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La pollution microplastique des océans par les vêtements

sLe microplastique, une pollution invisible et sous-estimée

On appelle microplastique une particule de plastique qui mesure moins de 5 mm. Ces particules arrivent généralement dans les océans depuis les cours d’eau dans lesquels elles sont directement rejetées. Le problème de la prolifération des microplastiques dans les océans et les cours d’eau de la planète a été mis en lumière par un certain nombre d’études et de rapports alarmants au cours des dernières années. Aucun endroit sur Terre n’est vraiment épargné. D’après des prélèvements récents on retrouve même des microplastiques en Arctique.

Mais d’où viennent-ils et que pourrait-on faire pour réduire ou éliminer leur diffusion?

Selon une étude réalisée par l’Union internationale pour la conservation de la nature la principale source primaire de microplastiques retrouvée dans les océans provient des textiles synthétiques. Ces derniers libèrent de grandes quantités de fibres plastiques dans les eaux des lessives. Ils seraient ainsi à l’origine de plus d’un tiers des particules de plastique qui finissent leur course en mer.

Selon Greenpeace, laver en machine 6 kilos de ce linge libérerait quelques 500 000 micro-fibres de polyester et 700 000 d’acryliques.

On y pense moins souvent lorsqu’on évoque le plastique, mais les vêtements sont également fabriqués avec du plastique.

En effet, environ les deux tiers des vêtements que nous portons dans le monde sont fabriqués à partir de différentes formulations de plastique comme le polyester, le nylon et l’acrylique.

Les vêtements en matière synthétique constituent la première source de pollution des océans par le microplastique.

Ce triste constat de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN, 2017) nous rappelle que nous devons faire notre part pour contribuer à changer l’industrie textile

Vous demandez — vous comment pouvez-vous agir? Voici 5 façons d’aborder le problème des microplastiques liés aux vêtements.

  1.  Jetez un coup d’œil à vos étiquettes:

Plus d’un tiers des particules de microplastique présentes dans les mers proviennent de textiles synthétiques. Les textiles concernés sont par exemple les vestes en fibre polaire, les t-shirts et les serviettes de voyage en microfibres. Ces textiles sont légers et faciles à entretenir. De plus ils tiennent chauds.  C’est pourquoi on les retrouve également des les vêtements de sport et de plein air. Mais maintenant on en retrouve un peu partout. On en retrouve également dans les cotons mélangés des jeans, ou dans les bonnets en viscose. Bref, il y a souvent une part de fibres synthétiques ajoutées. Alors, pensez à bien regarder l’étiquette de composition d’un vêtement avant de l’acheter.

Et si possible favoriser l’utilisation de fibres naturelles.

  1. Utilisez votre voix pour interpeller les institutions.

Écrivez aux marques que vous aimez qui produisent des vêtements en plastique et demandez-leur ce qu’elles font pour lutter contre la pollution par les microfibres.

À l’autre bout de la chaîne de production de l’industrie du textile, on constate un notable immobilisme sur la question. Les tissus synthétiques sont un matériau bon marché et polyvalent. Ils ont aussi des propriétés pratiques et recherchées que les matières naturelles n’ont pas forcément. Les tissus synthétiques n’ont pas besoin de repassage, ils sont plus stretch. Bref, entre leurs propriétés et leur faible coût de plus en plus de vêtements contiennent des matières synthétiques. Ce phénomène encore amplifié par l’avènement des chaînes de magasins spécialisées dans la mode rapide à petits prix.

On notera aussi que les efforts de certaines marques pour travailler avec des matériaux recyclés. Mais les matériaux recyclés ne constituent pas une solution à part entière. En effet, ils ne sont guère utiles pour les microplastiques : un produit recyclé aura en effet tendance à libérer encore davantage de fibres dans l’environnement.

Une fois que vous avez rédigé un courriel pour vos fabricants de vêtements préférés, pourquoi ne pas écrire également au fabricant de votre machine à laver et à vos élus locaux, pour savoir ce qu’ils font pour lutter contre ce fléau.

