Les serres victoriennes, calme et sensualité
La rencontre du calme et sensualité
Enchâssées entre la bibliothèque municipale et le Victoria Hall,
Les serres victoriennes de Westmount sont un endroit sublime. Quand on pénètre sous les verrières, le temps semble s’arrêter. Sa toiture de verre et d’acier nous fait immédiatement replonger dans une autre époque. Il s’agit de l’époque victorienne.
C’est un lieu propice à la relaxation.
Les serres victoriennes sont également appelées la « Maison des Palmiers. »Cet authentique petit bijou d’architecture a été bâti en 1927.Au fil du temps, la “Maison des Palmiers” a subi diverses restaurations. Un vestibule a été ajouté et l’on a aménagé un bassin-étang dans la grande serre.
Le bâtiment accueille un petit jardin anglais du XIXe avec une superbe exposition florale composée, entre autres, d’orchidées et de jacinthes. On peut même y voir un bananier!
Quelques bancs et tables ont été installés pour permettre de prendre le temps de profiter de l’ambiance calme et reposante du clapotis de l’eau de la fontaine. J’aime la zénitude qui s’échappe des lieux. Ces serres font l’effet d’un havre de paix. On vient s’y ressourcer.
C’est aussi dans cette serre que l’on fait pousser les 8000 plantes qui vont être utilisées pour créer la gigantesque horloge florale située dans le parc Westmount juste à côté.
Accès à ce point bout de paradis :
On peut accéder à la serre par un passage depuis la bibliothèque. C’est très pratique pour faire une pause nature entre deux lectures. Mais c’est aussi très agréable l’hiver quand il fait froid et que le sol est enneigé.
Fondatrice & Directrice artistique Voyageuse, curieuse, ses inspirations graphiques viennent du bout du monde ou du coin de la rue.
RIEN QUE POUR TES YEUX : LE BELVÉDÈRE CACHÉ DU MONT ROYAL
Impossible de visiter Montréal sans apercevoir le mont Royal.
Dans le cœur des habitants, il est beaucoup plus qu’une montagne, c’est un symbole,
La plupart des visiteurs se contentent d’atteindre son sommet en s‘arrêtant
C’est la balade que je vous propose. En partant du chalet du parc, un sentier étroit part vers l’est, longe la pente escarpée et, en quelques centaines de mètres, conduit à un petit belvédère naturel dont le seul aménagement consiste en une barrière de métal pour protéger du vide.
D’ici, la vue sur la ville est quasiment la même. C’est nettement plus romantique : car vous avez la chance de l’avoir pour vous seul.
En version plus sportive, on peut également rejoindre ce petit promontoire en gravissant les 256 marches du grand escalier de bois qui part de l’avenue des Pins
Fondatrice & Directrice artistique Voyageuse, curieuse, ses inspirations graphiques viennent du bout du monde ou du coin de la rue.