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Wishlist 2024

Wishlist 2024

Avez-vous déjà ressenti ce moment redouté du « syndrome de la page blanche » lorsqu’on te demande ce que tu souhaites pour ton anniversaire ou pour Noël ? Cette situation m’est trop familière. La crainte de demander quelque chose hors budget ou, à l’inverse, le sentiment d’être dépourvu d’idées pour un budget plus modeste, m’ont souvent laissé dans l’embarras. Face à ces dilemmes, j’ai pris la résolution de reprendre le contrôle de ces moments spéciaux en adoptant une approche proactive : compiler mes envies au fil des jours dans une wishlist.

1. Une liste d’envies annuelle

La première étape de cette démarche consiste à créer une liste d’envies annuelle. Cela me permet de noter au fur et à mesure mes besoins et désirs, évitant ainsi l’angoisse du choix de dernière minute. Cette liste devient ma source d’inspiration et de réflexion continue sur mes préférences.

2. Prendre le temps de réfléchir

Cette démarche de créer une wishlist n’est pas simplement un moyen d’éviter le syndrome de la page blanche des cadeaux, elle devient une manière réfléchie de célébrer mes envies, mes aspirations, et les moments clés de ma vie. En prévoyant et en notant mes désirs au fur et à mesure qu’ils émergent, je crée une liste personnalisée qui, au-delà d’éviter l’angoisse des cadeaux de dernière minute, je peux choisir des cadeaux qui ont une réelle valeur pour moi et qui me seront utiles.

3. Éliminer le stress des achats de cadeaux

Anticiper mes besoins et maintenir ma wishlist à jour m’a permis d’en finir avec les casse-tête de dernière minute !
Avoir une liste bien garnie signifie que j’ai toujours des idées en stock, éliminant ainsi le stress de la recherche de cadeaux à la hâte.

4. Voici ma liste d’idées 2024

Plongeons ensemble dans l’univers de mes aspirations et désirs pour l’année 2024.

J’ai soigneusement compilé une liste d’idées qui reflète mes envies et aspirations futures. Au cœur de ma liste d’idées pour l’année 2024, nombreuses sont celles qui gravitent autour de mon futur déménagement et de mon nouvel emménagement. L’excitation de créer un nouveau chez-moi se reflète dans ces choix.

Des éléments pratiques tels que des meubles fonctionnels et des objets de déco font partie de mes priorités, contribuant à façonner un espace qui respire la chaleur et la personnalité. Des idées novatrices pour organiser et optimiser l’espace cohabitent avec des aspirations artistiques, créant ainsi une liste qui évoque à la fois le pratique et l’esthétique.

Explorez avec moi ma wishlist 2024 qui va accompagner ce nouveau chapitre de ma vie!

Presse-mottes pour Semis

JARDEN® Presse-mottes Manuel pour Semis, 4 Mottes Carré de 5x5 cm, Outil de Jardinage Professionnel en Acier Inoxydable, Plantation Semis de Graines, Semences et Boutures, S’ouvre dans un nouvel onglet

Serfouette Multi-StarWolf

Outils Wolf, Serfouette 2 Dents 1 Langue Multi-Star, IMM Multicolore 19 x 19 x 21 cm, S’ouvre dans un nouvel onglet

Outils Wolf, Serfouette Multi-Star

18 €

Balai à feuilles WOLF

Balai à feuilles l.50 cm Multistar OUTILS WOLF

Balai à feuilles l.50 cm Multistar OUTILS WOLF 40 €

Outils Wolf | Manche en Bois Multi-Star 

Outils Wolf | Manche en Bois Multi-Star | Plusieurs Tailles possibles | ZM150 (Frêne, 1,50M), S’ouvre dans un nouvel onglet