Une autre partie du problème réside dans le fait que les stations de traitement d’eau ne parviennent à bloquer qu’environ la moitié des microplatisques.

Si l’interdiction des sacs plastiques, paille, coton-tige et autre plastique jetable sont un pas dans la bonne direction, il est important de s’atteler plus sérieusement au microplastique. D’autant plus que limiter leur propagation n’a rien d’une utopie.

En effet, les microbilles, qui se trouvaient autrefois dans les dentifrices et les nettoyants, ont été interdites par le gouvernement canadien en 2017, ainsi que par l’Union européenne en 2018. Nous avons éliminé les microbilles très facilement et très rapidement. Je pense qu’il existe également des solutions faciles pour limiter les microfibres de l’environnement, et cela pourrait être aussi simple que de développé un filtre adapté pour les machines à laver, ou que de meilleures techniques de lavage (par exemple avec moins de frottement).

  1. Une fois que vous avez conscience de quels sont vos vêtements en plastique, envisagez d’en prendre soin différemment : essayer lorsque cela est possible de laver moins fréquemment votre linge.

Et si possible également laisser tomber le sèche-linge. Le frottement des textiles synthétiques lors du lavage et du séchage est responsable des microplastiques primaires relargués dans les océans, causant des dommages encore mal connus sur la santé humaine et la qualité des écosystèmes.

Une étude australienne a montré que 1 personne sur 2 lave ses vêtements uniquement par habitude, non pas selon leur niveau de saleté. Pourtant, réduire la fréquence de lavage permet d’augmenter la durée de vie de nos vêtements, mais aussi de réduire les impacts environnementaux liés à leur entretien.

Alors au prochain lavage, posons-nous la question : ce chandail est-il vraiment sale?

  1. Acheter un sac anti-microplastique

L’utilisation d’un capteur de microfibres comme Coraball ou Guppybag dans votre lessive peut aider à réduire le nombre de microplastiques entrant dans le jet d’eau. Ces pochettes spéciales permettent de retenir près 90 % des fibres.

  1. Disposer de ces vêtements de façon responsable

Parce que les matières plastiques ne sont pas biodégradables, il est important de leur éviter l’enfouissement. Pour cela, pensez à les réparer, ou à de les donner, afin d’éviter de les envoyer dans les centres d’enfouissement.

Credit photo @ferncooke pour Fashion Revolution

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Comment remédier au “j’ai rien à me mettre” du matin ?

Même avec une penderie qui déborde, on peut geindre en toute conscience. « Bouh… j’ai rien à me mettre / je ne sais pas comment m’habiller aujourd’hui « . Si cette question vous retarde chaque matin et vous vous retrouvez au bureau avec 10 minutes de retard? L’abondance de choix auxquelles nous sont sommes confrontés nous compliquent la vie.

Pour en finir avec cette prise de tête matinale, « de je porte quoi ce matin ? » simplifiez votre garde robe.

Cette sensation d’avoir rien à se mettre arrive en fait particulièrement lorsqu’on a beaucoup de choix. Il y a quelques années choisir ma tenue me prenait toujours énormément de temps, et de réflexion. Depuis quelque temps que je m’intéresse au minimaliste.  Petit à petit, je simplifie ma garde-robe et mon intérieur. Je m’aperçois que ce problème est avant tout un problème de surconsommateurs.

D’ailleurs pour l’éviter de nombreux chefs d’entreprises qui d’ailleurs ont décidé de s’habiller avec un uniforme tous les jours de leur vie afin de la simplifier… Une solution qui peut paraître radicale, mais qui reste néanmoins efficace.

Car qui a le choix, a aussi les soucis.

Plus vous aurez de vêtements différents plus vous aurez de possibilités d’assemblage. Et donc plus la tâche vous prendra du temps.

