoin probable.

 

 

Peut-on généraliser l’utilisation des données?

Chaque jour des millions de personnes meurent en attendant une ambulance. Mais améliorer l’infrastructure des services ambulanciers à un coût très élevé. Si on peut utiliser des algorithmes pour optimiser la dissémination des taxis, qu’est-ce qui nous empêche de faire de même pour les ambulances? Rien

 

Partant de ces constats, Paul Duan s’est donné pour objectif de créer un monde plus juste et surtout plus efficace. Désormais il travaille en partenariat avec des ONG autour du globe sur des problématiques comme la santé, la justice, le développement international.

 

 

Comment le numérique peut-il aider les demandeurs d’emploi?

 

En France, il a collaboré avec pâle emploi, le service public qui vient en aide aux demandeurs d’emploi. À partir des nombreuses données de pâle emploi, il a créé un algorithme qui va pouvoir assister les chômeurs dans leurs recherches.

Ce nouveau service ce nom bob emploi.

 

 

Bob emploi comment ça fonctionne?

 

L’utilisation est facile. En quelques clics on rempli notre profil, notre formation notre métier, ce qu’on a déjà fait pour chercher un emploi, puis on coche les frustrations qui nous bloquent dans notre recherche.

À partir de cela le service propose d’options à considérer pour augmenter nos chances de trouver un travail, comme « 17 % de chances supplémentaires de trouver un emploi si vous passez le permis de conduire “. Le site propose des actions pour aider les demandeurs comme ‘aller découvrir ce service parce que vous ne le connaissez pas”. Le service propose “de générer un début de lettre de motivation sans effort ». Le ton employé est très amical, et personnalisé.

À la suite de ces suggestions d’actions, le site demande si ça les a aidées et fait avancer.

 

 

La particularité de Bob emploi c’est l’éthique avec laquelle ils travaillent.

 

Bob Emploi, une plateforme à but non lucratif et leur unique mission sont d’essayer de vous être utiles. Ils sont conscients du devoir de responsabilité que ça représente de créer des algorithmes qui ont vocation de prendre des informations personnelles et parfois sensibles pour prendre des décisions sur la vie des gens. Bob Emploi vous prévient qu’il ne va pas revendre vos données « Tout ce que vous dites ça reste entre nous “. Et pour prouver son honnêteté bob emploi est Open source. C’est-à-dire que ce service est ouvert. Ainsi, n’importe qui peut regarder comment les algorithmes ont été pensés, et s’assurer qu’in ne fait pas n importe quoi avec les données et que les recommandations sont saines.

 

 

Bref, c’est cool, mais qu’est ce que ça va vraiment changer?

 

L’objectif de Bob emploi est de réduire le taux de chômage de 10 %  en un an. Si le chiffre paraît important quand on se rapporte aux chiffres de l’emploi en France et aux capacités des algorithmes cela n’est pas si exorbitant.

 

 

Ce qu’il faut retenir :

Enfin, l’algorithme c’est une formule qui est applicable à des problèmes très différents. Enfin, un petit nombre de chercheurs peuvent venir en aide à des tas de personnes, et ça c’est fabuleux!

 

Merci Paul !

 

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Comment booster votre productivité?

Découvrez l’outil qui vous permettra de devenir plus productif

Aujourd’hui je souhaitais vous parler d’un outil qui va vous aider à augmenter votre productivité. Il s’agit du Productivity Planner.

L’idée, lancée par l’équipe d’Intelligent Change, est de consacrer une page par jour à se concentrer sur le plus important.

Il vous aidera à compléter une journée de travail en plus rapidement.Le fait d’écrire systématiquement les tâches que l’ont doit accomplir ainsi que le temps allouer pour y parvenir, permet de synchroniser et de « focusser » toute notre énergie de façon à ne perdre ntre temps.

Dans ce carnet, il y a une page consacrée aux 5 tâches les plus importantes de la semaine.

Après, il y a le même principe pour les tâches de la journée.
Il faut tout d’abord identifier la tâche la plus importante, puis ensuite nommer les tâches d’importance secondaires et enfin celles à réaliser uniquement une fois que toutes les autres effectuées.
Sur chaque page il y a également un espace prévu pour inscrire les notes, idées, tâches futures, inspiration, etc.
Puis à la fin de chaque journée, viens de moment de s’évaluer.

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Pour conclure, ce joli carnet vous permettra de faire un suivi clair et régulier de votre productivité. Cela vous permettra de l’accroitre au fil du temps.

Ainsi, ces petites victoires hebdomadaires permettant d’être fier de soi chaque semaine.

Les conseils d’une illustratrice indépendante

Marylou Faure est une illustratrice française installée à Londres.
Illustratrice, Marylou façonne un monde imaginaire acidulé, aux couleurs pop et peuplées de personnages et de créatures.
Marilou s’est lancée en pigiste en temps qu’illustratrice et et directrice artistique. En juin 2016 elle a participé au Adobe Creative Meet Up et nous a livré 4 astuces pour réussir dans le monde de l’auto-entrepreneuriat.

En cette météo grisonnante de décembre, plongez dans l’univers pop des illustrations de Marilou. Je l’ai découvert il n’y a pas très longtemps mais j’adore son univers, ce qu’elle produit.   En particulier, sa série « The Ultimate Summer » qui me rappelle à quel point j’aime cette saison. Dessins hyper-simples, couleurs presque criardes et pour une fois, des images entièrement réalisées à l’ordinateur qui, pourtant, me plaisent bien.

