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Mon premier saut en parachute en tandem

Sauter d’un avion à plus de 3500 mètres d’altitude et se laisser tomber pendant près d’une minute, il faut être dingue comme dirais ma maman! Et pourtant, c’est vraiment une expérience géniale ! Pour certains, c’est synonyme de source d’angoisse, mais pour moi, c’est synonyme de pur plaisir ! C’était un projet que je voulais tester depuis longtemps, mais  je n’avais pas encore eu l’occasion de sauter le pas…

Finalement, j’ai fais mon premier saut en parachute le jour de mes 24 ans ! Beau cadeau n’est-ce pas ! 😉

Pour ce double cadeau, car j’ai sauté avec mon copain, avec Parachutisme Adrénaline. Il y a plusieurs endroits desquels il est possible de sauter. Nous avons choisi Saint-Jérôme car c’était proche de Montréal… Finalement, je ne suis pas sure que c’était la meilleures des idées..

On a réservé la veille car on n’est pas des pros de l’organisation. Nous avons été chanceux,  il restait des places pour le jour de mon anniversaire. Je pense qu’il vaut tout de même mieux réservé quelques jours à l’avance afin d’être certain d’avoir le créneau qui vous convient.

D’ailleurs, bien que j’ai été très contente de sauter le jour de mon anniversaire, je vous déconseille d’aller à Saint Jérome depuis Montréal le vendredi soir ! Au lieu de mettre 42 min, comme l’indique Google Map lorsqu’il n’y a pas de trafic, nous avons mis plus de 3 h 30. Le GPS nous a fait sortir de l’autoroute, ou nous roulions à une vitesse de pointe à 15 km/h lorsque nous étions pas à l’arrêt, pour passer par les petits chemins de banlieue bordés de panneaux ARRET ou nous roulions un peu plus vite… C’était vraiment vraiment long. Heureusement on avait prévu un peu d’avance, mais on ne s’attendait pas à autant de trafic, plus on roulait, plus le temps pour arriver à destination s’allongeait. C’était décourageant! Après les routes de banlieue, qui étaient elles aussi bien chargées on a rejoint l’autoroute, le chemin était entièrement rouge jusqu’à la sortie.

Malgré nos précautions nous sommes arrivés avec une bonne demi-heure de retard. J’avais appelé pour prévenir que nous allions être en retard, et l’équipe s’est montrée compréhensive… Heureusement, car nous n’aurions pas apprécié faire 3h de bouchons, pour faire demi-tour ! Nous n’étions d’ailleurs pas les seuls retardataires ni même les derniers!!

Une fois sur place, nous avons réglé les dernières dépenses, puis nous nous sommes pesé et enfin nous avons signé la fameuse décharge de responsabilité!

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Ensuite on fait la rencontre de l’équipe, à la fois des instructeurs et des gens qui sont montés dans l’avion avec nous. On a regardé une petite vidéo, puis on s’est équipés. L’équipement pour nous c’était assez sommaire : on a juste une combinaison à enfiler. Étant frileuse, j’avais pris un gros pull à mettre dessous car à 3500 m d’altitude il ne fait pas très chaud… Le gros de l’équipement s’est l’instructeur qui le porte : 20 kilos sur le dos! Ensuite vient la petite séance photo… Enfin l’un des instructeurs nous fait un petit rappel, de ce qu’on a vu dans la vidéo…

La formation est un véritable catalyseur d’excitation!

Étant donné que nous attendions de retardataires, on a eu un petit moment de battement. Ce n’était pas dérangeant, on a pu voir, tout un groupe de parachutistes sauter et surtout descendre jusqu’au champ d’atterrissage. C’est cool, de les voir et ça donnait vraiment envie. Ils sautaient seuls, alors on voyait comment chacun d’entre eux négociait leur atterrissage, c’était plutôt fun à voir… Il y avait ceux qui atterrissent tout en douceur, et ceux pour qui on avait un peu d’appréhensions!

Les retardataires eux, ont eu le droit à une formation accélérée dans l’avion ! Certains de leurs amis étaient déjà sur place, alors c’était un moyen pour eux de pouvoir sauter ensemble.

Au moment de monter dans l’avion, faut faire attention de bien se baisser car la porte est petite. Et ce serait dommage de se faire assommer avant de monter !