Aarke Bouilloire, 1,2 L, acier

Bouilloires, Bouilloire, 1,2 L, acier, Argent

37,99 €

NEREBY

NEREBY Barre support, bouleau, 60 cm, 0.27 kg

RINNIG

RINNIGÉgouttoir à couverts, 0.29 kg

4.99€

TILLBRINGARE

TILLBRINGAREPichet, verre transparent, 1.7 l, 0.96 kg

KLOCKREN

KLOCKRENPassoire, 5.0 l, 0.44 kg

15.99€

LENAST

LENASTAlèse, 80×200 cm, 0.37 kg

17.99€

POKAL

Prix baissé

POKALVerre, verre transparent, 35 cl, 0.82 kg

2€ x 2

HÖGAFFEL

HÖGAFFELCrochet mural , 0.3 kg

1,99€/3 pièces
19.9€

PEPPRIG

PEPPRIG Balai serpil essorage par pression, 12×37 cm, 0.72 kg

PEPPRIG

PEPPRIGLingette microfibre balai serpil, 12×37 cm, 0.07 kg

3.99€ 

JÄLL

JÄLL 3 Séchoir, intérieur/extérieur, blanc, 4.47 kg

29.97€

Prix par produit: 9.99€

PAPPIS

PAPPIS Boîte avec couvercle, brun, 25x34x26 cm, 0.33 kg

1.5€

FAGNING

FAGNINGRange-revues, beige-gris clair, 1.14 kg

9.99€

PEPPRIG

PEPPRIGKit de nettoyage, bleu/jaune, 1.34 kg

19.99€

ÅBÄCKEN

ÅBÄCKEN Embout brumisateur pour mitigeur, 0.06 kg

4.99€

SKOGSVIKEN

SKOGSVIKEN Porte-rouleau WC, noir, 0.19 kg

2.99€

TRAMPA

TRAMPA Paillasson, naturel, 60×90 cm, 3.35 kg

12.99€

RIKTIG

RIKTIG Crochet pour rideau, 20 pièces, 0.7 kg

19.95€

Prix par produit: 3.99€ 

RÄCKA

RÄCKA Tringle à rideau, noir, 70-120 cm, 0.6 kg

7.98€798€

Prix par produit: 3.99€

RÄCKA

RÄCKA Tringle à rideau, noir, 210-385 cm, 2.7 kg

17.97€

BETYDLIG

BETYDLIGSupport mural/plafond, noir, 1.8 kg

30€

Prix par produit: 2.5€

SYRLIG

SYRLIG Anneau rideau+clip+crochet, noir, 25 mm, 0.4 kg

39.9€

UDDNATE

UDDNATE Embouts, 1 paire, noir, 1.1 kg

29.95€

Prix par produit: 5.99€

ENHET

ENHET Étagère pivotante, anthracite, 40×21 cm, 0.87 kg

10€

ÅGOTNES

ÅGOTNES Matelas en mousse, ferme/bleu clair, 90×200 cm, 10.2 kg

139.98€

Prix par produit: 69.99€

FIXA

FIXAFixation console soutien plan trav, acier zingué, 0.57 kg

11.7€

Prix par produit: 3.9€

NISSEDAL

NISSEDALMiroir, blanc, 65×150 cm, 38.88 kg

239.96€

Prix par produit: 59.99€

RÄNNILEN

RÄNNILEN Siphon pour 1 bac d’évier, 0.98 kg

18€
Prix par produit: 9€

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adieu-a-mes-bottines

Adieu à mes bottines

Un adieu réfléchi à mes fidèles bottines

Aujourd’hui, j’ai pris une décision qui, malgré son apparente simplicité, porte en elle une signification importante. J’ai jeté mes bottines, des compagnes de route qui ont parcouru avec moi des centaines de millier de kilomètres. Ma satisfaction ne réside pas dans la débarrasser d’une vieille paire de bottines, mais dans le fait que je les ai poussées jusqu’au bout du bout.

Il y a quelque chose de libérateur dans le fait d’utiliser VRAIMENT les objets que l’on possède.

Ces bottines ont marché avec moi sur de multiples chemins. Elles m’ont accompagnée dans des aventures variées, traversant des paysages divers, et chaque usure sur le cuir portait le récit des chemins parcourus. Mais aujourd’hui, j’ai accepté que leur temps soit venu. Dans un monde qui prône souvent la nouveauté, je me suis fière de les avoir portées durant toutes ces années.

Le trou dans le cuir sur le dessus de la chaussure témoignage de milliers de pas que j’ai parcouru. Cette marque d’usure est le signe que je n’avais pas simplement possédé ces bottines. Au contraire, je les ai utilisées pleinement, les poussant jusqu’à leurs limites.

Chaque histoire a une fin, et pour mes bottines, c’était leur moment.

Elles étaient devenues irréparables, alors je me suis résignée à m’en séparer. Le geste de m’en séparer n’est pas anodin.
Ces bottines incarnent l’approche consciente de la consommation que j’ai adopté il y a 10 ans. Je suis fière de constater que je n’ai pas succombé à la tentation de la surconsommation. Ces bottines ont accompli leur mission, et c’est pourquoi j’ai choisi de les laisser partir avec gratitude.

À mesure que je navigue à travers la vie, je trouve une joie particulière à prolonger la vie utile de mes possessions.

Ce n’est pas simplement une question d’économie, mais une question de valeur et de principe. Je suis consciente que ma fierté à utiliser mes affaires jusqu’à l’usure totale s’inscrit dans un contexte de privilège. Je reconnais que pour beaucoup de personnes, cette pratique découle davantage d’une nécessité financière que d’un choix éclairé. Porter ses chaussures ou ses vêtements jusqu’au bout peut être une réalité inévitable pour ceux qui font face à des contraintes budgétaires importantes.

Cependant, cette prise de conscience ne m’empêche pas d’éprouver de la fierté. C’est une fierté teintée de responsabilité écologique, mais aussi marquée par la compréhension des privilèges dont je bénéficie. Je ne peux m’empêcher de penser que dans un monde où la surconsommation est souvent liée à l’abondance de moyens, il est crucial de réfléchir aux implications de nos choix de vie et de reconnaître les diverses réalités auxquelles font face ceux qui n’ont pas les mêmes privilèges.

Désormais, j’essaie de consommer moins et d’utiliser ce que j’ai déjà.

D’ailleurs, en cette ère où la seconde main devient de plus en plus populaire, je ne peux m’empêcher de réfléchir sur la véritable signification de la durabilité. Certes, acheter d’occasion est un pas dans la bonne direction, mais la surconsommation persiste. Les plateformes de seconde main, bien qu’elles offrent une alternative intéressante, peuvent parfois encourager également la surconsommation. Il est facile de se retrouver dans une spirale où la vente d’articles usagés devient une excuse pour acquérir de nouveaux objets. De plus, il est crucial de ne pas oublier l’impact carbone lié aux transports dans le cycle de la seconde main.

En conclusion, j’espère que cette histoire de bottine résonne en vous comme une invitation à réfléchir sur vos propres choix de consommation.

Également, il est impératif de reconnaître les privilèges dont nous bénéficions tout en célébrant chaque petite victoire dans notre quête de durabilité.

Alors, je vous invite à vous joindre à moi dans cette quête de durabilité. Interrogeons nos habitudes de consommation, valorisons chaque objet que nous possédons, et soyons conscients de l’impact de nos choix. Ensemble, adoptons une approche plus réfléchie, moins axée sur la surconsommation, et contribuons à créer un monde où la durabilité devient la norme plutôt que l’exception. Chaque geste compte ! Alors, faites des choix qui résonnent avec notre planète et les générations futures.

comprendre-lechec-un-apprentissage

Comprendre l’échec, un apprentissage

Le succès est souvent glorifié, tandis que l’échec est relégué au second plan, comme s’il était tabou. Pourtant, il est une partie intégrante du parcours de chacun. C’est une expérience qui peut sembler amère, mais qui peut également être incroyablement instructive.

1 – L’amertume de l’échec

Quand tu te retrouves face à un échec, les émotions sont souvent contradictoires. La frustration, la déception et même la colère peuvent prendre le dessus. C’est comme si tout ce que tu avais construit s’effondrait en un instant.

Mais c’est précisément dans cette amertume que réside une première leçon : il te met au défi de gérer ces émotions, de les comprendre et de les canaliser pour avancer.