Ainsi le fait d’éliminer régulièrement des vêtements de votre garde-robe – en identifiant ce vous mettez moins souvent grâce à la technique des cintres retournés donc je vous parle dans cet article- va-vous permettre au quotidien de récupérer du temps, et surtout d’arrêter de vous prendre la tête pour des choix de vêtements alambiqués.

Cette question de choix multiples s’applique dans la penderie, mais aussi dans de nombreuses sphères de la vie.

En effet, vous pouvez aussi comparer ça aux grandes surfaces vs aux petits commerces de quartier. Lorsqu’on va faire ses courses dans une grande surface, on n’y passe plus de temps d’une part, car les rayons et les étalages sont plus grands, mais également, car il y a plus de choix.

Plus de choix engendre aussi plus de comparaison de prix, de visuels marketing attrayant et donc plus de temps dépensé dans la boutique.

J’espère que cette courte réflexion par rapport à l’abondance de choix auxquelles nous sont sommes confrontés quotidiennement vous aideront à simplifier votre garde-robe et votre vie.

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Station Service, lance une plateforme de location de vêtements.

Vous savez sans doute, si vous me lisez régulièrement que j’aime encourager les achats responsables et locaux. D’ailleurs, j’ai une petite section du blogue qui y est consacrée.

Mais, au fait qu’est-ce que la mode responsable ?

La mode responsable, c’est une démarche globale, qui vise à produire des collections dans le respect des valeurs du développement durable. Cela signifie produire des vêtements dans des conditions de travail humaines, mais aussi utiliser des matières dont la production ne nuit pas à la planète, et enfin, de confectionner des vêtements de qualité. C’est dans cette optique-là, que je partage avec vous, mes designers et mes enseignes de mode préférées telles que Qéiko, Odelayo, ou encore de Vymoo.

Bref, aujourd’hui la changer notre façon de consommer la mode, est vraiment nécessaire.

En effet, le système de production et de consommation des vêtements actuel n’a aucun sens. Autrefois, on sortait deux collections par an, puis s’était amplement suffisant. Aujourd’hui les collections sortent chaque semaine. C’est ce que l’on appelle le « fast-fashion ». À l’image des fast-food, la mode est aujourd’hui vite produite, et vite consommée.

Mais ce système ne fonctionne guère plus. Il n’y a lire les nouvelles, ou à s’intéresser aux conditions de production des vêtements qui logent dans nos placards. Dans les pays ateliers de pays plus pauvres, les conditions de travail s’apparentent presque à de l’esclavagisme. Leurs travailleurs confectionnent des vêtements non-stop durant des heures, sans pause bien sûr. Ils perçoivent un salaire ridicule, qui leur permet à peine de vivre décemment. Et tout cela, dans le but de satisfaire nos 1001 coups de cœur du moment !

Alors, bien que je vous présente souvent des créateurs de mode, que j’apprécie et dont les vêtements sont fabriqués dans des conditions responsables, il n’y a que cette façon de faire. Il est aussi possible d’acheter en friperie. C’est dans cette optique-là, notamment que je vous avais parlé de la Gaillarde, une boutique friperie, qui présente de nombreux éco-designers. Et aujourd’hui, j’aimerais attirer votre attention sur la nouvelle plateforme appelée Station Service. À l’ère de l’économie sociale et du partage, ce type de plateforme se démocratise et c’est tant mieux!

« Station Service » est une plateforme de location de vêtements imaginée par Raphaëlle Bonin (et dont je vous avais déjà parlé ici) .

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Le principe de la boutique Station Service est assez simple : il s’agit de louer un vêtement plutôt que de l’acheter.

Cette solution est hyper avantageuse ! En effet, pour le constater, il n’y a qu’à ouvrir votre placard pour le constater ; Comptez combien de vêtements vous n’avez pas portés plus de 5 fois… Sans doute un paquet !

Et bien, d’une part, je vous invite à vous départir de tous les vêtements que vous avez identifiés comme tels.

D’autre part, je vous invite à identifier dans quelles circonstances vous les avez achetés.

