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Au revoir, ma vingtaine !

Un chapitre qui se ferme

Le rideau se ferme sur cette période mouvementée, cette décennie où l’on s’émancipe, où l’on apprend à voler de ses propres ailes. Adieu, la vingtaine, avec ses découvertes, ses épreuves, et surtout ses souvenirs mémorables. Durant ces années riches en expériences, j’ai vu le monde s’élargir devant moi.

Explorer l’inconnu : voyager et grandir tout au long de ma vingtaine

J’ai tracé des chemins sur des cartes, exploré des contrées lointaines. Les voyages m’ont enseigné que le monde est à la fois vaste et infiniment fragile. J’ai parcouru des noms de rues inconnues, goûté à des saveurs nouvelles, et laissé des morceaux de mon cœur dans beaucoup endroits bien trop éloignés.

Les horizons lointains : vivre à l’étranger à des centaines de milliers de kilomètres

Parmi les multiples facettes de ma vingtaine, il y a eu l’aventure audacieuse de vivre à l’étranger, à des centaines de milliers de kilomètres de chez moi. Dans un nouvel endroit qui est devenu mon chez moi. Cette expérience m’a offert un nouveau regard sur le monde et une profonde compréhension de la diversité culturelle. Les défis de l’adaptation m’ont poussé à devenir encore plus résiliente.

L’art de la solitude : vivre seule et se trouver

J’ai appris à vivre seule, à être ma propre compagnie. Les murs de mon chez-moi qui ont beaucoup changé durant cette décennie sont devenus mes piliers et mes alliés. En effet, durant ces dix dernières années, ma vie a été marquée par un véritable tourbillon de découvertes et de changements, symbolisé par un record de déménagements qui, je l’espère, restera inégalé. Oui j’ai déménagé dix fois en dix ans. Oui, j’ai déjà dit pleins de fois, que je cesserais de re-déménager.

Chaque déménagement a bien sur apporté son lot d’aventures, mais lorsque je regarde en arrière, je réalise que ce marathon de déménagements a façonné ma capacité d’adaptation, a renforcé ma capacité à me ré-inventer et à affronter tout ce que la vie peut me réserver.

À deux & en avant

Parmi tout ces déménagements, il y a eu celui pour aller vivre avec mon amoureux. Eh oui, au détour d’une rencontre fortuite, j’ai croisé une âme qui résonnait avec la mienne. Presque huit années se sont écoulées depuis, et notre voyage à deux continue. Ensemble, nous avons affronté de multiples défis, on a aussi célébré une multitude de réussites, et nous avons surtout construit un refuge d’amour.

Naviguer le monde du travail durant ma vingtaine

Durant ma vingtaine le monde du travail s’est aussi ouvert à moi. Ainsi j’ai exploré une variété assez impressionnante d’emplois.

Tantôt j’ai été gardienne d’enfants. J’ai aussi enfilé l’uniforme de serveuse, jonglant avec les demandes des clients et développant des compétences en communication. Mon parcours m’a également conduit à travailler en tant qu’infographiste, où la créativité et la précision étaient essentielles pour donner vie aux idées visuelles. J’ai aussi exploré l’univers exaltant de l’organisation d’événements de relations publiques, où j’ai appris à jongler avec les détails tout en maintenant une vision d’ensemble. Réaliser la communication visuelle pour une designer de mode pour la Fashion Week m’a permis de m’ immerger dans le glamour et la minutie de ce domaine créatif.

Mais il n’y a pas eu que des moments cool et sophistiqués : j’ai également été vendeuse de jeans dans une grande enseigne. Mais aussi j’ai été en charge des envois et retours de livres, un emploi répétitif voir mécanique. En tant qu’immigrée, j’ai débuté au bas de l’échelle, et cela m’a offert une perspective sur la valeur du travail et à façonner ma trajectoire professionnelle.

J’ai aussi su mettre mes convictions environnementales au coeur de mes emplois

J’ai œuvré aux cotés d’une association pour convaincre les individus de s’impliquer davantage en faveur de l’environnement a l’échelle de leur quartier. Cependant, j’ai rapidement compris que pour véritablement faire bouger les lignes, il fallait frapper à des portes plus hautes. Cela m’a conduit à travailler au sein d’une autre organisation environnementale visant à influencer les politiques gouvernementales au Québec et présente aux quatre (ou plutôt au seize) coins du Québec.

Finalement, j’ai rejoint mon conjoint qui est ainsi devenu également mon partenaire d’affaires, pour travailler à créer des sites web, fusionnant nos compétences pour aider les entreprises à s’épanouir en ligne.

J’ai donc su m’adapter avec aisance à une multitude d’environnements professionnels très divers.

En effet j’ai aussi bien travaillé en baskets à parcourir des kilomètres dans des entrepôts aux côtés de personnes issues comme moi de l’immigration, mais j’ai aussi revêtu des tenues soignées pour participer à des déjeuners en présence des ministres, et ajd je travaille depuis la maison souvent en étant souvent pas très habillée !

Ainsi, en listant ces emplois successifs, je réalise que chaque opportunité m’a permis de developper une vaste palette de compétences. En écrivant ces lignes je réalise que mon parcours professionnel durant ma vingtaine a presque été aussi rocambolesque que la quête de mon lieu d’habitation et en même temps sa représente bien ma vie durant cette période !

Suivre son instinct et avancer

Malgré tout, je n’ai jamais eu peur de quitter des emplois lorsqu’ils ne me convenaient plus. J’ai compris que ma valeur ne dépend pas d’une étiquette professionnelle, mais de ma capacité à évoluer et à m’épanouir. J’ai toujours suivi mes envies et mes passions. Et c’est ce qui me rend fière aujourd’hui !