2 – L’échec en tant que maître de vie

C’est comme un maître de vie sévère, mais juste. Il te confronte à tes limites, te pousse en dehors de ta zone de confort et te force à remettre en question tes approches.

Chaque échec est une opportunité d’apprendre, de grandir et de devenir plus fort. C’est un rappel que le chemin vers la réussite est rarement linéaire, mais parsemé d’obstacles et de défis.

3 – L’échec, la clé de la croissance personnelle

Savoir comment tirer des leçons de l’échec est la clé de la croissance personnelle. Chaque échec est un puzzle à résoudre, une énigme à déchiffrer. Tu dois analyser ce qui s’est passé, identifier les erreurs et les lacunes, puis élaborer un plan pour t’améliorer.

C’est un processus qui nécessite de la persévérance et de la patience, mais qui te permet de devenir plus compétent, plus résilient et plus confiant.

4 – Un catalyseur de réussite

L’échec, c’est le carburant de la réussite. C’est lorsque tu as connu l’échec que tu apprécies vraiment le succès. Chaque revers te rapproche un peu plus de ton objectif, car il te pousse à redoubler d’efforts, à être plus créatif et à prendre des risques calculés. C’est là que se trouvent les véritables opportunités de briller.

5 – Le chemin vers le triomphe

Accepter l’échec n’est pas une promenade de santé. C’est un voyage difficile, parfois douloureux, mais ô combien enrichissant. Tu seras confronté à des doutes, à des moments de découragement, mais c’est précisément lorsque tu te trouves au plus bas que tu as l’occasion de te relever avec une détermination renouvelée. Le chemin vers la réussite est sinueux, mais chaque échec est une étape sur cette route, une pierre précieuse sur ton chemin vers le triomphe.

Alors, que tu sois confronté à l’échec pour la première fois ou que tu aies déjà traversé cette épreuve à maintes reprises, souviens-toi que c’est un élément naturel de la vie. Ne le redoute pas, apprends à l’apprécier pour ce qu’il est : un professeur exigeant qui te guide vers une meilleure version de toi-même.

arretez-de-demander-cest-pour-quand-les-enfants

Arrêtez de demander : c’est pour quand les enfants

« Alors, quand est-ce que vous aurez des enfants ? » me demanda ma mère instantanément après m’avoir souhaité joyeux anniversaire et m’avoir rappelé qu’à mon âge elle en avait déjà deux !

Comme ça fait quelques années que je suis en couple et que mon conjoint est peut-être un peu plus vieux que moi, on nous demande souvent « Quand allez-vous avoir des enfants ? » de la part d’amis et de la famille, suivies d’une tentative étrange, de tenter de nous persuader d’en avoir … sous peu !

C’est quoi le problème avec cette fameuse question « Quand allez-vous avoir des enfants ? »

Je peux comprendre pourquoi les gens aiment poser cette question. Trouver un partenaire, se marier et avoir des enfants. C’est le chemin tout tracé qu’on nous avons appris à suivre depuis notre jeunesse.

Le problème, c’est que c’est impoli.
C’est envahissant.
C’est aussi présomptueux.

1) Car avoir des enfants est une affaire personnelle

Si quelqu’un veut des enfants ou non, c’est une décision de couple. Cela ne concerne personne d’autre.

Que vous soyez son meilleur ami ou un parent, vous ne devriez pas poser une question comme « Quand allez-vous avoir des enfants ? ». Tout d’abord vous supposez que la personne en veut alors que ce n’est peut-être pas le cas. Vous supposez également qu’elle veut aussi discuter de cela avec vous. Et ce n’est peut-être pas le cas non plus.

2) Avoir des enfants n’est pas le seul chemin vers le bonheur

Deuxièmement, chacun a son propre chemin dans la vie.

Ce chemin n’est pas le même pour tout le monde et c’est bien ainsi. Certaines personnes veulent des enfants tandis que d’autres non. Certaines pensent que d’avoir des enfants est la plus grande joie de la vie. C’est leur droit. Mais, d’autres considèrent les enfants comme un fardeau.

Avoir des enfants est une décision lourde de conséquence. C’est une décision qui aura un impact financier durable. C’est aussi une décision qui demandera beaucoup de temps, d’énergie aux parents. Tous ceux qui ont des enfants peuvent en témoigner. D’ailleurs de 0 à 18 ans, un enfant coute en moyenne 200 000 euros. C’est une sacrée somme d’argent que certains couples envisagent peut-être de dépenser différemment.

Également, il y a de nombreux avantages et désavantages à avoir des enfants

Pour certains couples, les désavantages sont parfois trop importants. C’est pourquoi ils n’envisagent pas de sacrifier autant de leur vie pour avoir des enfants.

Et à titre personnel je crois qu’il vaut mieux rester sans enfant plutôt que d’avoir des enfants pour le principe. Ou encore pour répondre à des critères sociétaux.

Supposer que tout le monde devrait avoir des enfants, simplement parce que certaines personnes pensent que d’avoir des enfants est formidable, est déplacé.

Il faut tenir compte des souhaits individuels de chacun.

Certaines personnes choisissent de ne pas avoir d’enfants pour pleins de raisons différentes :

  • Préférence personnelle :
    Certaines personnes ne ressentent pas le désir intrinsèque d’être parents. Ainsi ils préfèrent consacrer leur temps et leur énergie à d’autres aspects de leur vie.
  • Carrière et objectifs personnels :
    Pursuivre une carrière exigeante ou se concentrer sur des projets personnels peut rendre difficile d’équilibrer les responsabilités parentales.
  • Priorités financières : Élever un enfant peut être coûteux, et certaines personnes préfèrent consacrer leurs ressources financières à d’autres priorités.
  • Engagement envers d’autres responsabilités :
    Prendre soin d’autres membres de la famille, ou s’occuper de parents âgés peut occuper tout leur temps et leur attention.
  • Problèmes de santé : Des problèmes de santé préexistants peuvent rendre la grossesse ou l’éducation des enfants difficile voire impossible.
  • Contributions à la société :
    Certaines personnes trouvent leur épanouissement en contribuant à la société d’autres manières, comme le bénévolat, l’activisme ou la création artistique.
  • Préoccupations environnementales :
    Certains individus choisissent de ne pas avoir d’enfants pour réduire leur empreinte carbone et minimiser leur impact sur l’environnement.
  • Choix philosophiques :
    Des convictions personnelles ou philosophiques peuvent orienter certaines personnes vers une vie sans enfants, en accord avec leurs valeurs.
  • Équilibre de vie :
    Certaines personnes apprécient leur style de vie actuel. Ainsi ils ne souhaitent pas compromettre leur liberté, leurs voyages ou leurs loisirs en ayant des enfants.
  • Respect des limites personnelles :
    Reconnaître ses limites émotionnelles, physiques ou psychologiques et prendre la décision de ne pas avoir d’enfants pour préserver son bien-être.

