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Éviter le surbooking lorsqu’on prend l’avion

La surréservation est désormais une pratique généralisée auprès des compagnies aériennes. C’est une réalité du marché. C’est pourquoi il faut donc s’attendre, à parfois, se voir refuser l’embarquement à bord de notre vol d’avion.

Voici quelques trucs pour réduire tes chances de faire partie de la liste des loosers qui ne pourront pas embarquer à bord de l’avion.

Tout d’abord c’est quoi le surbooking ?

L’overbooking ou le surbooking a lieu quand les compagnies aériennes vendent plus de billets qu’il n’y a de places dans l’avion.

Le risque avec cette technique c’est évidemment que certains passagers se voient refuser l’embarquement, faute de place. En cas de surréservation de l’avion, certaines personnes se retrouvent aléatoirement contraintes à rester à quai bien qu’elles avaient réservé leurs billets d’avion en bonne et due forme.

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Pourquoi les compagnies s’obtiennent-elles à ventre plus de billets qu’il n’y a de place dans l’avion?

C’est stratégique ! Constamment au fil du temps qu’il y avait un nombre important de personnes ne se présentaient pas à l’embarquement (jusqu’à 25 %) et pour lutter contre ces désaffections de dernière minute, les compagnies aériennes ont mis en place une méthode qui impacte plus de 250 000 passagers aériens chaque année : elles vendent plus de place qu’il n’y en a de disponibles dans l’avion.

De cette façon, la compagnie aérienne est sûre de vendre 100 % des places et donc de rentabiliser au mieux le vol. Seulement voilà : parfois, le nombre d’annulations n’est pas suffisant et la compagnie se retrouve avec trop de passagers à bord. Il y a surréservation.

Pour contrer les nombreuses annulations de dernières minutes, les compagnies aériennes vendent 5 à 10 % de plus de sièges que la capacité réelle de l’avion. Alors, des fois, ya juste trop de monde et pas assez de places dans l’avion.

Oui, le surbooking est légal !

Premièrement, il faut savoir que le surbooking (ou surréservation) n’est pas illégale et qu’une compagnie aérienne peut, en tout temps, vous refuser l’embarquement à bord de son appareil.

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Mettre toute ces chances de son coté pour éviter le surbooking

#1 Arriver en avance :

Respecte les temps recommandés par la compagnie. En général 3 heures avant le décollage.

#2 Réserver ton siège à l’avance :

Réserve ton siège au moment de l’achat. Ou 48 à 72 heures à avant le départ, il est possible de choisir son siège dans l’appareil sur le site de la compagnie aérienne.

#3  Éviter les vols avec escales

Éviter les vols avec escales, car plus de vols signifie plus de probabilités de faire partie des victimes du surbooking.

#4 Devenir membre du programme VIP

Faire partie du club des voyageurs privilégié de la compagnie aérienne. Si tu as la carte magique, ils seront sans doute plus gênés de te choisir…

#5 Éviter les périodes de pointe

Les vols d’avion le 23 décembre et le lundi matin sont probablement à éviter.

#6 Éviter les derniers vols de la journée

: tous les « bumpés » seront déportés sur les vols plus tard dans la journée, si bien que les derniers vols pourraient être surbookés à cause des victimes de la surréservation.

#7  Bien choisir ta compagnie aérienne

Certaines sont tristement réputées pour abuser de cette pratique.

Mais à l’inverse, certaines ont des politique qui t’offriront un meilleur dédommagement, en cas de refus d’embarquement.

#8 Prendre un billet en première classe ou classe affaires

Si tes finances te le permette : voyage en classe affaire :  les surréservations sont beaucoup plus rares en première classe.

BONUS : Faire des bébés

Les femmes enceintes, les personnes à mobilité réduite ou accompagnée de jeunes enfants sont prioritaires pour l’embarquement.

