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8 raisons de partir en vacances à Hawaï

1. C’est un petit bout du monde !

Aller à Hawaï c’est un peu un rêve. D’ailleurs Hawaï a toujours figuré sur la liste des endroits que je voulais visiter un jour, comme probablement la moitié d’entre vous. Demandez à ceux que vous connaissez quelles sont les vacances de leur rêve… Il y a de fortes chances qu’ils répondent eux aussi Hawaï.

Bien que l’idée de visiter Hawaï me faisait également rêver, cette destination ensoleillée ne faisait toutefois pas partie de mes priorités. Mais je me disais tout de même « un jour j’irais… quand l’opportunité se présentera ».

Et figurez-vous que l’opportunité est présentée il y quelques mois. C’était lors d’une soirée entre amis, quelques verres de vino… et presque sur un coup de tête, nous avons réservé nos billets d’avion.

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2. Échapper aux fraîches températures du Québec et profiter des températures clémentes d’Hawaï

On va se le dire, même si j’adore vivre au Québec, il fait froid par chez nous. Les Québécois sont nombreux à prendre des vacances en hiver afin de partir dans des destinations exotiques ! Et pour cause… fin janvier les températures sont glaciales et lorsqu’il faut déneiger notre voiture ou notre entrée, on ne trouve plus cela très amusant. Alors à fin de pouvoir continuer à apprécier la beauté de l’hiver québécois parfois il faut savoir prendre ses distances!

Même si vous vivez en Europe, c’est pas mal certain qu’Hawaï vous offrira un meilleur temps et des températures plus agréables que celles qu’il fait présentement chez vous. Eh oui, les îles d’Hawaï ont une saison plus sèche (été) et une saison plus humide (hiver), mais la bonne nouvelle c’est que la température reste relativement stable tout au long de l’année.

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3. Les splendides plages d’Hawaï

À Hawaï, vous aurez le luxe de pouvoir choisir la couleur de votre plage! Et ce n’est même pas une blague ! Il y a des plages de sable blanc, des plages de sable jaune, des plages de sable noir, des plages de sable rouge et même une plage de sable vert.

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4. Qui dit plage dit également spot de surf…

La réputation d’Hawaï concernant ces spots de surf n’est plus à faire. Hawaï est mondialement réputé pour ces spots de surf. Alors, que ce soit pour vous initier à une nouvelle pratique, ou encore peaufiner vos skills, Hawaï est sans aucun doute un lieu rêvé !

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 5. Qui dit plage dit également plongée.

Les eaux d’Hawaï sont également réputées pour leurs récifs de corail, ainsi que pour leur faune marine. Il n’est pas rare de pouvoir croiser des tortues de mer vertes, des phoques, ou encore des dauphins, des baleines ou encore des requins.

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6. Les volcans

La géographie d’Hawaï est très variée à cause de ses grands volcans.

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7. La bouffe

Pour la gourmande que je suis, voilà un aspect très important : la nourriture ! À Hawaï, la nourriture de l’île est un mélange de la nourriture chinoise, japonaise et hawaïenne… Je salive déjà rien que d’y songé. Et je vous en dirais des nouvelles sans doute sous peu !

8. Les Cascades

Certaines des plus belles chutes d’eau du monde se trouvent à Hawaï. Elles sont entourées d’une végétation luxuriante, les cascades d’Hawaï sont tout simplement incroyables!

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Et vous, quelle est la destination qui vous fait rêver ?

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Fabriquer une planche de surf avec des mégots 

La société de surf Vissla et la Surfrider Foundation (une organisation environnementale à but non lucratif ) organisent chaque année un concours qui incite les particuliers à créer une planche de surf fonctionnelle à partir de matériaux recyclés.

Pour attirer l’attention sur la pollution des océans et stimuler davantage d’actions, un surfeur et designer industriel californien a créé une planche de surf à partir de 10 000 mégots de cigarettes usagés.

Son idée a séduit et remporté le premier prix du concours des « Creators and Innovators ».

L’initiateur du projet, Taylor Lane, ignorait que les filtres à cigarettes étaient composés de plastique.