L’équilibre financier : apprendre et s’épanouir

Cependant, il y a un aspect qui me laisse moins fière, et c’est ma gestion des finances personnelles… Ou plutôt la non gestion de mes finances personnelles! J’ai toujours suivi mes rêves, mes désirs et mes passions, peu importe les implications financières. Par conséquent, j’ai appris, parfois à mes dépens, à jongler avec la gestion de mes finances. À l’approche de mes 30 ans, avec un projet immobilier en perspective que je n’avais pas envisagé plus tôt dans ma vingtaine, je ressens parfois un léger regret d’avoir trop souvent dépensé sans compter.

Cependant, malgré les remords, je ne peux réellement pas dire que je regrette cette gestion désastreuse, voire parfois inexistante, de mes finances. Cette approche complètement freestyle m’a offert la possibilité de vivre une multitude d’expériences, créant ainsi plein de souvenirs inestimables à base de voyages impulsifs, de rencontres tardives inattendues et de moments spontanés.
Bien que je puisse maintenant percevoir les avantages d’une planification financière un peu plus avisée, je suis infiniment reconnaissante d’avoir dit OUI à la vie et d’avoir vécu tous ces souvenirs précieux.

D’ailleurs en côtoyant des amis qui ont des salaires annuels à 6 chiffres j’ai vite compris que l’argent ne garantissait pas le bonheur. La richesse va bien au-delà de simples chiffres. Elle s’exprime à travers la sécurité qu’elle offre, la liberté qu’elle procure et les choix qu’elle permet d’envisager. Bref, l’argent n’achète ni le temps de qualité, ni les amitiés et encore moins la santé. C’est pourquoi, je ne sacrifierais aucune de ces choses pour un salaire plus mirobolant.

C’est pourquoi mes aspirations ne gravitent toujours pas autour de l’acquisition de davantage d’argent. Je cherche simplement à construire un quotidien qui m’autorise à vivre pleinement, à explorer mes passions, à passer des moments précieux avec mon amoureux et mes proches, et à savourer chaque instant. Cette recherche s’ancre dans la conviction que la vraie richesse se trouve dans la simplicité.

Trouver ma source de joie :

À l’aube de mes trente ans, j’ai découvert ce qui me comble et m’épanouit profondément. Et cela n’a pas été une quête aisée, car au début de ma vingtaine, mes rêves étaient diamétralement opposés. Ils étaient imprégnés d’une quête insatiable de toujours plus. Plus de voyages, plus de chaussures, plus de vêtements, et ainsi de suite.

Pourtant, avec le temps, mes perspectives ont évolué de manière drastique. Aujourd’hui, mes aspirations sont opposées. Je désire vivre avec moins. J’ai pris conscience que l’essence du bonheur ne réside pas dans la possession matérielle, mais plutôt dans l’appréciation sincère de ce que j’ai déjà.

Vers de nouveaux horizons : du centre-ville au centre

J’ai aussi découvert qu’être en nature m’apaise et me recentre comme nulle part ailleurs. Cette réalisation m’a inspiré à redéfinir mon environnement. J’entreprends donc un nouveau chapitre de ma vie. En effet, après avoir goûté aux appartement luxueux, aux lumières et à l’énergie des grandes villes, je m’apprête désormais à changer de décor. Ma prochaine aventure m’emporte vers les confins de la nature, où le chant mélodieux des oiseaux remplace le brouhaha des voisins, les booms de la construction et les grondement des klaxons. Je m’apprête à embrasser les panoramas verdoyants, les doux murmures de la foret.

Suivre son cœur

Le mantra de ma vingtaine a longtemps été « on dormira quand on sera morte »… Mais j’ai compris que je tenais quand même bien à la vie. Alors je me suis un peu assagit. Et mon mantra s’est progressivement transformé vers « vivre sans regret », ou plus simplement « suivre mon cœur car il connait le chemin ». Et je sens que ce mantra continuera de guider dans ma trentaine. Ou bien alors peut-être qu’un nouveau viendra s’imposer. En tout cas j’ai hâte.

De nouvelles pages à écrire : adieu la vingtaine & bonjour, trentaine !

Je suis ravie de faire partie du club des trentenaires, car pour moi, vieillir n’a jamais été un big deal, ni une grande préoccupation.

J’ai arboré des cheveux blancs depuis mes 20 ans, et dix années plus tard, leur nombre a bien augmenté. Malgré les pressions sociales ou familiales, je les porte toujours fièrement. D’ailleurs en réalité, je n’ai jamais ressenti le besoin de les dissimuler. Aujourd’hui, je remarque également l’apparition de quelques rides sur mon front, et je les accueille aussi avec sérénité. J’ai conscience de la préciosité de la vie, ce qui me permet de mettre totalement de côté ces futilités. Les cheveux blancs et les rides ne sont que des détails insignifiants. Ils ne définissent en rien ma valeur, mon épanouissement ou ma capacité à apprécier chaque jour.

Bref, je me suis pas apeurée d’avoir 30 ans. C’est avec plaisir et sans regret que je dit adieu à la vingtaine, et bonjour à cette nouvelle aventure, à cette nouvelle décennie.

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Prise de conscience écolo : 10 ans après

Il y a dix ans, un moment marquant a ébranlé mes convictions et a profondément remis en question mon mode de vie. La catastrophe du Rana Plaza en 2013 a agi comme un puissant révélateur, m’ouvrant les yeux sur les conséquences dévastatrices de mes choix de consommation sur l’environnement. Cette prise de conscience a été le point de départ d’une transformation profonde et durable, qui a guidé mes décisions, mes habitudes et mes valeurs tout au long de la dernière décennie.

Aujourd’hui, alors que je regarde en arrière et évalue le chemin parcouru, il est frappant de constater à quel point cette catastrophe a fait évolué de nombreux aspects de ma vie. De la façon dont je choisis mes vêtements à la manière dont je me nourris, en passant par la manière dont je perçois mon rôle au sein de la planète a été façonnée par cette prise de conscience écolo.

Une décennie après, il est clair que la prise de conscience écologique a non seulement changé mes comportements, mais a également redéfini ma relation avec le monde qui m’entoure.