Le fait de ne pas avoir d’enfants n’est pas un frein au bonheur.

Il a plein de façon d’être heureux. Je crois qu’il faut cesser de présenter le récit selon lequel il faut avoir des enfants pour être heureux. Également de nombreux parents ont souffert lorsqu’ils ont des enfants et réalisent que la réalité est loin de ce qu’on leur avait dit. Il y a des gens avec des enfants qui sont profondément malheureux. Tout comme il y en qui vivent des vies profondément épanouissantes et heureuses sans enfants. Il n’y a pas un seul chemin vers le bonheur. C’est à chacun de poursuivre ce qui les rend heureux.

3) Vous ne savez jamais ce que traversent les gens qui n’ont pas d’enfant.

Certaines personnes peuvent vouloir des enfants, mais elles rencontrent des problèmes de fertilité.

Cela peut rendre la conception et la naissance d’un enfant difficiles. Ces défis peuvent entraîner des difficultés émotionnelles et peuvent nécessiter des traitements médicaux spécialisés. Pour ces couples, les questions et les pressions liées à la parentalité peuvent être particulièrement douloureuses et stressantes. Pour certains, le parcours pour concevoir est également marqué par une série de fausses couches…

Et puis il y a des personnes qui ne peuvent pas avoir d’enfants en raison de problèmes génétiques, de maladies ou de problèmes avec leur système reproducteur.

Bref, pour toutes ces personnes entendre la fameuse question « c’est pour quand les enfants c’est juste remuer le couteau dans la plaie !

4) Tout le monde n’est pas en mesure d’avoir des enfants

Pour certains, avoir des enfants n’est tout simplement pas quelque chose qu’ils peuvent envisager en raison de leur situation dans la vie.

Certaines personnes peuvent manquer de ressources financières pour avoir des enfants.

Certaines personnes peuvent être confrontées à des problèmes de couple. Ainsi leur priorité est peut-être de travailler sur leur couple, avant d’avoir des enfants.

Certaines personnes peuvent être tellement accablées par la prise en charge de leurs personnes à charge qu’elles ne peuvent pas envisager d’avoir des enfants, du moins pas pour le moment.

Et puis il y a des personnes qui peuvent être confrontées à des problèmes de santé, des problèmes que vous ne connaissez pas et que vous ne pouvez pas voir.

De nombreux traitements médicaux peuvent être contre-indiqués en raison du risque tératogène (risque de malformation congénitale) pour le fœtus : épilepsie, lupus érythémateux, maladie inflammatoire chronique de l’intestin, maladies auto-immunes (comme la polyarthrite rhumatoïde), cancer, vih/sida, troubles psychiatriques, hypertension pulmonaire, hyperthyroïdie, sclérose en plaques, diabète de type 1 ou 2, maladies cardiaques, maladies infectieuses graves (comme la tuberculose).

Pour ces personnes, elles peuvent sembler être dans un endroit parfait pour avoir des enfants en raison de leur âge, de leur statut professionnel, etc. Mais la réalité est qu’elles ne le peuvent pas en raison de raisons très sérieuses et légitimes, et vous ne le savez pas. Alors abstenez-vous de poser des questions qui ne vous regardent pas !

5) Certaines personnes pourraient encore avoir besoin de réfléchir

Enfin, il y a des gens qui sont neutres à l’idée d’avoir des enfants.

Ces personnes ont besoin de temps pour y réfléchir, car avoir des enfants est une décision irrémédiable. Il n’y a aucune raison de supposer qu’avoir des enfants devrait être une décision automatique parce que vous entrez dans la trentaine !

C’est une décision qui changer ait votre vie pour toujours, ainsi que la vie de l’enfant que vous mettez au monde.

Mon expérience

Ça fait plusieurs années que l’on me pose cette question. Premièrement, je voulais profiter de ma vie et de couple avant de prendre une décision aussi sérieuse. Deuxièmement, mon conjoint et moi étions heureux de passer notre vie ensemble, juste tous les deux. Nous ne ressentions pas besoin d’avoir des enfants. Troisièmement, mon conjoint a aussi eu des traitements durant lesquels une grossesse était à proscrire. Pourtant, même durant cette période je continuais à être poussée à avoir des enfants, même ayant annoncé que grossesse ne pouvait avoir lieu sans risque pour le foetus.

  • « Alors, quand allez-vous avoir des enfants ? »
  • « Le bébé de cette personne est si mignon, n’est-ce pas ? Pourquoi ne vous dépêchez-vous pas de faire un bébé ? »
  • « Quand est-ce que ce sera votre tour ? » (En réponse à la nouvelle que quelqu’un d’autre venait d’avoir un bébé)

C’était comme si j’étais une machine à produire des bébés.

La décision d’avoir des enfants ou non

La décision d’avoir des enfants ou non est personnelle. C’est une décision complexe. C’est aussi une décision qui changera définitivement la vie du couple.

Ce n’est pas une décision dans laquelle on devrait être poussé parce que la mère veut des petits-enfants. C’est une décision de couple uniquement. C’est à eux de décider s’il veulent vraiment apporter une vie dans ce monde et s’ils sont prêts à surmonter touts les défis inhérents à ce processus.