Dans l’avion le pilote, m’a proposé d’être le copilote. C’est donc avec grand plaisir que j’ai accepté d’être copilote. Bien que j’étais déjà monté à bord d’un petit avion, cette fois j’étais copilote spectatrice, mais c’était un moment sympa. J’avais un petit casque qui me permettait de parler avec le pilote et d’être protégé du brouhaha de l’avion. Une fois suffisamment haut, j’ai quitté ma chère place de copilote, pour aller rejoindre Jean-Remi, mon instructeur. Il a alors accroché ces 4 harnais, à ma combinaison, et resserré mes sangles, puis c’était déjà le moment de sauter!

Pour moi le saut c’était vraiment le meilleur moment!

Le moment où on sort de l’avion, c’est bien moins sexy, que dans les films! Ce n’est pas l’immense porte arrière qui s’ouvre, mais une petite porte sur le côté de l’avion. C’est pourquoi au lieu de sauter dans le vide, il faut se mettre en « position caca »! On s’accroupit, et l’instructeur se met en positon crabe derrière, car la porte de l’avion est petite! Mais bon c’est fun pareil!

Une fois en chute libre les sensations sont dingues, mais trop courtes!

Au moment où on quitte l’avion, on se sent vraiment emporté, on ressent bien la vitesse de chute. Ça ne dure vraiment pas très longtemps, mais être en chute libre à près de 200 km/h c’est vraiment une sensation superbe! Une vraie décharge d’adrénaline!

Le passage de la chute libre au déploiement du parachute n’est pas le moment le plus agréable…

L’ouverture du parachute ralentit la chute d’un seul coup. Ça fait l’effet d’un gros coup de frein, surtout que comme c’est l’instructeur qui ouvre le parachute, on ne s’y attend pas ! Juste après l’ouverture du parachute on se remet tranquillement de nos émotions. On s’aperçoit qu’on a un peu mal aux oreilles et qu’on a les doigts tout froid (enfin pour ma part). Mais le plaisir était là pareil! L’instructeur était super cool, à l’écoute et de bons conseils; il m’a gentiment conseillé d’avaler plusieurs fois ma salive pour me déboucher le tout, ainsi que de souffler en me pinçant le nez… Ça peut paraître étrange, mais avec l’adrénaline on n’y pense pas forcément, on est juste heureux de vivre l’expérience ! Aussi mon instructeur ma directement desserrée les sangles, pour que je me sente plus à l’aise, pour la seconde partie de la descente !

Après ces petites formalités, on a pu reprendre un peu de vitesse, en tournant. Pour cela suffit de tirer sur les sangles du parachute, et c’est vraiment agréable. C’est cool, on peut gérer de quel coté on se dirige, car il y’a des poignées doubles. Du coup, moi je tirais, mais l’instructeur mettait plus de pression avec ces gros bras, c’était bien pratique, pour faire des petits loops. Un coup à gauche un coup à droite, ça tourbillonne dans les airs! Plus on tire, plus on tourbillonne, plus on va vite, plus c’est fun !

Encore une fois, mon instructeur a été parfait : il était très à l’écoute, entre deux vrilles, il a pris le temps de m’indiqué le paysage ainsi que la vue sur le Mont Tremblant.

On a sauté vers 19 h 30, au moment où le soleil se couchait, c’était sublime! Je pense qu’au lever et au coucher du soleil, c’est vraiment les meilleurs moments pour admirer le paysage! Enfin je vous dirais ça une fois que j’aurais testé toutes les heures de la journée!!

On avait un petit altimètre au poignet, qui nous permettait de voir l’altitude au fur etc mesure de notre descente. Lors de la chute libre, j’aurais été incapable de regarder l’altimètre tellement ça va vite ! Mais dans la deuxième partie de la descente, c’est vraiment plus relax, on admirer le paysage, jouer avec les sangles, et constater notre altitude, via l’altimètre!

À l’approche du sol, l’instructeur reprend les commandes, afin de gérer l’atterrissage. Avant d’approcher du sol, il m’a fait faire une petite vérification pour être sur, que je n’avais pas oublié les instructions, c’est-à-dire de lever, les jambes. L’atterrissage s’est fait tout en douceur! C’est top! Une fois au sol, on se sent tout léger. J’avais un large sourire niais bloqué sur les lèvres!!

Bref, sauter en parachute c’est une expérience à vivre que je recommande  !

Le moment le plus stressant pour moi?

Il n’y en a pas eu! Je m’attendais à avoir la chienne un peu, dans l’avion. En fait tout s’est passé à merveille. L’équipe était tellement de bonne humeur et ça passe tellement vite que je n’ai hélas même pas eu le temps d’avoir peur! En résumé, je suis ravie d’avoir sauter avec l’équipe de Parachute Adrénaline Saint Jérome car l’équipe était vraiment au top!