En 2013, suite à la catastrophe du Rana Plaza, j’ai été frappé(e) de plein fouet par la réalité des conséquences néfastes de mon mode de vie sur notre planète. Cet événement et plus particulièrement la photo « Final Embrace » de Taslima Akhter a été le déclencheur d’une transformation profonde de ma manière de consommer.

Dès lors, j’ai entrepris un changement radical, commençant par ma relation avec la mode dans un premier temps.

Il y a dix ans, j’ai décidé de transformer ma façon de consommer. Je me suis détournée des magasins de fast fashion et de ceux qui produisent à l’autre bout de la planète. Je me suis tournée vers des marques engagées qui privilégient la production locale.
Mais n’ayant pas un budget infini j’ai dû réduire considérablement mes achats mais aussi les repenser. Chose qui auparavant ne faisait pas partie de mon processus de réflexion avant achat. Pour ne pas me sentir privée, j’ai instauré une règle simple : un vêtement neuf par an. Le reste en seconde main. Cela me permettait de répondre à mes envie de consommation tout en encourageant des entreprises issues de l’économie circulaire.

Aujourd’hui, dix ans plus tard, je me rends compte que j’ai complètement tourné le dos à ce mode de surconsommation. « Faire du shopping » ne fait plus partie de mes habitudes, et je n’éprouve aucune nostalgie à cet égard. Les règles que je m’étais fixées ont agi comme un processus de désintoxication, me permettant de me libérer des schémas de consommation nuisibles.

Cette transformation a marqué un changement profond dans ma perception de mes besoins et priorités.

Au fil du temps, cette prise de conscience s’est progressivement étendue à d’autres aspects de ma vie, toujours animée par la volonté constante de faire mieux, d’en faire plus. Pourtant, il m’a été difficile de ne pas être trop dure envers moi-même, de ne pas me juger constamment pour ce que je percevais comme des insuffisances. Cette rigueur a par exemple influencé mon choix de ne jamais aborder les sujets du véganisme ou du végétarisme sur ce blog.

Les doutes m’assaillaient fréquemment. Est-ce que mes petits gestes sont suffisants ? Surtout, je me suis souvent sentie coupable de ne pas être irréprochable en matière d’écologie.

Peut-être que vous vous retrouvez dans cette situation…Si c’est votre cas, sachez que les écologistes ne seront jamais parfaitement exemplaires, et ce n’est pas une tare. Pourquoi ? Parce qu’il est tout simplement impossible d’atteindre une parfaite cohérence dans chacune de nos actions.

Que ce soit prendre l’avion, ne pas adopter les toilettes sèches, consommer de la viande, céder à la fast-fashion… Toutes ces actions, même vues d’un œil critique, ne vous excluent pas automatiquement du cercle des écolos. L’essentiel réside dans votre contribution, à votre échelle, à la préservation de notre planète. Les paradoxes qui m’habitent encore sont nombreux. Éviter les sodas mais craquer parfois pour du chocolat. Économiser l’eau en me brossant les dent tout en appréciant un bon bain. Utiliser des cotons réutilisables mais tout en les lavant en machine… La liste est longue. Ces contradictions font partie de ma réalité. Toutefois, elles ne remettent pas en question mes convictions et engagements en faveur de l’écologie.

Ainsi, rappelez-vous que chaque action compte et amène la réflexion autour de vous. Alors pas besoin d’atteindre la perfection, car c’est le chemin parcouru qui importe vraiment.
Que vous privilégiiez le covoiturage tout en prenant un Uber le soir, que vous réduisiez vos déchets même si vous utilisez encore des mouchoirs en papier, ou que vous préfériez les produits locaux tout en ayant un faible pour le chocolat… Peu importe ! Chacune de ces décisions reflète votre engagement envers la préservation de notre planète. L’écologie est une quête d’amélioration, et chaque geste contribue à faire une différence.

Toutefois, tous les écogestes ne se valent pas.

Certains sont plus efficaces que d’autres pour le climat :

Il est évident que certaines actions ont un impact plus significatif que d’autres pour limiter les changements climatiques.

Par exemple les déplacements en avion ont une empreinte carbone considérable. Cette empreinte augmente à mesure que la distance parcourue s’allonge.

D’autres gestes du quotidien, accessibles à chacun, se révèlent puissants pour freiner le changement climatique. Réduire sa consommation de viande, par exemple, a un impact positif majeur. De même, adopter une approche réfléchie vis-à-vis de nos achats en limitant l’achat d’objets neufs contribue significativement à la réduction des déchets et de la production polluante.

De plus, repenser notre relation à la voiture individuelle peut également faire une grande différence. Opter pour les transports en commun, le covoiturage ou même le vélo diminue l’empreinte carbone liée à nos déplacements.

Une autre facette de l’écologie consiste à faire des choix éthiques dans nos activités financières. Choisir une banque éthique évite de financer des activités polluantes. Cela contribue à orienter les ressources financières vers des initiatives plus durables et respectueuses de l’environnement.

Bref, une décennie plus tard, je suis fière du chemin entrepris. J’essaie de faire de mon mieux. Et même si ce n’est pas parfait, c’est mon maximum à l’instant.

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Le fameux « cap des trente ans »

Voilà, c’est fait. J’ai franchi le seuil de cette étape tant évoquée : la trentaine.

Pourtant, je ressens cette appartenance au club des trentenaires depuis ma vingt-neuvième année. Cette année charnière avant le « cap », où l’on te rappelle inlassablement que bientôt tu souffleras tes trente bougies. On te demande si tu es prête pour « le début de la fin », comme si les trente ans sonnaient le glas d’une jeunesse insouciante.

Mais est-ce vraiment cela, avoir trente ans ?

Pour certains, c’est synonyme de grandir, tandis que pour d’autres, c’est le signe de vieillir. Est-ce qu’une fois franchi ce cap, nous sommes condamnés à renoncer à notre part d’enfance ? Devrions-nous impérativement adopter un comportement adulte, ne jamais poser nos coudes sur la table, rester droits en toute circonstance, dire toujours merci et sourire à toute personne croisant notre chemin ?