  • Peut-être qu’il s’agit de vêtements achetés en ligne qui finalement étaient trop étroits, ou trop amples.
  • Il se peut également que ce soit des vêtements achetés en gros soldes, en friperies, dont le prix accrocheur vous a plus convaincu que le vêtement en lui même.
  • Il se peut aussi que ce soit, une tenue achetée pour une occasion spécifique. Souvent, lors des occasions spéciales, il arrive que l’on fasse de petites folies, comme par exemple dépenser plusieurs centaines de dollars pour une robe, pour un mariage, pour un bal de finissant, ou encore pour le temps des fêtes.

Bref, Station Service vous permet de louer vos vêtements plutôt que de les acheter.

Cela vous permettra d’éviter de dépenser d’importantes sommes d’argent pour des vêtements que vous ne porterez sans doute que quelques fois.

Station Service c’est donc une façon de consommer moins tout en restant ultra stylé !

Et pour vous le prouver Station Service a mis au défi la belle et talentueuse Noémie Lacerte a créé 2 looks, pour deux occasions spécifiques; challenge qu’elle a bien sûr relevé haut la main ! Puisque la particularité de Station Service de proposer de vêtements des créateurs locaux les plus cool .

D’ailleurs le fonctionnement de la boutique de Station Service est super facile :

Il suffit de ce rendre sur leur site Web ici.

Ensuite, il faut faire un choix parmi tous les vêtements stylés des designers.

Puis, il faut simplement ajouter les articles sélectionnés dans le panier.

Enfin, il ne reste plus qu’à choisir entre la livraison chez soi ou la cueillette à l’atelier.

Et puis, si tu n’apprécies pas magasiner en ligne, il est aussi possible de passer directement à leur atelier sur rendez-vous pour jeter un coup d’œil aux morceaux disponibles. Sur place, tu pourras faire une séance d’essayage.

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Station Service est donc une plateforme qui te permet de renouveler ta garde-robe sans te ruiner, sans encombrer tes placards, tout en encourageant les talentueux designers d’ici.

Crédits photo: Catherine Hébert (STRT Journal).

Faites durer vos vêtements plus longtemps!

Prendre soin de son linge pour le faire durer plus longtemps

La société TANGENT GC est basée à Stockholm. Elle est spécialisée dans les produits écologiques. Elle fabrique artisanalement des produits destinés au soin et au nettoyage de vos vêtements, vos chaussures ou pour votre peau.

Comment TANGENT GC est né ?

Fondée en 2012, cette entreprise suédoise a été inspirée par le grand-père du fondateur David Samuelsson. Il était ramoneur  de profession. Cependant, iI était particulièrement méticuleux envers sa garde-robe, ce qui lui conférait toujours une certaine élégance. Il possédait peu de vêtements, mais il en prenait soin et savait comment s’en occuper.

De nos jours cependant, alors que la qualité des textiles est souvent plus médiocre, les gens en prennent moins soin. Et lorsqu’un vêtement présente une tâche dont on ne parvient à s’en débarrasse ou des marques d’usures on s’en défait. C’est alors des quantités faramineuses de vêtements qui sont jetés chaque années au quatre coin du monde.

Pour remédier à cette tendance de l’achat à durée limité, dont on ne prend pas soin la firme TANGENT GC a mit au point des produits pour choyer ce qui nous entoure. La particularité de ces derniers, c’est qu’ils sont élaborés à base de produits naturels.

Nous l’ignorons mais bien souvent les détergents et les adoucisseurs de lessives sont composés d’agent très nocifs, pour nous, nos vêtements que pour l’environnement.

 

TANGENT GC a concocté une gamme complète pour entretenir votre garde-robe.

Du détergent délicat, à celui pour les affaires de sport , ou encore celui pour  le denim, en passant par l’adoucissant, la firme ne laisse rien au hasard. Par exemple, celui pour le lavage des jeans, a été formulé pour rincer soigneusement la graisse et la saleté recueillies par le denim. Ce nettoyant spécifique, a été élaboré de façon à nourrir les fibres, en préservant la couleur. Le nettoyant pour laver les textiles délicats contient des ingrédients tels que l’huile d’orange, le soja et le tournesol. C’est composants sont idéaux pour choyer les laines, les soies, les mohairs et les cachemires.

