Ce mois-ci je vous propose de pimper vos affaires avec des pompons – glands !
Plus facile et rapide à faire que les pompons traditionnel, nous allons voir comment s’en servir pour customiser vos draps de bain, vos serviettes ou même transformer vos torchons tristou en un accessoire chic et tendance !
Pour ce DIY pompons - glands, il vous faudra :
une pelote de laine ou du coton
une serviette ou un torchon …
une grosse aiguille
une paire de ciseaux
Nous allons commencer par la création des pompons
Étape 1 :
Créez un petit tas de laine composé de brins de 12-15 cm de long
Étape 2 :
Coupez un nouveau brin et placez-le au centre du tas de laine précédemment créé
Faire un double noeud avec.
Étape 3 :
Coupez un autre brin et placez-le sur le haut du futur pompon : on va créer la tête du gland…
Faire un double nœud avec.
Étape 4 :
Égalisez le pompon en coupant bien droit les brins !
Répétez plusieurs fois l’opération pour créer autant de pompons – glands souhaités évidement.
Étape 5 :
Nous allons maintenant coudre les glands à la serviette !
Donc il faut faire passer le long brin sortant de la tête du pompon dans l’aiguille.
Puis traverser le tissu à l’aide de l’aiguille à l’endroit voulu et faire un double nœud.
Vous pouvez jouer avec des pompons de couleurs différentes ou encore jouer avec l’accumulation.
Étape 6 :
Ici je ne me suis pas arrêtée au pompon; j’ai aussi cousu rapidement un motif sur les bords. A l’aide d’un fil (le même que pour les glands) et de la grosse aiguille vous n’avez qu’à traverser le tissu d’un côté à l’autre et finir par un nœud.
Voilà comment pimper facilement des accessoires à l’aide de pelotes de laine. Très sympa aussi en porte clés, ou sur un sac, panier, boucle d’oreilles …
À l’heure où le sac plastique se retrouve enfin banni des commerces, il nous faut trouver des alternatives pour que nous puissions embarquer nos courses, nos petites affaires et bien plus. Le tote bag, par son prix modique, sa légèreté et sa simplicité, a tout pour s’accrocher à de plus en plus d’épaules. Mais, ce dernier, trop souvent publicitaire, parfois un peu terne n’est pas forcément l’accessoire qui égaiera votre tenue. Si vous voulez apporter un peu de fantaisie à votre sac de coton beige ce tutoriel est pour vous !
Pour ce do it yourself je vous propose de customiser un tote bag standard : on va le pimper avec un tissu fun : à paillette, rigide, cuivré, en cuir, en liège … soyons fous 🙂 Le tissu fun viendra habiller le fond du sac (l’extérieur bien sur).
Pour ce DIY spécial Tote Bag, il vous faudra :
un tote bag vierge (ici le prix est imbattable, prenez-en plusieurs !)
du tissu épais (skaï, liège, cuir.. )
une machine à coudre, des épingles, du fil
une paire de ciseaux, une règle, crayon à papier, fer à repasser.
Étape 1 :
Tracer un rectangle de la largeur d’un tote bag + 3 cm par la hauteur que vous voulez que votre tissu prenne sur votre tote bag x 2
Le tissu coloré sera plié en deux dans le sens de sa longueur pour créer le fond du tote bag.
Donc pour ma part j’ai tracé un rectangle de 30 cm X 41 cm
Étape 2 :
Découper le rectangle, les bords doivent-être bien nets parce qu’on ne fera pas de coutures.
-> Pour ce tutoriel, il est mieux d’avoir un tissu épais style skaï ou liège ou encore du cuir : qui ne s’effiloche pas et qui donc ne demande pas de coudre un revers. Mais si jamais vous voulez faire ça avec un tissu « normal » il faudra coudre auparavant votre rebord ou au moins le coller légèrement sur lui-même.