Parce les gens qui posent les questions ce ne sont pas ceux qui s’occuperont du bébé 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Ce sera le couple.

Quant à ceux qui ne sont pas préparés et qui ont été poussés à avoir des enfants parce qu’on leur a dit que c’était la meilleure chose à faire, ils pourraient éventuellement éprouver des regrets en se retrouvant liés à une décision irrévocable. Il est crucial d’admettre que certaines personnes ressentent du regret après avoir eu des enfants, non pas à cause des enfants eux-mêmes, mais parce qu’elles n’étaient tout simplement pas prêtes pour cette responsabilité, que ce soit sur le plan financier, émotionnel ou mental. Tristement, ce sont les enfants qui subissent finalement les conséquences en vivant dans des environnements familiaux perturbés, exposés à la violence, à l’abus et à la colère.

Nous devons faire face à ces réalités et éviter de présenter la parentalité comme une solution universelle pour combler un vide existentiel ou résoudre les problèmes de la vie. Les choses ne s’améliorent pas miraculeusement du fait d’avoir des enfants ; au contraire, les défis préexistants ont tendance à s’accentuer car la responsabilité d’élever un enfant exerce une pression considérable sur la vie d’un couple. Interférer dans les projets de parentalité des individus et les pousser à prendre l’une des décisions les plus significatives de leur existence ne fera qu’accroître leur stress et pourrait même conduire certains vers la dépression.

Évitez de concevoir un enfant simplement pour échapper à la question, car après avoir eu le premier enfant, ces mêmes personnes vous demanderont quand vous prévoyez d’avoir le deuxième.


Quand vous demandez à quelqu’un quand il aura des enfants, vous ne savez pas ce que cette personne traverse.

  • Vous ne savez pas si elle essaie déjà d’en avoir.
  • Vous ne savez pas si elle a des problèmes de fertilité.
  • Vous ne savez pas si elle a perdu des grossesses à répétition.
  • Vous ne savez pas si elle veut des enfants.
  • Vous ne savez pas si elle a des problèmes de santé qui la rendent incapable d’avoir des enfants.
  • Vous ne savez pas si elle est en train de résoudre des problèmes personnels avec son conjoint.
  • Vous ne savez pas si elle est en train de se reconstruire après une rupture.
  • Vous ne savez pas si elle essaie déjà de se remettre d’une perte.

Au lieu de demander quand quelqu’un aura des enfants, respectez simplement son chemin de vie.

Chacun avance comme il l’entend. Si cette personne souhaite partager son plan de parentalité avec vous, elle le fera. C’est aussi son droit de garder cette information privée.

Mais arrêtez de supposer que tout le monde devrait avoir des enfants.

Respectez les choix et les vies des autres. Traitez les autres comme des êtres humains, pas comme des machines à bébés.

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Au revoir, ma vingtaine !

Un chapitre qui se ferme

Le rideau se ferme sur cette période mouvementée, cette décennie où l’on s’émancipe, où l’on apprend à voler de ses propres ailes. Adieu, la vingtaine, avec ses découvertes, ses épreuves, et surtout ses souvenirs mémorables. Durant ces années riches en expériences, j’ai vu le monde s’élargir devant moi.

Explorer l’inconnu : voyager et grandir tout au long de ma vingtaine

J’ai tracé des chemins sur des cartes, exploré des contrées lointaines. Les voyages m’ont enseigné que le monde est à la fois vaste et infiniment fragile. J’ai parcouru des noms de rues inconnues, goûté à des saveurs nouvelles, et laissé des morceaux de mon cœur dans beaucoup endroits bien trop éloignés.

Les horizons lointains : vivre à l’étranger à des centaines de milliers de kilomètres

Parmi les multiples facettes de ma vingtaine, il y a eu l’aventure audacieuse de vivre à l’étranger, à des centaines de milliers de kilomètres de chez moi. Dans un nouvel endroit qui est devenu mon chez moi. Cette expérience m’a offert un nouveau regard sur le monde et une profonde compréhension de la diversité culturelle. Les défis de l’adaptation m’ont poussé à devenir encore plus résiliente.

L’art de la solitude : vivre seule et se trouver

J’ai appris à vivre seule, à être ma propre compagnie. Les murs de mon chez-moi qui ont beaucoup changé durant cette décennie sont devenus mes piliers et mes alliés. En effet, durant ces dix dernières années, ma vie a été marquée par un véritable tourbillon de découvertes et de changements, symbolisé par un record de déménagements qui, je l’espère, restera inégalé. Oui j’ai déménagé dix fois en dix ans. Oui, j’ai déjà dit pleins de fois, que je cesserais de re-déménager.

Chaque déménagement a bien sur apporté son lot d’aventures, mais lorsque je regarde en arrière, je réalise que ce marathon de déménagements a façonné ma capacité d’adaptation, a renforcé ma capacité à me ré-inventer et à affronter tout ce que la vie peut me réserver.

À deux & en avant

Parmi tout ces déménagements, il y a eu celui pour aller vivre avec mon amoureux. Eh oui, au détour d’une rencontre fortuite, j’ai croisé une âme qui résonnait avec la mienne. Presque huit années se sont écoulées depuis, et notre voyage à deux continue. Ensemble, nous avons affronté de multiples défis, on a aussi célébré une multitude de réussites, et nous avons surtout construit un refuge d’amour.

Naviguer le monde du travail durant ma vingtaine

Durant ma vingtaine le monde du travail s’est aussi ouvert à moi. Ainsi j’ai exploré une variété assez impressionnante d’emplois.

Tantôt j’ai été gardienne d’enfants. J’ai aussi enfilé l’uniforme de serveuse, jonglant avec les demandes des clients et développant des compétences en communication. Mon parcours m’a également conduit à travailler en tant qu’infographiste, où la créativité et la précision étaient essentielles pour donner vie aux idées visuelles. J’ai aussi exploré l’univers exaltant de l’organisation d’événements de relations publiques, où j’ai appris à jongler avec les détails tout en maintenant une vision d’ensemble. Réaliser la communication visuelle pour une designer de mode pour la Fashion Week m’a permis de m’ immerger dans le glamour et la minutie de ce domaine créatif.