Retrouvez la gamme ici.

Au fils des années, l’entreprise à étendu leur gamme de produits afin d’inclure le soin des chaussures, ainsi que les soins de la peau, incluant des savons organiques.

Si on a particulièrement aimé ces produits, c’est d’une part grâce à leur éthique, mais d’autre part grâce à leur esthétique.

L’image de marque de l’entreprise à été confié à la firme de design Essen International. C’est une firme de design qui opère en Californie et en Suède. Elle a été chargée de rafraîchir leur identité précédemment lancée. Avec une agence de design suédoise et un client suédois, il n’est pas surprenant que la nouvelle identité soit propre et minimale.

Essen International a misé sur une typographie linéale, associée à une composition simple et efficace. Pour faciliter la lisibilité des produits, ils ont choisi l’Akkurat Mono. Cette typographie a été dessiner par le de­si­gner vi­suel Lau­renz Brun­ner. Il a été formé à l’Aca­dé­mie Riet­veld d’Am­ster­dam et au Cen­tral St Mar­tins Col­lege de Londres. L’Ak­ku­rat’ est une police de caractère sans empattements. Ce type de police est utilisée pour faciliter la lecture. Ainsi, l’information est directement perçue. L’identité visuelle est extrêmement simple. Elle est désencombrée de tout visuel superflu ou de tout détail graphique superficiel. Le blanc renforce le côté soin et propreté, tandis que la typographie facilite la lisibilité et met l’emphase sur les ingrédients nobles employés dedans.

Bref, on adore autant le fond que la forme, et vous? Que pensez-vous des produits TANGENTS GC?

N’hésitez pas à partager l’article et vos idées dans la section des commentaires ci-dessous !!

 

Plateforme de location de vêtements

Je vous présente Station Service, une plateforme de location de vêtements et accessoires de designers locaux qui arrivera à Montréal au printemps prochain! Cette initiative est un extraordinaire moyen pour louer son parfait outfit. Le mieux dans tout ça? Pas besoin de dépenser des sommes dispendieuses pour des vêtements qui finiront par dormir au fond de la garde-robe!

 

La fondatrice Raphaëlle Bonin a découvert dans le cadre de ses recherches aux HEC « que 66 000 tonnes de vêtements étaient enfouies chaque année, et ce, seulement au Québec! L’industrie de la mode est la 2e plus polluante après l’industrie alimentaire… C’est vraiment l’élément déclencheur qui m’a motivé à créer Station Service ».

 

Dans cette une boutique en ligne, on propose donc des vêtements et d’accessoires de designers locaux, à la location.

Cela permet, à la fois de pouvoir s’offrir de jolies pièces tendance. C’est aussi un avantage pour les designers, qui ont parfois du mal à écouler leur production. Cela leur donne aussi plus de visibilité aux designers.

Ce concept est innovant, et bon pour l’environnement. La location permet de réduire le nombre d’achats de vêtements. Cette diminution permet de diminuer l’impact des fashionistas. Cela permet aussi aux utilisateurs d’accéder à des produits de qualité, pour des frais moindres.

Comment ça fonctionne?

Exactement de la même façon que lorsque vous magasinez en ligne! Il vous suffit de choisir ce qu’il vous plait, et/ou ce dont vous avez besoin, de les mettre dans votre panier, de régler. Puis le site s’occupe de vous livrer, à l’endroit de votre choix.

Station Service vous permettra de renouveler aussi souvent que vous le souhaiter votre dressing!

Vous voulez encourager le projet?

Alors, il reste encore 7 jours pour le faire. Rendez-vous sur la plateforme Ulule pour appuyer le sociofinancement du projet! Par ici.

Enfin, pour en savoir un petit peu plus, c’est par !