Lorsqu’il l’a appris, il fut stupéfait de réaliser que tous les mégots jetés dans la nature ne se mettaient près de 12 ans à se décomposer.

Car près de 80% des filtres de cigarettes jetés rejoignent ensuite les cours d’eau,  les ruisseaux, les  rivières  et l’océan.

Mais les filtres de cigarettes sont extrêmement toxiques !!

En effet, les mégots comportent  près de 7 000 substances chimiques, tels que le plomb, l’arsenic, la nicotine et le formaldéhyde.. et bien d’autres.  Ce sont autant de produits chimiques qui pénètrent dans l’environnement, et qui contaminent l’eau. D’ailleurs, on estime qu’un seul mégot peut polluer jusqu’à 500 Litres d’eau. C’est en découvrant les effets néfaste de la pollution sur la faune et la flore, que Taylor Lane et son ami cinéaste Ben Judkins ont eu l’idée de se lancer dans un vaste projet de conscientisation.

Ensemble, ils ont d’abord conçu une planche de surf à partir de mégots de cigarettes …

À  première vue, ce projet n’a pas de sens. Mais cette idée qui a quelque chose d’artistique et de politique. Il s’agit d’un objet catalyseur qui soulève des questions et des débats.

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Bien que peu esthétique et peu pratique, cette planche de surf a été imaginée comme une pièce politique, environnementale et sociale.

Afin de la fabriquer, les deux amis ont assistés à des nettoyages de plage. Notamment ceux organisés par l’association Surfrider Foundation et Save Our Shores, dans les comtés de San Francisco, San Mateo et Santa Cruz. Lors de ces évènements, les deux amis ont collectés d’une part d’innombrables mégots de cigarettes, mais aussi de nombreuses images et des témoignages de bénévoles.

Une fois les mégots amassés, ils sont passés à l’étape fabrication.

200 heures de travail ont été nécessaires (sans compter les nombreuses heures passées sur les plages  à ramasser des mégots). Pour la fabrication de la planche, ils ont utilisé des mousses EPS et ils ont figé le tout, grâce à une résine à base de soja. Cette résine est beaucoup plus durable et moins toxique que la résine traditionnelle.

Le résultat est surprenant : cette planche de surf pèse près de 7 kg, mais est parfaitement « surfable » !

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Cette planche de surf à base de mégots est  un bel exemple d’upcycling !

Enfin, Ben Judkins et  Taylor Lane ont lancé une campagne de sociofinancment en ligne.

En effet, les deux amis souhaitent créer un documentaire sur le surf environnemental. Car oui, même si les surfeurs sont des amoureux de l’océan, parfois la fabrication de leur chères planches sont parfois peu respectueuse de l’environnement.

Pour plus d’informations au sujet du documentaire rendez-vous sur la page officielle de leur campagne Kickstarter.

PS : il est encore temps de participer ! Alors, si vous ne savez-pas quoi faire de votre argent durant cette semaine de « Black Friday » et de « cyber Monday » ou de consommation outrancière … Voici une belle suggestion !

Enfin, si vous êtes fumeurs, je vous invite à songer 30 secondes à votre gestuelle. Avant de jeter vos mégots au sol avec nonchalance, pensez-y à deux fois !

Vous ne jetez pas vos emballages de bonbons sur le sol, ni par une fenêtre de voiture, ou dans l’océan ?! Right ? Alors pourquoi lanceriez-vous vos  mégots de cigarettes avec une telle indifférence ?

Une planche de SURF 100 % écologique

On vous a déjà vanté les pouvoirs du mycélium pour faire des emballages, mais aussi pour faire du mobilier. Désormais ce  matériau innovant conquit le monde du surf !!!

Les surfeurs sont généralement des amoureux de l’océan et de ce fait la plupart sont particulièrement sensibles à l’environnement :

En dépit de cela, leur matériel n’est pas vraiment écolo. En effet, leurs planches, wax, et combinaisons sont fabriqués dans des matérieux qui ne sont pas toujours écologiquement exemplaires. Par exemple, les planches de surf sont généralement composées d’un pain de mousse coulé dans de la résine sur laquelle on applique de la fibre de verre. Ces matériaux sont toxiques et non pas recyclables.