Étape 3 :
Plier votre rectangle en deux et repasser-le pour marquer le pli (qui correspondra au fond du tote bag) Si vous avez un tissu comme du liège ou du skaï pensez à utiliser un tissu entre votre fer à repasser et le fond du sac, histoire de ne pas le brûler. Et attention certains tissus ne peuvent se repasser …
Étape 4 :
Poser votre tote bag sur votre futur fond de sac et tracer un trait représentant sa largeur. On va coudre par la suite ces deux traits.
Étape 5 :
plier le fond en deux : face contre face. Épinglez-le, le long des traits précédemment tracés
Étape 6 :
À l’aide d’une machine à coudre… coudre le long des traits !
Étape 7 :
Retourner votre pièce et marquer les plis à l’aide d’un fer à repasser (pensez à protéger votre tissu si besoin)
Voilà votre pièce en tissu est prête à être cousue sur un tote bag !
Étape 8 :
Enfiler le fond du sac sur le tote bag et épinglez-les deux ensemble.
Attention à ne pas épingler les quatre épaisseurs ensemble mais bien les deux épaisseurs du recto (face du tote bag + face du fond de sac coloré) et les deux épaisseurs du verso (dos du tote bag + dos du fond de sac coloré)
Pour vous faciliter le passage à la machine à coudre, je vous conseille de roulotter le haut du sac.
Étape 9 :
Alors voici l’étape qui nécessite le plus d’attention mais je vous rassure c’est assez simple tout de même. Et après, c’est fini !
Il va donc falloir coudre le fond du sac sur le tote bag. Pour vous faciliter la tâche, il vous faudra enlever la partie basse de votre machine à coudre (c’est souvent prévu pour) : ainsi vous allez pouvoir enfiler le tote bag sur la machine, cf photo.
Maintenant il faut simplement faire une couture le long du tissu coloré sur tout le tour du sac.
Faites ça avec un fil de la même couleur que votre tissu évidement, moi j’ai pris un fil noir pour le rendre visible sur les photos 🙂
Et voila ! C’est assez simple et rapide ! J’espère voir vos créations !
Vous mangez au boulot ou en extérieur vos propres petits plats ou vous apportez un petit en-cas avec vous ? Grâce à ce nouveau tutoriel voici une jolie façon de transporter tout cela.
Je vous propose de réaliser un lunch bag à base de tissu liège !
Contrairement au lunch bag en papier, celui-ci pourra résister à pas mal d’épreuves, en plus d’être tendance !
Ce n’est pas sans rappeler l’utilisation du liège dans la collection Sinnerlig sortie il y a quelques mois chez IKEA.
J’ai trouvé ce tissu dans un magasin de tissus mais on le trouve aussi sur différentes boutiques en ligne ! Il est composé de liège véritable collé sur une toile. Il y en a plusieurs sortes : standard clair et foncé, avec des copeaux colorés, avec des détails dorés, … Et pour tout vous dire j’ai d’abord cru qu’il était fragile mais en fait pas du tout ! J’ai essayé de le déchirer, de le tordre, de le tremper longtemps dans l’eau, de décoller le liège de sa toile : aucun souci vous pouvez y aller 😉
Pour ce DIY lunch bag en liège, il vous faudra :
du tissu liège (dispo ici par exemple) ou un autre tissu de votre choix
une machine à coudre
une paire de ciseaux
un crayon
une règle
Étape 1 :
Tracez deux rectangles de 32 cm par 37 cm à l’aide d’un crayon ou d’un feutre (s’il ne traverse pas votre tissu) : le trait orange épais sur le schéma.
Autour de ces deux rectangles tracez un contour d’environ 1,5 cm : en bleu sur le schéma
Je vous explique les mesures : mon lunch bag final fera 32 cm de hauteur, 22 cm de largeur et son épaisseur sera de 10cm.
C’est pourquoi on inclut 5 cm de chaque coté des rectangles pour l’épaisseur finale : en orange clair sur le schéma
Étape 2 :
Découpez vos deux rectangles de tissu liège.
Étape 3 :
Repliez sur eux-mêmes un des bords les plus courts de chaque rectangle et épinglez-les. Cela correspondra au bord de l’ouverture du lunch bag.
Étape 4 :
Coudre les deux bords sur eux-mêmes à la machine.