Pour d’autres, avoir trente ans signifie entrer dans le moule préétabli.

C’est se conformer à ce que la société attend d’une personne à cet âge. Il existe des règles, bien que l’on ignore souvent qui les a édictées. Enfreindre ces règles, c’est prendre le risque d’être regardé de travers. Ça fait déjà cinq ans que ma mère me parle inlassablement de devenir grand-mère.

Comme j’ai la chance d’être en couple depuis près de 8 ans, j’ai le privilège de devoir répondre à la fameuse question : « Alors, et vous… c’est pour quand ? » .
Chaque réunion de famille se transforme en un jeu de devinettes, où chaque invité essaie de deviner que vous avez forcément une nouvelle à annoncer. Ma belle soeur a déjà cru deux fois que j’étais enceinte ou que je lui annonçait une grossesse !!
La pression est palpable, toute la table est suspendue à vos lèvres. Si ce n’est pas un mariage ou une grossesse vous décevez l’assemblée. Parce qu’à trente ans, il serait grand temps de franchir une étape majeure, n’est-ce pas ?

C’est incroyable comme l’étape des trente ans est symbolique.

On semble avoir un billet pour un package bien spécifique : bébés, fiançailles, prêt immobilier. Faut-il réellement suivre un rythme préétabli, une chronologie où avoir des enfants plus tard que ses amies serait une faute impardonnable ? Ne pas se conformer au rythme des autres équivaudrait-il à décevoir son entourage et à faire preuve d’égoïsme ?Pourquoi culpabiliser les couples qui ne se sentent pas prêts à écrire cette nouvelle page de leur vie ? Chacun avance, évolue et envisage l’avenir à sa manière.

Bref, laissez les trentenaires en paix !

J’espère que cela résonne en vous, que vous approchiez de la trentaine ou que vous ne l’ayez pas encore atteinte. J’avais envie de partager ces réflexions ici, car finalement, avoir trente ans n’est pas si dramatique, n’est-ce pas ?

Et vous, ce cap des trente ans, qu’en pensez-vous ?

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Le camping pour créer de beaux souvenirs

Le camping, est une opportunité de créer de beaux souvenirs. C’est un voyage vers l’essentiel, une évasion du rythme effréné de la vie quotidienne, et une invitation à vivre des moments précieux avec ceux qui nous sont chers, qu’il s’agisse de la famille, des amis ou même de nous-mêmes. À travers le crépitement du feu de camp, les éclats de rire, les découvertes et les défis surmontés, le camping nous offre un terrain fertile afin de tisser des liens et forger des souvenirs inoubliables.

Échapper à l’ordinaire

Lorsque nous décidons de partir en camping, nous faisons bien plus que simplement choisir une destination. Nous choisissons de nous éloigner de l’ordinaire, de la routine monotone et des contraintes de la vie moderne. C’est un pas audacieux vers une aventure imprévisible, où chaque journée apporte son lot de découvertes et de surprises. En laissant derrière nous les écrans, les notifications et les distractions constantes, nous nous ouvrons à un monde de possibilités où la spontanéité règne en maître. Ces moments hors du temps, passés dans la simplicité de la nature, deviennent des souvenirs chéris qui nous rappellent la beauté de la vie sans artifices.

Feu de camp et partage

L’un des charmes indéniables du camping réside dans la chaleur réconfortante d’un feu de camp. Autour des flammes dansantes, les visages s’illuminent tout autant que les histoires qui se dévoilent. Les discussions prennent une saveur particulière, empreinte de complicité et d’intimité. Les anecdotes, les rires et les moments partagés autour du feu deviennent des trésors précieux qui nourrissent notre lien avec nos proches. Les guimauves qui dansent au bout des bâtons sont bien plus que de simples friandises, ce sont des symboles de joie et de connexions profondes.

Camper nous enseigne l’art de vivre en harmonie avec la nature.

Nous apprenons à nous adapter aux conditions changeantes, à nous familiariser avec les éléments et à apprécier les petits détails qui nous entourent. Chaque matin, le chant des oiseaux devient une mélodie apaisante qui nous invite à embrasser la journée avec gratitude. Les couchers de soleil peignent le ciel de teintes éblouissantes, tandis que les nuits étoilées éveillent en nous un sentiment d’émerveillement face à l’infini. En revenant à l’essentiel, nous découvrons que les moments les plus simples sont souvent les plus précieux.

Défis et accomplissements

Le camping ne manque pas de défis, qu’il s’agisse de monter une tente, de cuisiner en plein air ou d’emprunter des sentiers inconnus. Chaque défi surmonté, petit ou grand, devient alors une source de fierté et de confiance en soi. Ces moments d’accomplissement laissent ensuite une empreinte durable dans notre mémoire, nous rappelant que nous sommes capables de relever des défis et de nous adapter à des situations nouvelles.

Le camping nous ramène ainsi à l’essence même de la vie, à travers la contemplation de ce qui nous entourent. Nous nous émerveillons devant la diversité des paysages, la symphonie des bruits de la nature ainsi que la simplicité des moments partagés. Chaque randonnée, chaque lever de soleil et chaque instant de quiétude au bord d’un lac nous rappellent que la vie est une aventure à savourer pleinement.

Les souvenirs de nos aventures en camping ne s’estompent pas avec le temps, bien au contraire. Ils deviennent des histoires que nous racontons, des anecdotes qui nous font sourire et des leçons de vie qui nous guident. À travers ces souvenirs, nous laissons une trace indélébile de notre passage dans le paysage de la vie.

En fin de compte, le camping est bien plus qu’une simple aventure en plein air. C’est une opportunité de créer de beaux souvenirs !

En nous éloignant du tumulte de la vie moderne, nous avons la chance de ralentir, de nous reconnecter avec nous-mêmes et avec nos proches, et de vivre des expériences mémorables. Alors, que vous soyez en train de monter votre tente pour la première fois ou que vous soyez un campeur chevronné, souvenez-vous que chaque moment passé en camping est une occasion de créer de beaux souvenirs.