Les conseils pour réussir en temps qu’illustratrice

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Raccourcis Photoshop pour gagner du temps

D’abord, pour gagner du temps lors de l’utilisation d’un logiciel, le premier conseil que je peux te donner, cela parait évident, mais c’est de l’utiliser fréquemment.

En effet, plus tu t’en servira, mieux tu le maitrisera.

Pour commencer organise ton espace de travail:

Voici les panneaux les plus utiles (pour une utilisation classique) :

Alors, pour activer un panneau, il suffit de cliquer sur « Fenêtre » puis choisir le panneau.
  • Nuancier de couleurs
  • Calques
  • Tracés
  • Caractères, Paragraphe
  • Palette d’outils

 

 

Ensuite, voici quelques raccourcis de base, à maitriser. Ils te seront indispensable pour te faire gagner du temps et éviter de chercher dans les menus.

Le but, c’est bien sur pas de les apprendre par coeur, mais simplement d’avoir en tête ceux que tu utilises le plus souvent.

 

Raccourcis clavier indispensable à connaître :

Donc, les raccourcis permettent gagner du temps et de l’énergie .

Pour les outils :

  • : outil pinceau (Brush)
  • M : outil Sélection
  • P : outil Plume
  • V : outil Déplacement
  • U : outil Forme
  • T : outil Texte
  • E : outil gomme (Erase)

 

Le principe des raccourcis, c’est assez simple il suffit de taper sur la touche cmd + une lettre. Et c’est justement la lettre qui va déterminer l’action.

Avec un petit exemple cela sera sans doute plus clair.

Les sélections :

Premièrement, le fameux Cmd+A, que l’on utilise dans la plupart des logiciels fonctionne aussi dans Photoshop.

Ce raccourci  permet de sélectionner l’ensemble des fichiers. Cependant, il faut veiller d’être sur le bon calque pour éviter les mauvaises surprises.

Sinon, vous pouvez aussi utiliser la Cmd+ clic gauche sur la vignette du calque (dans la fenêtre de calque) ce qui permet aussi de  sélectionner tous les pixels du calque en question.

Ensuite

Les actions :

  • Cmd + Z : annuler la dernière action
  • Cmd + ALT + Z : annuler les dernières actions
  • Cmd + C : copier
  • Cmd + V : coller
  • Cmd + X : couper
  • Cmd + G : créer un groupe pour les calques sélectionnés
  • Cmd + J : dupliquer le(s) calque(s) sélectionné(s)
  • Cmd + T : transformer la sélection (objet, groupe de calques, calques…)
  • Cmd + N : créer nouveau document
  • Cmd + W : fermer le document actif
  • Cmd + S : sauvegarder le document actif
  • Cmd + Alt + S : sauvegarder le document actif sous… (pour changer le nom, le dossier de destination…)
  • Cmd + « : » : afficher / masquer les repères

Pour conclure :

1 -Tout d’abord utilise fréquemment Photoshop

2- Ensuite, organise ton espace de travail

3 – Enfin, apprends & maitrise les principaux raccourcis

 

Remarque :

En dernier lieu, pour ceux qui utilisent Windows il suffit de remplacer la touche, Cmd par la touche Ctrl.

Finalement, quelles sont vos techniques pour gagner en efficacité ?

Les communautés de designers

Vous connaissez déjà peut-être Facebook, Twitter, Pinterest ou Instagram, mais il existe d’autres plateformes plus spécialisées pour les créatifs, les designers.

Elles permettent aux designers, photographes, graphistes, et artistes de partager leurs travaux.

Aujourd’hui je vais vous parler de Behance.

Behance c’est quoi?

C’est un service gratuit en ligne pour créer un portfolio.

Pour qui? :

 Ceux qui souhaitent partagez leur
 Ceux qui cherchent de l’inspiration. Il est possible de se créer des collections à partir des projets que vous aimez.

Comment?

 Vous créez un compte, personnalisez votre profil, soignez votre description!
 Puis de mettre en ligne vos créations

Pourquoi?

 Parce que c’est une immense communauté d’inscrits.
 Il est possible de faire des recherches par mots clés.
 Développée par adobe, cette plateforme est très populaire, elle est également très bien référencée par les moteurs de recherche.
 Parce que c’est important d’être présent sur ce genre de plateformes pour diffuser son travail et éventuellement pour (se) créer des partenariats, ou même pour se trouver une job.

On aime parce que :

Le portail est ici très classique, contemporain, et très « userfriendly ».
De plus l’interface est disponible en français ou entre d’autres langues si vous le désirez.
Vous découvrirez plein de travaux, inspirant.
Actuellement il est possible d’afficher autant de projets que souhaiter. Il n’y a aucune restriction ni au niveau des tailles d’images ni au niveau de contenu.
Le petit plus :
Il existe même une appli! Grâce à elle vos pourrez consulter vos notifications sur vos tablettes, téléphone intelligent. Bref, vous aurez accès à la plateforme, n’importe où et  n’importe quand.

En bref :

C’est un outil que je conseille à tous les graphistes.
J’y possède un compte et je trouve ce portail assez utile…
Je publie également mes statistiques qui vous inciteront peut-être à sauter le pas.

Le big plus :

Behance, propose désormais un service du type « portfolio » . Cela permet de créer un site web personnalisable.
Enfin, quels sont vos outils favoris ?