Il faudra être assez précis pour faire une couture assez près du bord (quelques millimètres).
-> Si vous pensez avoir un peu de mal vous pouvez lors de l’étape 2 replier vos bords sur 2cm au lieu d’un cm histoire d’avoir plus de marge de manoeuvre.
Étape 5 :
Superposer vos deux rectangles de tissus endroit contre endroit. Les épingler ensemble pour qu’ils ne bougent pas pendant la couture.
Étape 6 :
Coudre les deux rectangles de liège ensemble. Pour cela il faudra passer avec votre machine au niveau des traits tracés lors de l’étape 1 (les 3 côtés restants du rectangle)
Étape 7 :
Maintenant vous devriez avoir un petit sac plat ! Mais il manque l’épaisseur que nous allons créer 🙂
Pour cela : plier le sac en deux, puis replier les coins du bas de la même manière que sur la photo
Il va falloir tracer les deux traits noirs du schéma : prenez une règle et mesurez 5 cm comme sur le dessin, puis tracez le trait
Étape 8 :
Coudre les deux traits précédemment tracés sur les coins.
Étape 9 :
Retournez votre lunch bag ! Et voilà ! Prêt à être utiliser 🙂
Vous voulez fermer votre lunch bag ? Une pince à linge peut faire l’affaire, ou encore un petit aimant posé à la fin
Allez n’hésitez pas à vous lancer ! En plus d’être pratique, vous allez pouvoir épater vos collègues à la pause déjeuner avec votre création 😉
Repenser le vêtement et même l’industrie textile avec la découpe laser
Au cours des dernières décennies, on a cessé d’augmenter la quantité des vêtements produits, mais souvent au détriment de la qualité. De plus, cette tendance n’est pas sans conséquence pour l’environnement et les gens qui travaillent au sein de ce secteur. C’est en partant de ces constats, que le collectif Post-Couture a souhaité imaginer une alternative au système de l’industrie actuelle de la mode.Ce jeune collectif néerlandais a pour ambition de modifier la façon de distribuer, consommer et produire la mode. Comment? L’idée c’est simplement de se servir de la découpe laser. Déjà présente dans l’industrie textile, cette technique permet de découper de nombreuses pièces de vêtements en même temps. Alors, pourquoi ne pas adapter la mode à cette technologie? Et bien c’est le pari du collectif qui a dessiné des vêtements sans couture. Il propose une collection numérique innovante.
La collection ONE | OFF:
La première collection du collectif Post-Couture se compose de six pièces. Elles ont été conçues par Martjin van Strien. Cette ligne de vêtement un peu particulière se présente sous forme de patronage digital. Mais la nouveauté c’est que chaque patron est téléchargeable. Les utilisateurs sont ainsi placés au cœur du processus, car chaque modèle a été pensé afin que n’importe qu’elle personne, puisse assurer la production du vêtement lui-même .
Le design des pièces :
La collection est composée de pièces aux coupes futuristes. Elles traduisent la fascination de Martjin van Strien pour l’architecture, et la science. Ces pièces aux allures parfois minimalistes sont découpées dans un matériau fabriqué à partir de bouteilles de plastique recyclées. Ce matériau high-tech est assez rigide. De plus, il a une bonne tenue, ce qui permet aux vêtements de ne pas se défaire.
Une mode téléchargeable… et après comment ça se passe?
Le principe est ultra simple : pas besoin d’être designer ni d’être couturier. Il suffit de sélectionner le modèle de votre choix sur le site du collectif The Post-Couture. Sur le site, vous renseignez vos mensurations, puis une fois la commande passée vous recevrez le patron dans votre boite courriel… Ensuite le producteur c’est vous!!
Combien ça coute?
Le fichier téléchargé est un fichier au format illustrator (un logiciel vectoriel). Pour Martjin van Strien, si les gens ont recours actuellement au fast-fashion, c’est aussi grâce aux prix attractifs, peu élevés qu’elle propose. C’est pourquoi il a souhaité que son projet soit accessible. Le téléchargement d’un patron coûte 5 euros, soit environ 7 $. Par ce prix abordable, il instaure une nouvelle alternative.