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Cuisiner en camping sans électricité ni frigo

Lorsque je me prépare pour une aventure en plein air, loin des conforts de la vie moderne, une question cruciale se pose toujours : quels aliments emporter pour assurer des repas nourrissants et délicieux tout au long du voyage, sans avoir recours à un réfrigérateur ?

Cuisiner en camping sans électricité ni frigo demande une planification soigneuse et des choix judicieux en matière d’aliments.

Dans cette quête de praticité et de saveurs au cœur de la nature, je découvre un assortiment d’aliments indispensables qui résistent vaillamment à la chaleur estivale ou aux soirées fraîches autour du feu.

Lorsque vous partez en camping sans accès à un réfrigérateur, il est important de choisir des aliments qui ne nécessitent pas de réfrigération et qui sont suffisamment stables pour être conservés à température ambiante pendant un certain temps.

Voici une liste d’aliments indispensables pour le camping sans frigo :

Aliments secs :

  • Pain ou pain pita
  • Craquelins ou biscuits
  • Céréales
  • Riz, pâtes, quinoa
  • Flocons d’avoine

Conserves et produits en conserve :

  • Légumes en conserve (maïs, haricots, petits pois, etc.)
  • Fruits en conserve (ananas, pêches, etc.)
  • Soupes en conserve
  • Poissons en conserve (thon, saumon)
  • Viandes en conserve (poulet, saucisses)

Produits séchés :

  • Fruits séchés (raisins, abricots, bananes, etc.)
  • Viandes séchées (bœuf séché, jerky)
  • Légumes séchés
  • Légumineuses séchées (haricots, lentilles)

Snacks et barres énergétiques :

  • Noix et graines (amandes, noix de cajou, graines de tournesol, etc.)
  • Barres de céréales ou barres énergétiques

Produits en conserve stérilisés :

  • Lait concentré sucré ou lait évaporé
  • Condiments en conserve (cornichons, olives)

Assaisonnements et épices :

  • Sel, poivre, épices en sachet
  • Sachets de ketchup, moutarde, mayonnaise

Huiles :

  • Huile d’olive, huile végétale

Produits non laitiers :

  • Beurre d’arachide, pâte à tartiner

Boissons :

  • Eau potable en quantité suffisante (vous pouvez apporter des bouteilles réutilisables)
  • Thé, café instantané, chocolat en poudre

Aliments emballés individuellement :

  • Fromage à pâte dure (parmesan, cheddar)
  • Biscuits, gaufrettes, barres chocolatées
  • Sachets de soupe instantanée

Assurez-vous de stocker correctement ces aliments dans des contenants hermétiques pour éviter les contaminations et les fuites. N’oubliez pas de respecter les réglementations locales en matière de conservation des aliments et de gestion des déchets, et d’éviter les aliments qui pourraient facilement se gâter sans réfrigération prolongée.

En fin de compte, ma quête pour cuisiner en camping sans électricité ni frigo m’a révélé une chose essentielle : la simplicité peut être incroyablement satisfaisante. En utilisant des aliments simples mais astucieusement choisis, j’ai découvert comment créer des repas qui comblent la faim tout en éveillant mes papilles. Le riche parfum d’une soupe mijotée au coin du feu, le croustillant réconfortant d’un biscuit au beurre d’arachide, et la chaleur d’une tasse de thé partagée avec des amis sous les étoiles – tous ces moments ont pris une nouvelle signification. Cuisiner en camping sans les commodités modernes m’a permis de me connecter davantage à la nature, à moi-même et aux plaisirs simples de la vie. Alors, que l’aventure continue, que le feu crépite et que les saveurs s’épanouissent, car avec les bons aliments et un esprit ouvert, chaque repas en plein air devient une célébration mémorable.

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Bien manger en camping

Le camping est une aventure en plein air très appréciée, que ce soit en famille, entre amis ou en couple. Cependant, il ne s’agit pas seulement de planter une tente et de profiter de la nature. L’un des défis les plus courants lors d’un séjour en camping est de bien manger tout en étant limité en termes d’espace, d’équipement et de réfrigération. Dans cet article, nous vous proposons des solutions simples pour relever ces défis et des recettes délicieuses pour des repas équilibrés et savoureux en camping.

Voici quelques idées de recettes de « One Pot » que vous pouvez préparer pour bien manger en camping avec des ingrédients qui ne nécessitent pas de réfrigération :

One Pot Riz Mexicain :

Ingrédients :
  • Riz (pré-cuit ou à cuisson rapide)
  • Haricots en conserve (noirs ou rouges)
  • Maïs en conserve
  • Tomates en conserve (ou sauce tomate)
  • Épices mexicaines (cumin, paprika, chili en poudre)
  • Oignon en poudre (ou oignons séchés)
  • Bouillon de légumes en cube (ou en poudre)
  • Eau
  • Optionnel : coriandre fraîche pour garnir

One Pot Curry de Lentilles :

Ingrédients :
  • Lentilles corail (pré-cuites ou à cuisson rapide)
  • Lait de coco en conserve
  • Curry en poudre
  • Curcuma en poudre
  • Gingembre en poudre (ou gingembre frais râpé séché)
  • Ail en poudre
  • Bouillon de légumes en cube (ou en poudre)
  • Eau
  • Optionnel : épinards ou légumes verts

One Pot Couscous aux Légumes :

Ingrédients :
  • Couscous (pré-cuit)
  • Pois chiches en conserve
  • Légumes en conserve (carottes, pois, haricots verts)
  • Épices (cumin, paprika, coriandre en poudre)
  • Bouillon de légumes en cube (ou en poudre)
  • Eau bouillante

One Pot Pâtes à l’Ail et à l’Huile :

Ingrédients :
  • Pâtes (linguine, spaghetti, penne, etc.)
  • Ail en poudre (ou ail séché)
  • Huile d’olive
  • Flocons de piment rouge (optionnel)
  • Bouillon de légumes en cube (ou en poudre)
  • Eau
  • Persil frais (si disponible) pour garnir