Pour ceux qui hésitent, car ça coute un certain prix, je vous conseille d’être à l’affut des offres sur internet. Par exemple, j’avais acheté un coupon sur Groupon pour l’anniversaire de mon copain. Et lui voulait sauter avec moi, donc il a décidé de copier mon idée de cadeau d’anniversaire pour qu’on saute ensemble! & C’était une très bonne idée! Lui a pu bénéficié d’un -20 % de réduction car on a sauter le jour de ma fête..

Alors n’hésitez plus, allez réaliser vos rêves, ne garder pas à vos projets fous dans un coin de votre tête!

Vous l’aurez sans doute compris… j’envisage déjà de retenter l’expérience, peut-être en France… ou ailleurs, mais vers un bord de mer!

Et vous? Avez-vous déjà fait l’expérience de sauter en parachute ? Comment s’est passé votre première fois? J’aimerais beaucoup vous lire à ce sujet.

La recherche d’un logement à Montréal

Location

Pour trouvez le logement de vos rêves, prenez le temps de bien parcourir la ville. Le premier conseil que je vous donnerais, est de cibler le quartier idéal pour vous par rapport à votre de mode de vie. Ainsi si vous avez des enfants, il sera préférable de trouver un quartier avec une école, afin de pouvoir vous rendre à l’école à pied. Si vous aimez, sortir régulièrement, le plateau sera sans doute, un endroit propice pour vous.

Bref, je vous invite à consulter l’article dans lequel je vous parle des différentes ambiances de la ville.

Si vous vous orientez vers la collocation, qui est une superbe expérience, assurez-vous de bien connaitre vos colocataires. Car lorsqu’on partage tout, c’est souvent quitte ou double. Heureusement, dans la plupart des cas, avec un peu de savoir-vivre, tout se déroule à merveille!

 

Enfin, pour dénicher la perle rare, vous avez plusieurs options.

Soit vous savez exactement le quartier dans lequel vous rechercher je vous conseille de l’arpenter à pied ou à vélo, de façon à repérer les pancartes «à louer»?

Si votre recherche est plus vaste consulter les sites d’annonces classées comme Kijiji, Craigslist, LesPAC, ou VitePouf.

Si vous avez des exigences très précises, vous pouvez aussi avoir recours à une agence immobilière, qui vous aidera dans vos recherches.

 

Précis lexical pour vous aider dans vos recherches

Dans vos recherche vous allez vite voir des indications telles que « 1 1⁄2 », « 2 1⁄2 », « 3 1⁄2 », etc.

En réalié, il s’agit du nombre de pièces de  l’appartement. Chaque pièce compte pour une pièce sauf la salle de bain qui elle compte pour une  demi-pièce.

 

La sous-location

Si vous demeurez seulement temporairement à Montréal, pour un séjour de quelques mois, pensez à la sous-location. Cette pratique est tout à fait légale au Québec. Elles sont très fréquentes sur les sites de petites annonces. Cependant, assurez-vous que le propriétaire en soit informé.

Le bail locatif

Le contrat de location, appelé bail, habituellement il démarre le 1er juillet et prend fin le 30 juin.

La période la plus propice pour chercher un logement est donc celle des mois qui précèdent cette date. En effet, à ce moment là de nombreux appartements sont remis sur le marché locatif.

N’hésitez pas à demander au locataire actuel lors de votre visite, la raison de lors déménagement, cela vous donnera une idée plus précise de ou est-ce que vous mettez les pieds.

Votre choix est fait, vous pensez avoir déniché l’appartement de vos rêves… il ne reste plus qu’à signer!

Vous allez devoir remplir un contrat qui définira votre les responsabilités respectives..

Le formulaire de bail mentionne les éléments ci-dessous;

❯ nom du ou des locataire(s) et du propriétaire;

❯ description du logement, ainsi que les éventuels meubles et/ou électroménagers inclus dans la location);

❯ durée du bail (durée fixe ou durée indéterminée);

❯ loyer : son montant, la date et le mode de son paiement (à la semaine ou au mois);

❯ services (travaux et réparations, service de conciergerie, autres services, taxes et coûts de consommation pour le chauffage, l’eau chaude, etc.) et conditions (règlements de l’immeuble);

❯ signatures de chacun .