Mais il n’y a pas eu que des moments cool et sophistiqués : j’ai également été vendeuse de jeans dans une grande enseigne. Mais aussi j’ai été en charge des envois et retours de livres, un emploi répétitif voir mécanique. En tant qu’immigrée, j’ai débuté au bas de l’échelle, et cela m’a offert une perspective sur la valeur du travail et à façonner ma trajectoire professionnelle.

J’ai aussi su mettre mes convictions environnementales au coeur de mes emplois

J’ai œuvré aux cotés d’une association pour convaincre les individus de s’impliquer davantage en faveur de l’environnement a l’échelle de leur quartier. Cependant, j’ai rapidement compris que pour véritablement faire bouger les lignes, il fallait frapper à des portes plus hautes. Cela m’a conduit à travailler au sein d’une autre organisation environnementale visant à influencer les politiques gouvernementales au Québec et présente aux quatre (ou plutôt au seize) coins du Québec.

Finalement, j’ai rejoint mon conjoint qui est ainsi devenu également mon partenaire d’affaires, pour travailler à créer des sites web, fusionnant nos compétences pour aider les entreprises à s’épanouir en ligne.

J’ai donc su m’adapter avec aisance à une multitude d’environnements professionnels très divers.

En effet j’ai aussi bien travaillé en baskets à parcourir des kilomètres dans des entrepôts aux côtés de personnes issues comme moi de l’immigration, mais j’ai aussi revêtu des tenues soignées pour participer à des déjeuners en présence des ministres, et ajd je travaille depuis la maison souvent en étant souvent pas très habillée !

Ainsi, en listant ces emplois successifs, je réalise que chaque opportunité m’a permis de developper une vaste palette de compétences. En écrivant ces lignes je réalise que mon parcours professionnel durant ma vingtaine a presque été aussi rocambolesque que la quête de mon lieu d’habitation et en même temps sa représente bien ma vie durant cette période !

Suivre son instinct et avancer

Malgré tout, je n’ai jamais eu peur de quitter des emplois lorsqu’ils ne me convenaient plus. J’ai compris que ma valeur ne dépend pas d’une étiquette professionnelle, mais de ma capacité à évoluer et à m’épanouir. J’ai toujours suivi mes envies et mes passions. Et c’est ce qui me rend fière aujourd’hui !

L’équilibre financier : apprendre et s’épanouir

Cependant, il y a un aspect qui me laisse moins fière, et c’est ma gestion des finances personnelles… Ou plutôt la non gestion de mes finances personnelles! J’ai toujours suivi mes rêves, mes désirs et mes passions, peu importe les implications financières. Par conséquent, j’ai appris, parfois à mes dépens, à jongler avec la gestion de mes finances. À l’approche de mes 30 ans, avec un projet immobilier en perspective que je n’avais pas envisagé plus tôt dans ma vingtaine, je ressens parfois un léger regret d’avoir trop souvent dépensé sans compter.

Cependant, malgré les remords, je ne peux réellement pas dire que je regrette cette gestion désastreuse, voire parfois inexistante, de mes finances. Cette approche complètement freestyle m’a offert la possibilité de vivre une multitude d’expériences, créant ainsi plein de souvenirs inestimables à base de voyages impulsifs, de rencontres tardives inattendues et de moments spontanés.
Bien que je puisse maintenant percevoir les avantages d’une planification financière un peu plus avisée, je suis infiniment reconnaissante d’avoir dit OUI à la vie et d’avoir vécu tous ces souvenirs précieux.

D’ailleurs en côtoyant des amis qui ont des salaires annuels à 6 chiffres j’ai vite compris que l’argent ne garantissait pas le bonheur. La richesse va bien au-delà de simples chiffres. Elle s’exprime à travers la sécurité qu’elle offre, la liberté qu’elle procure et les choix qu’elle permet d’envisager. Bref, l’argent n’achète ni le temps de qualité, ni les amitiés et encore moins la santé. C’est pourquoi, je ne sacrifierais aucune de ces choses pour un salaire plus mirobolant.

C’est pourquoi mes aspirations ne gravitent toujours pas autour de l’acquisition de davantage d’argent. Je cherche simplement à construire un quotidien qui m’autorise à vivre pleinement, à explorer mes passions, à passer des moments précieux avec mon amoureux et mes proches, et à savourer chaque instant. Cette recherche s’ancre dans la conviction que la vraie richesse se trouve dans la simplicité.

Trouver ma source de joie :

À l’aube de mes trente ans, j’ai découvert ce qui me comble et m’épanouit profondément. Et cela n’a pas été une quête aisée, car au début de ma vingtaine, mes rêves étaient diamétralement opposés. Ils étaient imprégnés d’une quête insatiable de toujours plus. Plus de voyages, plus de chaussures, plus de vêtements, et ainsi de suite.

Pourtant, avec le temps, mes perspectives ont évolué de manière drastique. Aujourd’hui, mes aspirations sont opposées. Je désire vivre avec moins. J’ai pris conscience que l’essence du bonheur ne réside pas dans la possession matérielle, mais plutôt dans l’appréciation sincère de ce que j’ai déjà.

Vers de nouveaux horizons : du centre-ville au centre

J’ai aussi découvert qu’être en nature m’apaise et me recentre comme nulle part ailleurs. Cette réalisation m’a inspiré à redéfinir mon environnement. J’entreprends donc un nouveau chapitre de ma vie. En effet, après avoir goûté aux appartement luxueux, aux lumières et à l’énergie des grandes villes, je m’apprête désormais à changer de décor. Ma prochaine aventure m’emporte vers les confins de la nature, où le chant mélodieux des oiseaux remplace le brouhaha des voisins, les booms de la construction et les grondement des klaxons. Je m’apprête à embrasser les panoramas verdoyants, les doux murmures de la foret.