 

Pour ce qui est du surbooking, la compagnie a l’obligation de te proposer 2 solutions :

• l’annulation de ton voyage (tu renonces à ton départ) moyennant le remboursement intégral de ton billet + un dédommagement.

• un siège sur le vol suivant, avec dédommagements et prise en charge de tous tes frais (nuit d’hôtel, repas, appel téléphonique…).

Bon voyage ! Enfin, si tu parviens à décoller ! 😉

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Est-ce cette situation t’es déjà arrivé ? Si oui raconte-moi dans les commentaires !

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Uber présente son service de taxi volant

Uber, on aime ou on le déteste…

Mais nul ne peut nier que cet outsider a complètement révolutionné l’industrie du taxi. Après avoir conquis les routes, Uber ne compte pas s’arrêter là. En effet, Uber rêve de « voitures » volantes afin de desservir toujours au mieux ses clients.

Voyager dans les airs, un rêve qui deviendra bientôt réalité ! 

Voyager dans les airs cela permet d’une part d’éviter le trafic, mais également de voler sans faire de détour…Finis les sans-interdits, et les voies à sens unique. Finis les ponts, les montagnes et tout les obstacles qui rallongent nos temps de transport.

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L’aviation pour améliorer la mobilité urbaine :

Le temps passé chaque jour dans les transports, est souvent perçu comme du temps de perdu. Dans nos vies surchargées où nos emplois du temps débordent, le temps, c’est précieux.

En effet, moins on passe de temps dans les transports, plus on a de temps libre. Et que ce soit pour dormir une heure de plus, ou pour passer plus de temps avec sa famille, on en rêve tous!

Alors pour ce faire Jeff Holden, le responsable du développement de produits d’Uber, a annoncé qu’il travaillait sur le lancement d’un projet de voiture volante sans chauffeur. « Les voitures volantes nous sont promises depuis des décennies, elles vont bientôt arriver », a-t-il déclaré.

Pour piloter le projet « Uber Elevate », le patron d’Uber, Travis Kalanick, a embauché en février dernier Mark Moore. Cet ingénieur aéronautique a travaillé pour la NASA, et il est aussi l’auteur d’un ouvrage de référence sur la technologie VTOL.

Le système de décollage et d’atterrissage verticaux (VTOL):

Afin de rendre cela possible le groupe s’intéresse aux systèmes à décollage vertical VTOL (Vertical TakeOff and Landing). Un concept connu en français sous l’acronyme d’ADAV (aéronef à décollage et atterrissage verticaux). L’avantage de l’ADAV, c’est qu’il combine la souplesse de l’hélicoptère pour le décollage et l’atterrissage, mais en bénéficiant des ailes de l’avion qui lui permettent de voler plus silencieusement.

Alors, d’ici quelques années, verra-t-on ces aéronefs survoler le ciel de nos villes?

Les appareils VTOL Uber pourraient décoller et atterrir sur des points spécifiques dans les agglomérations. On parle déjà de réquisitionner les toit des immeubles. Il a été proposé que des tours et plus généralement que les toits soient réutilisés pour faire office des garages de stationnement, ou d’héliports. Ils serviraient également de stations d’accueil pour recharger les batteries des véhicules électriques.

Pour installer ces « vétiports » sur les toits des immeubles, les promoteurs immobiliers sont déjà sur le coup.

Même s’il faudra investir un peu pour convertir les toits des immeubles en vétiports, Uber rétorque que les avantages en termes de coûts seraient intéressants. En effet, pour circuler dans les airs, pas besoin d’entretenir  les routes, les chemins de fer, les ponts et les tunnels.

Enfin, ce type de véhicule futuriste pourra survoler 80 km en 15 minutes. Un record en ville, mais auparavant il va falloir obtenir l’autorisation de voler.
Et il va aussi falloir travailler sur les batteries du véhicule, car pour l’instant leur capacité est insuffisante pour pouvoir couvrir les grandes distances.