Do it!!!
Dans ce processus de production inversé, c’est vous qui êtes au cœur du projet! Votre rôle est central. Vous devez choisir la matière et de la couleur qui vous convient pour réaliser votre vêtement. Ainsi, si vous souhaitez recycler une vieille robe liberty, dont vous adorez le motif, mais dont la coupe ne vous plait plus, et bien c’est possible!!
Après le choix du patron et du tissu, vous devez vous rendre dans un fablab afin de procéder à la découpe. Puis, une fois les morceaux découpés, c’est à vous de les assembler!! Inquiétez-vous pas, il y a des vidéos explicatives (sur le site du collectif). Vous n’aurez qu’à vous laisser guider.
L’avantage de cette technique, ce n’est que nul besoin d’avoir des connaissances en couture, pour réaliser un tee-shirt. C’est malade non? Pour Martjin van Strien, le fait d’intégrer les gens dans le processus de création de leurs vêtements, permet de créer des produits beaucoup plus attractifs, que ceux proposés par l’industrie de masse. De plus, si vous choisissez de vous faire une garde robe 100 % Post Couture, vous pourrez jouer avec les assemblages et reconfigurer vos vêtements! Bref, en fait c’est un jeu de construction, comme des legos!
Le coté innovant du projet Post-Couture
Cette façon innovante de produire des vêtements demande un fort engagement de la part de l’utilisateur. En effet, cette nouvelle façon de faire, et de produire, renverse le processus habituel, et le consommateur devient un acteur. De surcroit, cette expérience unique permet une personnalisation ultime que l’industrie actuelle ne permet pas. Au cours du processus, l’utilisateur s’implique et cela confère une valeur ajoutée aux vêtements. Enfin, l’utilisateur portera un habit unique dont il sera faire. Le vêtement produit sera unique et révèlera son identité.
De plus, ce principe a d’autres avantages, il est éco-responsable. En effet, les dessins sont partagés numériquement et fabriqués localement et à la demande. Le fait de produire à la demande constitue un autre avantage de taille. Il n’y aucun stock à gérer. Le fait d’être découpé et assemblé de façon locale, entraine une réduction de la pollution et les coûts de transport habituels.
Enfin, le dernier point positif, est celui de l’éthique. Ce mode de production, n’exploite pas des ouvriers dans des conditions lamentables.
Bref, je vois en ce projet une porte de secours pour l’industrie textile. Vous l’aurez compris, à mes yeux le projet du collectif est prometteur. Il mêle design futuriste, « Do it Yourself » et technologie… J’ai hâte de découvrir les prochaines collections.
Il s’agit d’une boutique en ligne qui propose des vêtements, et des accessoires choisis avec soin pour leur style et pour leur fabrication respectueuse de la main d’œuvre. QÉiKO collabore avec des designers afin de proposer des produits écoresponsables et épurés.
Sur la boutique en ligne, on peut y trouver des vêtements, des accessoires et des bijoux.
Les vêtements ont des coupes intemporelles ainsi que des couleurs sobres, facile à porter. Mais mon gros coup de cœur, c’est pour les bijoux. Je vais vous faire une confidence, d’habitude les bijoux j’aime ça, mais surtout pour les autres. Et pour cause, je possède peu et j’en porte peu, et à l’heure actuelle je ne me suis encore jamais fait percer les oreilles. J’aime les bijoux discrets, minimalistes et intemporels. Je n’ai jamais sauté le pas. Car je n’ai, jusqu’à lors, jamais eu de véritable coup de cœur, au point que je me dise, wouah ce bijou est si sublime que je le veuille sur moi! Mais, les petites boucles d’oreilles proposées par Qéiko pourraient bien me faire changer d’avis. Elles sont à la fois discrètes et élégantes, bref tout ce que j’aime.
Mon petit coup de cœur ce sont les boucles Barres carrées. Le mieux dans tout cela, c’est que les prix restent abordables.
Et vous? Que pensez-vous de ces collections élégantes?
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Fonctionnel Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’utilisateur.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques.Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.