 

Alors, comment inverser la tendance et parvenir à proposer une planche de surf 100 % écolo?

 

La société américaine Ecovative Design Society a proposé un moyen de remplacer les plastiques habituellement utilisés pour fabriquer une planche de surf (comme la styromousse ou le polystyrène) avec un matériau naturel comme du mycélium associé à des résidus alimentaires.

Le projet s’appelle Mycofoam, et vise à produire des planches de surf 100 % écologiques.

L’idée a été imaginée par Daniel Del Toro et David Purser. Ces deux hommes sont très engagés dans le développement durable. Le but de ce projet c’est de remplacer la mousse polyuréthane par du mycélium.

Cette idée est particulièrement ingénieuse!

Le mycélium fonctionne de la même façon que le polyuréthanne expansé, il s’empare et envahit de l’espace dans lequel on le place.

Alors de ce nouveau processus qui nécessite une culture de déchets agricoles, et du mycélium (la partie végétative des champignons) .

Pour la fabrication, c’est un processus très simple. Tout ce dont vous avez besoin est de mettre ces deux éléments dans un moule et de le laisser reposer pendant 10 jours. Au cours de cette période, le mycélium croît et prend la forme du moule.
Ensuite, une fois démoulée la planche sèche quelques jours, puis ensuite elle est enduite de résine Entropie afin de la rendre étanche.

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Afin de rendre ce prototype commercialisable Ecovative Design est actuellement en train de collecter des fonds afin qu’ils puissent commencer à produire à plus grande échelle.

Je me demande cependant si cette planche est aussi légère que celles « habituelles »… Aussi je me demande qu’elle sera sa durée de vie ..?! Car les planches de surf se retrouvent parfois ensevelies par des tonnes d’eau. De plus, l’eau salée c’est tout de même assez agressif.

Et vous, qu’en pensez-vous ?

Du surf sur le Saint-Laurent

Oui, je ne te niaise pas!

Oui, c’est possible de surfer à Montréal sur le Saint-Laurent!!

Qui pourrait imaginer qu’en face du vieux port de Montréal, on pouvait faire du surf ? Certes, l’eau est plus fraiche qu’en Australie, mais ici pas de requins !

Bon, alors tout d’abord, je m’excuse vis-à-vis des amateurs de palmiers et de sable chaud, car ce n’est pas à Montréal que vous serez servis. Cependant, pour les amateurs de surf, sachez que Montréal a plusieurs petits spots.

Comment ça du surf sur un fleuve ?

Bien sûr, il n’y a pas d’océan à Montréal, donc il s’agit de surf de rivière, ou plutôt du surf de fleuve, dans le cas de Montréal. Puis là, vous êtes sans doute déjà en train de penser de vagues dans un fleuve… N’importe quoi!

Et bien, certaines conditions sont nécessaires pour former une vague. Tout d’abord il faut un certain débit d’eau ainsi qu’un brusque changement du fond. À Montréal, derrière Habitat 67, se trouve un spot. Vous savez l’ensemble d’habitations avant-gardiste de l’architecte Moshe Safdie sur l’île Sainte-Hélène. Cette expérience urbaine est possible grâce à la vague permanente due à une fosse creusée durant les travaux de construction de l’île Notre-Dame pour Expo 67. Les conditions ont été crées artificiellement et accidentellement. En effet, les ouvriers manquaient de terre de remblai et une digue fut construite afin d’aller en chercher dans le fond du fleuve. Le trou creusé est à l’origine de cette fameuse vague.

Découvrez cette petite vidéo qui présente différents spots, en guise de mise en bouche!

 

Soyez prudent!!

Soyez prudent tout de même, car il s’agit de rapide, et le courant est important. De plus si l’accès n’est pas surveillé, il reste pas moins interdit. En effet, à l’entrée du parc de la Cité-du-Havre, il y a des pancartes qui stipulent : « Accès, baignade ou toute autre activité formellement interdite en tout temps ».