Et vous que pensez-vous de la future mise en service de ces véhicules ?

Découvrez la ville qui autorise déjà la circulation de taxi-drôle autonome ici !

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Bientôt des taxis volants à Dubaï ?

Il se pourrait bien que, dans un avenir proche que les livraisons par drone ou même les taxis volants fassent partie intégrante de notre vie quotidienne.

En effet, la ville de Dubaï aux Émirats arabes unis compte mettre en service, dès à présent le premier service de transport autonome par drone.

Et oui, aussi futuriste et irréel qu’il n’y paraisse, c’est bel et bien, le nouveau projet malade de la ville de Dubaï.

Un service de taxi aérien et sans chauffeur :

Ce projet incroyable devrait être disponible dès cet été. Dubaï va ainsi devenir la première ville du monde, à proposer un réseau de transport basé sur des drones monopassagers.

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Pour se faire, elle s’est associée avec le fabricant chinois Ehang :

Afin de rendre tout cela possible et concret, en février dernier des tests de vols ont étés effectués avec succès. Suite à cela, le président des autorités des routes et transport de l’Émirat a annoncé qu’il n’y aurait aucun problème lors de l’apparition de taxis volants. De plus, le pays aux mille folies compte bien se démarquer sur la scène internationale grâce à ce service de transport intelligent. En effet, le pays compte faire de Dubaï la ville « la plus intelligente du monde »! Ils estimeraient même que d’ici 2030, 1/4 des déplacements se feraient par des moyens de transport autonomes.

Des drones-taxis une petite révolution :

Ce service de taxi est inspiré des drones. Le drone taxi qui volera au dessus de Dubaï est de conception chinoise. C’est le fabricant de drones chinois EHang qui a conçu ce véhicule appelé EHang 184. Ce véhicule est capable de transporter un passager ainsi qu’un petit bagage de façon complètement autonome est automatisé.

Le véhicule ne demande aucune connaissance de pilotage :

Avec cet engin le client à la juste à monter à bord puis à indiquer sa destination à l’aide d’une tablette tactile. Le véhicule est entièrement piloté de façon informatique. Mais pour des mesures de sécurité, évidemment les vols seront suivis et supervisés à distance, par un centre de contrôle. Les communications entre le centre de contrôle et le drone taxi ne se feront pas liaison cellulaire 4 G.

Des taxis aériens, pour des vols à basse altitude :

Le drone taxi se déplace rapidement mais uniquement à de basses altitudes.

C’est un véhicule intégralement électrique. En effet, le véhicule aérien est équipé de huit moteurs électriques montés par paire. Pour recharger l’appareil, il faudra près de deux heures. Cela lui permet d’avoir une autonomie d’environ 30 minutes.
Côté vitesse ce petit drone taxi permet de rouler jusqu’à environ 100 km heures. La distance maximale par cet engin serait d’environ 50 km. L’engin pèse près de 250 kg et le poids maximal par passager est de 360 kg.

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Si la circulation aérienne, permet d’éviter les bouchons, coté sécurité elle ne devrait pas poser de problème… En revanche les phases de décollage et d’atterrissage restent celles qui sont les plus risquées, comme c’est également le cas à bord d’un avion classique…

Toutefois, aussi fascinante soit-elle, l’idée soulève encore quelques doutes :

Outre les obstacles techniques, (qui avaient entravée la réputation des voitures autonomes de Tesla), la mise en place de ce type d’engins nécessite d’adapter les réglementations aériennes.

Cependant en cas de succès, de la démonstration menée à Dubaï, ce type de véhicule pourrait jouer un rôle d’accélérateur dans le développement de ce mode de transport. Ainsi, ce type de service ne devrait pas tarder à affluer un petit un peu partout au-dessus de nos têtes.

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De nouvelles nuisances sonores à prévoir?

Et vous, êtes-vous plutôt enthousiastes ou réfractaires?