Suivre son cœur

Le mantra de ma vingtaine a longtemps été « on dormira quand on sera morte »… Mais j’ai compris que je tenais quand même bien à la vie. Alors je me suis un peu assagit. Et mon mantra s’est progressivement transformé vers « vivre sans regret », ou plus simplement « suivre mon cœur car il connait le chemin ». Et je sens que ce mantra continuera de guider dans ma trentaine. Ou bien alors peut-être qu’un nouveau viendra s’imposer. En tout cas j’ai hâte.

De nouvelles pages à écrire : adieu la vingtaine & bonjour, trentaine !

Je suis ravie de faire partie du club des trentenaires, car pour moi, vieillir n’a jamais été un big deal, ni une grande préoccupation.

J’ai arboré des cheveux blancs depuis mes 20 ans, et dix années plus tard, leur nombre a bien augmenté. Malgré les pressions sociales ou familiales, je les porte toujours fièrement. D’ailleurs en réalité, je n’ai jamais ressenti le besoin de les dissimuler. Aujourd’hui, je remarque également l’apparition de quelques rides sur mon front, et je les accueille aussi avec sérénité. J’ai conscience de la préciosité de la vie, ce qui me permet de mettre totalement de côté ces futilités. Les cheveux blancs et les rides ne sont que des détails insignifiants. Ils ne définissent en rien ma valeur, mon épanouissement ou ma capacité à apprécier chaque jour.

Bref, je me suis pas apeurée d’avoir 30 ans. C’est avec plaisir et sans regret que je dit adieu à la vingtaine, et bonjour à cette nouvelle aventure, à cette nouvelle décennie.

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Prise de conscience écolo : 10 ans après

Il y a dix ans, un moment marquant a ébranlé mes convictions et a profondément remis en question mon mode de vie. La catastrophe du Rana Plaza en 2013 a agi comme un puissant révélateur, m’ouvrant les yeux sur les conséquences dévastatrices de mes choix de consommation sur l’environnement. Cette prise de conscience a été le point de départ d’une transformation profonde et durable, qui a guidé mes décisions, mes habitudes et mes valeurs tout au long de la dernière décennie.

Aujourd’hui, alors que je regarde en arrière et évalue le chemin parcouru, il est frappant de constater à quel point cette catastrophe a fait évolué de nombreux aspects de ma vie. De la façon dont je choisis mes vêtements à la manière dont je me nourris, en passant par la manière dont je perçois mon rôle au sein de la planète a été façonnée par cette prise de conscience écolo.

Une décennie après, il est clair que la prise de conscience écologique a non seulement changé mes comportements, mais a également redéfini ma relation avec le monde qui m’entoure.

En 2013, suite à la catastrophe du Rana Plaza, j’ai été frappé(e) de plein fouet par la réalité des conséquences néfastes de mon mode de vie sur notre planète. Cet événement et plus particulièrement la photo « Final Embrace » de Taslima Akhter a été le déclencheur d’une transformation profonde de ma manière de consommer.

Dès lors, j’ai entrepris un changement radical, commençant par ma relation avec la mode dans un premier temps.

Il y a dix ans, j’ai décidé de transformer ma façon de consommer. Je me suis détournée des magasins de fast fashion et de ceux qui produisent à l’autre bout de la planète. Je me suis tournée vers des marques engagées qui privilégient la production locale.
Mais n’ayant pas un budget infini j’ai dû réduire considérablement mes achats mais aussi les repenser. Chose qui auparavant ne faisait pas partie de mon processus de réflexion avant achat. Pour ne pas me sentir privée, j’ai instauré une règle simple : un vêtement neuf par an. Le reste en seconde main. Cela me permettait de répondre à mes envie de consommation tout en encourageant des entreprises issues de l’économie circulaire.

Aujourd’hui, dix ans plus tard, je me rends compte que j’ai complètement tourné le dos à ce mode de surconsommation. « Faire du shopping » ne fait plus partie de mes habitudes, et je n’éprouve aucune nostalgie à cet égard. Les règles que je m’étais fixées ont agi comme un processus de désintoxication, me permettant de me libérer des schémas de consommation nuisibles.

Cette transformation a marqué un changement profond dans ma perception de mes besoins et priorités.

Au fil du temps, cette prise de conscience s’est progressivement étendue à d’autres aspects de ma vie, toujours animée par la volonté constante de faire mieux, d’en faire plus. Pourtant, il m’a été difficile de ne pas être trop dure envers moi-même, de ne pas me juger constamment pour ce que je percevais comme des insuffisances. Cette rigueur a par exemple influencé mon choix de ne jamais aborder les sujets du véganisme ou du végétarisme sur ce blog.

Les doutes m’assaillaient fréquemment. Est-ce que mes petits gestes sont suffisants ? Surtout, je me suis souvent sentie coupable de ne pas être irréprochable en matière d’écologie.

Peut-être que vous vous retrouvez dans cette situation…Si c’est votre cas, sachez que les écologistes ne seront jamais parfaitement exemplaires, et ce n’est pas une tare. Pourquoi ? Parce qu’il est tout simplement impossible d’atteindre une parfaite cohérence dans chacune de nos actions.

Que ce soit prendre l’avion, ne pas adopter les toilettes sèches, consommer de la viande, céder à la fast-fashion… Toutes ces actions, même vues d’un œil critique, ne vous excluent pas automatiquement du cercle des écolos. L’essentiel réside dans votre contribution, à votre échelle, à la préservation de notre planète. Les paradoxes qui m’habitent encore sont nombreux. Éviter les sodas mais craquer parfois pour du chocolat. Économiser l’eau en me brossant les dent tout en appréciant un bon bain. Utiliser des cotons réutilisables mais tout en les lavant en machine… La liste est longue. Ces contradictions font partie de ma réalité. Toutefois, elles ne remettent pas en question mes convictions et engagements en faveur de l’écologie.