Dans le bail vous devrez renseigner les coordonnées de vos anciens propriétaires. Cela permet à votre futur propriétaire de s assurer, que vous serez un bon locataire.

Quelques jours après le dépôt de votre dossier, vous aurez la réponse du proprio.

Enfin au Québec, il existe La Régie du logement.  Il s’agit d’un organisme super, qui défend souvent les droits des locataires, et qui saura vous informer sur toute question, ou situation insolite.

 

Enfin une dernière chose à savoir.

Au Québec, le propriétaire ne peut exiger de caution, la seule chose qu’il peut vous demandez lors de la signature du bail, c’est de déposer la somme du premier mois de loyer.

 

Bonne recherche !

Du surf sur le Saint-Laurent

Oui, je ne te niaise pas!

Oui, c’est possible de surfer à Montréal sur le Saint-Laurent!!

Qui pourrait imaginer qu’en face du vieux port de Montréal, on pouvait faire du surf ? Certes, l’eau est plus fraiche qu’en Australie, mais ici pas de requins !

Bon, alors tout d’abord, je m’excuse vis-à-vis des amateurs de palmiers et de sable chaud, car ce n’est pas à Montréal que vous serez servis. Cependant, pour les amateurs de surf, sachez que Montréal a plusieurs petits spots.

Comment ça du surf sur un fleuve ?

Bien sûr, il n’y a pas d’océan à Montréal, donc il s’agit de surf de rivière, ou plutôt du surf de fleuve, dans le cas de Montréal. Puis là, vous êtes sans doute déjà en train de penser de vagues dans un fleuve… N’importe quoi!

Et bien, certaines conditions sont nécessaires pour former une vague. Tout d’abord il faut un certain débit d’eau ainsi qu’un brusque changement du fond. À Montréal, derrière Habitat 67, se trouve un spot. Vous savez l’ensemble d’habitations avant-gardiste de l’architecte Moshe Safdie sur l’île Sainte-Hélène. Cette expérience urbaine est possible grâce à la vague permanente due à une fosse creusée durant les travaux de construction de l’île Notre-Dame pour Expo 67. Les conditions ont été crées artificiellement et accidentellement. En effet, les ouvriers manquaient de terre de remblai et une digue fut construite afin d’aller en chercher dans le fond du fleuve. Le trou creusé est à l’origine de cette fameuse vague.

Découvrez cette petite vidéo qui présente différents spots, en guise de mise en bouche!

 

Soyez prudent!!

Soyez prudent tout de même, car il s’agit de rapide, et le courant est important. De plus si l’accès n’est pas surveillé, il reste pas moins interdit. En effet, à l’entrée du parc de la Cité-du-Havre, il y a des pancartes qui stipulent : « Accès, baignade ou toute autre activité formellement interdite en tout temps ».

Les serres victoriennes, calme et sensualité

La rencontre du calme et sensualité

Enchâssées entre la bibliothèque municipale et le Victoria Hall,

Les serres victoriennes de Westmount sont un endroit sublime. Quand on pénètre sous les verrières, le temps semble s’arrêter. Sa toiture de verre et d’acier nous fait immédiatement replonger dans une autre époque. Il s’agit de l’époque victorienne.

C’est un lieu propice à la relaxation.

Les serres victoriennes sont également appelées la « Maison des Palmiers. »Cet authentique petit bijou d’architecture a été bâti en 1927.Au fil du temps, la “Maison des Palmiers” a subi diverses restaurations. Un vestibule a été ajouté et l’on a aménagé un bassin-étang dans la grande serre.

Le bâtiment accueille un petit jardin anglais du XIXe avec une superbe exposition florale composée, entre autres, d’orchidées et de jacinthes. On peut même y voir un bananier!

Quelques bancs et tables ont été installés pour permettre de prendre le temps de profiter de l’ambiance calme et reposante du clapotis de l’eau de la fontaine. J’aime la zénitude qui s’échappe des lieux. Ces serres font l’effet d’un havre de paix. On vient s’y ressourcer.

C’est aussi dans cette serre que l’on fait pousser les 8000 plantes qui vont être utilisées pour créer la gigantesque horloge florale située dans le parc Westmount juste à côté.

Accès à ce point bout de paradis :

On peut accéder à la serre par un passage depuis la bibliothèque. C’est  très pratique pour faire une pause nature entre deux lectures. Mais c’est aussi très agréable l’hiver quand il fait froid et que le sol est enneigé.

4574, rue Sherbrooke Ouest
• Métros : Atwater ou Vendôme