One Pot Quinoa Méditerranéen :

Ingrédients :
  • Quinoa
  • Poivrons en conserve
  • Olives noires ou vertes en conserve
  • Tomates séchées (réhydratées dans l’eau chaude)
  • Épinards (frais ou surgelés)
  • Herbes méditerranéennes (origan, basilic, thym)
  • Bouillon de légumes en cube (ou en poudre)
  • Eau
  • Feta émiettée pour garnir (optionnel)

One Pot Chili Végétarien :

Ingrédients :
  • Haricots rouges en conserve
  • Maïs en conserve
  • Poivrons en conserve (ou frais si possible)
  • Tomates en conserve (ou sauce tomate)
  • Oignon en poudre (ou oignons séchés)
  • Chili en poudre
  • Cumin en poudre
  • Bouillon de légumes en cube (ou en poudre)
  • Eau
  • Optionnel : coriandre fraîche pour garnir

Ces recettes sont conçues pour être simples à préparer en camping en utilisant un seul récipient et des ingrédients qui ne nécessitent pas de réfrigération. Assurez-vous d’adapter les temps de cuisson en fonction de votre source de chaleur (réchaud portatif au gaz, feu de camp, etc.). Profitez de ces repas délicieux et pratiques pendant votre séjour en plein air !

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Camping : liste pour une aventure sans soucis

Le camping est bien plus qu’une simple escapade en plein air. C’est une expérience qui vous connecte avec la nature, vous offre la liberté de vous évader de la routine quotidienne et vous permet de créer des souvenirs durables avec vos proches. Cependant, pour que votre aventure en camping se déroule sans encombre, une préparation minutieuse est indispensable. Bienvenue dans notre guide ultime pour un camping réussi, où nous avons rassemblé une liste complète d’éléments indispensables pour vous assurer que chaque moment de votre escapade en plein air soit empreint de confort, de plaisir et de sérénité. Suivez notre liste pour une aventure sans soucis et plongez dans l’univers magique du camping.

Voici une liste des éléments essentiels à ne pas oublier avant de partir en camping.

La liste des indispensables

  • Tente : Votre abri dans la nature. Assurez-vous qu’elle soit en bon état et complète avec ses accessoires.
  • Piquets de tente : N’oubliez pas d’en avoir un paquet de rechange en cas de besoin.
  • Maillet ou petit marteau : Pour planter solidement les piquets de tente.
  • Petit balai : Utile pour garder votre espace de camping propre.
  • Chaises de camping : Un endroit confortable pour vous asseoir et vous détendre.
  • Matelas de sol : Pour une nuit de sommeil confortable et isolée.
  • Sac de couchage : Choisissez-en un adapté à la météo de votre destination.
  • Petite couverture polaire : Idéale pour vous réchauffer autour du feu de camp.
  • Oreiller : Pour un sommeil douillet même en pleine nature.

La survie

  • Lampe de poche : Essentielle pour les déplacements nocturnes.
  • Lampe frontale : Pratique lorsque vous avez besoin des deux mains.
  • Briquet : Pour allumer le feu et éclairer votre chemin.
  • Briquettes d’allumage pour le feu : Facilitent le démarrage du feu.
  • Petite scie ou petite hache : Pour couper du bois de chauffage si nécessaire.
  • Bidon pour mettre de l’eau : Assurez-vous d’avoir une source d’eau potable.
  • Corde : Utile pour suspendre des vêtements ou des objets.
  • Épingles à linge : Pour sécher vos vêtements ou accrocher des objets.
  • Bâches : Au moins deux de tailles différentes pour créer un abri improvisé.
  • Élastiques avec crochets : Pour attacher les bâches solidement.
  • Ruban adhésif : Peut réparer des objets ou sceller des fissures.
  • Couteau suisse ou canif : Un outil polyvalent pour diverses tâches.
  • Pelle avec un manche pliable : Utile pour creuser des rigoles en cas de pluie.
  • Trousse de premiers soins : Pour traiter les petites blessures et les incidents.
  • Produits répulsifs pour les moustiques : Protégez-vous des insectes indésirables.

Le kit du campeur

  • Vêtements légers et chauds : Préparez-vous pour différentes conditions météorologiques.
  • Casquette ou chapeau : Pour vous protéger du soleil.
  • Sous-vêtements et bas chauds : Restez au chaud et au sec.
  • Chandail chaud : Une veste polaire peut être parfaite pour les soirées fraîches.
  • Manteau imperméable : Protégez-vous des intempéries.
  • Pantalon imperméable : Gardez vos jambes au sec.
  • Tuque et foulard : Pour une protection supplémentaire contre le froid.
  • Souliers ou bottes imperméables : Assurez-vous d’avoir des chaussures adaptées à la météo.
  • Souliers fermés et sandales : Pour différentes occasions.

Hygiène

  • Gel de douche et shampoing : Restez propre même en pleine nature.
  • Brosse à dents et dentifrice : N’oubliez pas votre routine d’hygiène bucco-dentaire.
  • Serviettes et mouchoirs : Pour vous sécher et vous moucher.
  • Papier hygiénique : Essentiel pour le confort lors des pauses nature.
  • Gel désinfectant : Gardez vos mains propres.

Rangement

  • Sac à dos : Pour transporter vos affaires facilement.
  • Petits et grands sacs refermables (Ziploc) : Utiles pour organiser et protéger vos objets.
  • Sacs à ordures ménagères : Gardez votre espace propre et respectez la nature.
  • Sac imperméable de 20 litres : Pour garder vos objets au sec.
  • Glacière portative : Conservez vos aliments au frais.
  • Bacs en plastique : Pour la nourriture, la vaisselle et les ustensiles.

Liste de vaisselle

  • Assiettes, verres et tasses en plastique : Pour les repas en plein air.
  • Bols en plastique : Idéaux pour les soupes et les céréales.
  • Ustensiles : Assurez-vous d’avoir tout ce dont vous avez besoin pour cuisiner et manger.
  • Ouvre-boîte : Utile pour ouvrir les boîtes de conserve.
  • Planche à découper en plastique : Pour préparer vos repas.
  • Couteaux tranchants : Facilitent la préparation des aliments.
  • Cuillères et tasses à mesurer en plastique : Pour les recettes précises.
  • Spatule et passoire : Pour cuisiner vos plats.
  • Cafetière italienne ou cornet en plastique pour café filtre : Pour les amateurs de café.
  • Filtres à café en papier : Pour une tasse de café parfaite.
  • Poêle portatif au gaz ou réchaud : Pour cuisiner vos repas en plein air.
  • Bonbonnes de gaz de rechange : Soyez prêt en cas de besoin.
  • Casseroles et poêles : Pour préparer une variété de plats.
  • Grille pour les aliments et grille pour le pain : Pour des repas grillés savoureux.

Autres items pour la cuisine

  • Savon à vaisselle, tampon à récurer et éponge : Pour nettoyer la vaisselle.
  • **Linges à vaisselle** : Essentiels pour sécher vos ustensiles et votre vaisselle.
  • Contenants en plastique hermétiques : Gardez vos aliments frais et évitez les déversements.
  • Papier d’aluminium épais : Idéal pour cuisiner et emballer les aliments.
  • Napperons et nappe en plastique imperméable : Protégez votre espace de repas.
  • Pinces pour fixer la nappe : Assurez-vous qu’elle reste en place.
  • Pinces en plastique pour refermer les sacs de nourriture : Gardez vos aliments frais et protégés.
  • Blocs réfrigérants congelés : Maintenez vos aliments au frais.
  • Élastiques : Utiles pour diverses tâches.

En suivant cette liste détaillée, vous serez prêt(e) à vivre une expérience de camping sans soucis, remplie d’aventure, de détente et de moments inoubliables en pleine nature. N’oubliez pas de vérifier chaque élément de cette liste avant de partir pour vous assurer que rien n’est oublié. Puis, préparez vos affaires, et partez à la découverte du grand air avec confiance !

consommation électrique

Réduire sa consommation électrique

Alors que le prix de l’électricité ne cesse de grimper, la gestion de notre consommation d’énergie est devenue cruciale pour faire des économies. Dans nos habitations, certains appareils sont de véritables gloutons en énergie, ce qui se traduit par des factures élevées.

Voici quelques astuces pour réduire votre consommation électrique.

1. Le réfrigérateur et le congélateur

Le grand champion de la consommation électrique est incontestablement le réfrigérateur, suivi de près par le congélateur. Ces deux appareils essentiels pour conserver nos aliments représentent à eux seuls 346 kWh/an en moyenne. Malheureusement, peu d’options s’offrent à nous pour réduire leur consommation.

Astuce : Veillez à ne pas ouvrir trop souvent la porte du réfrigérateur ou du congélateur, car chaque ouverture entraîne une perte de froid et une augmentation de la consommation. Vérifiez également que les joints de la porte sont en bon état pour éviter les fuites de froid.

2. Le four

Le four arrive en troisième position des appareils énergivores. Même s’il est essentiel pour cuisiner de bons plats, il consomme beaucoup d’électricité. Pour réduire cette consommation, optez pour un four à chaleur tournante ou un four combiné (micro-ondes et four) qui peuvent réduire jusqu’à 75 % de la consommation électrique par rapport aux fours traditionnels.

Astuce : Planifiez votre cuisson en regroupant plusieurs plats à cuire en même temps, pour éviter de chauffer le four trop souvent.

3. Les plaques de cuisson à induction

Les plaques de cuisson, et particulièrement celles à induction, se classent en quatrième position des appareils gourmands en électricité. Elles sont très répandues, mais elles consomment plus que les plaques vitrocéramiques ou électriques.

Astuce : Privilégiez les casseroles et poêles adaptées à l’induction, car elles chauffent plus rapidement et permettent de réduire le temps de cuisson. Décongelez les aliments à l’avance pour diminuer le temps de cuisson et couvrez vos plats pour conserver la chaleur.

4. Le sèche-linge

Véritable gain de temps, le sèche-linge représente environ 15 % de la facture d’électricité des ménages. Pour économiser de l’électricité, vous pouvez opter pour un séchoir à linge traditionnel, bien que cela soit un peu plus fastidieux.

Astuce : Si vous ne pouvez pas vous passer du sèche-linge, essayez de le faire fonctionner pendant les heures creuses, lorsque le tarif de l’électricité est moins élevé.

5. La machine à laver et le lave-vaisselle

La cinquième place est partagée par la machine à laver et le lave-vaisselle. Ces deux appareils sont essentiels, mais une utilisation intensive peut faire grimper votre facture d’électricité.

Astuce : Utilisez ces appareils en dehors des heures de pointe pour profiter des tarifs réduits. Choisissez des machines à laver et des lave-vaisselle à haute efficacité énergétique (catégorie A+++) et privilégiez les programmes économiques pour réduire la consommation.

Comment détecter une surconsommation d’électricité ?

Pour détecter une surconsommation d’électricité, gardez un œil sur le niveau de consommation indiqué sur vos factures et comparez-le sur plusieurs mois. Si vous constatez une augmentation significative, cela peut être le signe d’un problème de surconsommation.

Comment éviter de surconsommer de l’électricité ?

Des gestes simples au quotidien peuvent vous aider à réduire votre consommation électrique. Débranchez vos appareils électriques lorsque vous ne les utilisez pas, car les chargeurs laissés branchés consomment toujours de l’énergie. Remplacez les ampoules classiques par des LED, car elles consomment beaucoup moins. En hiver, limitez l’utilisation des chauffages soufflants qui sont très énergivores.

En adoptant ces astuces, vous pourrez faire baisser votre facture d’électricité tout en contribuant à préserver l’environnement. Alors, soyez éco-responsable et faites des économies d’énergie dès maintenant !

besoin-de-rien

Besoin de rien

Il y a quelque chose que je me répète à moi-même lorsque je me surprends à ressentir l’envie de faire du shopping, d’acheter de nouveaux vêtements ou des objets inutiles. C’est « Je n’ai besoin de rien, j’ai déjà tout. » Cette affirmation résonne en moi chaque fois qu’une pulsion d’achat me prend. Car oui, comme vous, il m’arrive d’éprouver le désir de posséder, d’acquérir, de remplir ma vie de choses matérielles. Mais au fond de moi, je sais que cela va bien au-delà du simple besoin. C’est comme si ce désir effréné de consommer servait à combler un vide, alors que ma vie est déjà riche d’expériences.

La saturation de l’abondance

L’abondance matérielle

Au fil des années, j’ai eu la chance de construire un dressing bien fourni en optant pour des vêtements de qualité que j’apprécie encore aujourd’hui. C’est un privilège que je n’oublie pas, surtout lorsque je vois les prix grimper et que le monde devient de plus en plus instable.

Pourtant, ce qui me manque parfois, c’est l’excitation que je ressentais autrefois, quand je m’offrais mon premier pull en cachemire avec mon maigre ou lorsque ma mère m’a offert mon premier jean Levi’s. Ces moments étaient si spéciaux.

L’éveil à la conscience

Ce constat m’a amené à m’interroger sur la nature profonde du désir matériel et sur notre rapport aux possessions. Le « J’ai déjà tout » n’est pas une manière de nier l’importance d’acquérir des biens, mais plutôt une prise de conscience de l’abondance qui nous entoure. Cette prise de conscience a un pouvoir libérateur, nous permettant de voir le monde sous un jour nouveau.

Cette abondance matérielle s’accompagne d’une responsabilité. Possédant déjà tout ce dont j’ai besoin, il est essentiel de réfléchir à notre impact sur l’environnement, à la durabilité de nos choix, et à la manière dont nos possessions influencent notre perception du bonheur. Il s’agit d’évoluer au-delà de la simple acquisition pour embrasser une consommation plus éclairée.

A mon âge, je me sens plus sage et apaisée. Et, malheureusement, je crois que je ne ressentirai plus jamais ces moments de joie intense pour des vêtements. Et c’est bien ainsi. Ces moments de joie éphémère ne peuvent rivaliser avec la joie constante de porter encore et encore mes vêtements préférés.

Conclusion

Vous savez, ce que j’ai découvert à travers cette réflexion, c’est que le vrai bonheur ne réside pas dans la possession, mais dans l’appréciation de ce que nous avons déjà.
C’est une invitation à savourer la simplicité, à redécouvrir la valeur de ce que nous possédons et à ressentir de la gratitude pour les expériences que la vie nous offre. « Je n’ai besoin de rien, j’ai déjà tout » est désormais plus qu’une simple phrase, c’est une déclaration de contentement, un rappel constant que la véritable richesse est intérieure et que la joie réside dans les choses simples de la vie.

Cette quête d’excitation matérielle a cédé la place à une recherche de sens plus profonde. Ainsi, « Je n’ai besoin de rien, j’ai déjà tout » est devenue bien plus qu’une simple phrase, c’est devenu un mode de vie, une célébration de l’abondance qui nous entoure à chaque instant. C’est la reconnaissance que la joie réside dans les choses simples, que l’abondance est intérieure, et que le contentement est une richesse en soi.

camping-tentes-feux-de-camp-souvenirs-inoubliables

Camping : tentes, feux de camp & beaux souvenirs

Depuis mon plus jeune âge, le camping a fait partie de mes vacances. Mes parents m’ont offert cette opportunité dès mon plus jeune age, m’initiant ainsi aux merveilles de la nature.

Le camping et l’appel de la nature

Ce goût pour l’aventure en plein air ne m’a jamais quittée. Aujourd’hui, je partage cette passion avec mon conjoint. Le camping est devenu une de ces échappées qui nous unit et nous rapproche. Ces moments hors du temps au cœur de la nature, loin du tumulte citadin, nous permettent de nous retrouver, de nous ressourcer et de créer des beaux souvenirs.

Se déconnecter pour se reconnecter

Pour nous, le camping est bien plus qu’une simple escapade. C’est une bouffée d’air frais à moindre coût, loin du stress quotidien. Lorsque nous plantons notre tente dans un coin paisible, nous retrouvons un équilibre que la vie moderne tend à diluer. Les promenades en pleine nature, les conversations autour du feu, et les nuits bercées par les étoiles deviennent notre réalité, loin des écrans et des bruits de la ville.

Lorsque le soleil se couche, notre toile de tente se transforme en dôme étoilé. Les lampadaires sont remplacés par la lueur céleste, créant une atmosphère unique et enchanteresse. Blottis dans nos sacs de couchage, nous laissons les sons de la nuit nous bercer.

Les moments de partage au coin du feu

Une fois la nuit tombée, la chaleur du feu de camp nous réunit. Sous une couverture, nous partageons des moments de complicité, des rires et des histoires, tout en sirotant un petit verre d’alcool revigorant ou une boisson chaude réconfortante. Ces instants simples, mais précieux, renforcent nos liens et gravent dans nos cœurs des souvenirs.

Au petit matin, le chant mélodieux des oiseaux nous réveille en douceur. C’est le moment idéal pour préparer un petit café et faire une promenade matinale. On prends alors le temps d’observer les trésors qui nous entourent.

Le camping, une histoire d’amour avec la nature

Chaque sortie en camping est une opportunité de se déconnecter, de se rapprocher et de vivre des moments simples, mais inestimables. Ces petites sorties permettent de nous unir et de créer des souvenirs magiques. Les feux de camp deviennent des lieux de partage et de connexion profonde. Les étoiles scintillantes nous rappellent la grandeur de l’univers et inspirent nos conversations. Chaque moment passé en camping renforce nos liens et nous nourrit d’une énergie nouvelle.