Ainsi, rappelez-vous que chaque action compte et amène la réflexion autour de vous. Alors pas besoin d’atteindre la perfection, car c’est le chemin parcouru qui importe vraiment.
Que vous privilégiiez le covoiturage tout en prenant un Uber le soir, que vous réduisiez vos déchets même si vous utilisez encore des mouchoirs en papier, ou que vous préfériez les produits locaux tout en ayant un faible pour le chocolat… Peu importe ! Chacune de ces décisions reflète votre engagement envers la préservation de notre planète. L’écologie est une quête d’amélioration, et chaque geste contribue à faire une différence.

Toutefois, tous les écogestes ne se valent pas.

Certains sont plus efficaces que d’autres pour le climat :

Il est évident que certaines actions ont un impact plus significatif que d’autres pour limiter les changements climatiques.

Par exemple les déplacements en avion ont une empreinte carbone considérable. Cette empreinte augmente à mesure que la distance parcourue s’allonge.

D’autres gestes du quotidien, accessibles à chacun, se révèlent puissants pour freiner le changement climatique. Réduire sa consommation de viande, par exemple, a un impact positif majeur. De même, adopter une approche réfléchie vis-à-vis de nos achats en limitant l’achat d’objets neufs contribue significativement à la réduction des déchets et de la production polluante.

De plus, repenser notre relation à la voiture individuelle peut également faire une grande différence. Opter pour les transports en commun, le covoiturage ou même le vélo diminue l’empreinte carbone liée à nos déplacements.

Une autre facette de l’écologie consiste à faire des choix éthiques dans nos activités financières. Choisir une banque éthique évite de financer des activités polluantes. Cela contribue à orienter les ressources financières vers des initiatives plus durables et respectueuses de l’environnement.

Bref, une décennie plus tard, je suis fière du chemin entrepris. J’essaie de faire de mon mieux. Et même si ce n’est pas parfait, c’est mon maximum à l’instant.

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Le fameux « cap des trente ans »

Voilà, c’est fait. J’ai franchi le seuil de cette étape tant évoquée : la trentaine.

Pourtant, je ressens cette appartenance au club des trentenaires depuis ma vingt-neuvième année. Cette année charnière avant le « cap », où l’on te rappelle inlassablement que bientôt tu souffleras tes trente bougies. On te demande si tu es prête pour « le début de la fin », comme si les trente ans sonnaient le glas d’une jeunesse insouciante.

Mais est-ce vraiment cela, avoir trente ans ?

Pour certains, c’est synonyme de grandir, tandis que pour d’autres, c’est le signe de vieillir. Est-ce qu’une fois franchi ce cap, nous sommes condamnés à renoncer à notre part d’enfance ? Devrions-nous impérativement adopter un comportement adulte, ne jamais poser nos coudes sur la table, rester droits en toute circonstance, dire toujours merci et sourire à toute personne croisant notre chemin ?

Pour d’autres, avoir trente ans signifie entrer dans le moule préétabli.

C’est se conformer à ce que la société attend d’une personne à cet âge. Il existe des règles, bien que l’on ignore souvent qui les a édictées. Enfreindre ces règles, c’est prendre le risque d’être regardé de travers. Ça fait déjà cinq ans que ma mère me parle inlassablement de devenir grand-mère.

Comme j’ai la chance d’être en couple depuis près de 8 ans, j’ai le privilège de devoir répondre à la fameuse question : « Alors, et vous… c’est pour quand ? » .
Chaque réunion de famille se transforme en un jeu de devinettes, où chaque invité essaie de deviner que vous avez forcément une nouvelle à annoncer. Ma belle soeur a déjà cru deux fois que j’étais enceinte ou que je lui annonçait une grossesse !!
La pression est palpable, toute la table est suspendue à vos lèvres. Si ce n’est pas un mariage ou une grossesse vous décevez l’assemblée. Parce qu’à trente ans, il serait grand temps de franchir une étape majeure, n’est-ce pas ?

C’est incroyable comme l’étape des trente ans est symbolique.

On semble avoir un billet pour un package bien spécifique : bébés, fiançailles, prêt immobilier. Faut-il réellement suivre un rythme préétabli, une chronologie où avoir des enfants plus tard que ses amies serait une faute impardonnable ? Ne pas se conformer au rythme des autres équivaudrait-il à décevoir son entourage et à faire preuve d’égoïsme ?Pourquoi culpabiliser les couples qui ne se sentent pas prêts à écrire cette nouvelle page de leur vie ? Chacun avance, évolue et envisage l’avenir à sa manière.

Bref, laissez les trentenaires en paix !

J’espère que cela résonne en vous, que vous approchiez de la trentaine ou que vous ne l’ayez pas encore atteinte. J’avais envie de partager ces réflexions ici, car finalement, avoir trente ans n’est pas si dramatique, n’est-ce pas ?

Et vous, ce cap des trente ans, qu’en pensez-vous ?

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Le camping pour créer de beaux souvenirs

Le camping, est une opportunité de créer de beaux souvenirs. C’est un voyage vers l’essentiel, une évasion du rythme effréné de la vie quotidienne, et une invitation à vivre des moments précieux avec ceux qui nous sont chers, qu’il s’agisse de la famille, des amis ou même de nous-mêmes. À travers le crépitement du feu de camp, les éclats de rire, les découvertes et les défis surmontés, le camping nous offre un terrain fertile afin de tisser des liens et forger des souvenirs inoubliables.

Échapper à l’ordinaire

Lorsque nous décidons de partir en camping, nous faisons bien plus que simplement choisir une destination. Nous choisissons de nous éloigner de l’ordinaire, de la routine monotone et des contraintes de la vie moderne. C’est un pas audacieux vers une aventure imprévisible, où chaque journée apporte son lot de découvertes et de surprises. En laissant derrière nous les écrans, les notifications et les distractions constantes, nous nous ouvrons à un monde de possibilités où la spontanéité règne en maître. Ces moments hors du temps, passés dans la simplicité de la nature, deviennent des souvenirs chéris qui nous rappellent la beauté de la vie sans artifices.

Feu de camp et partage

L’un des charmes indéniables du camping réside dans la chaleur réconfortante d’un feu de camp. Autour des flammes dansantes, les visages s’illuminent tout autant que les histoires qui se dévoilent. Les discussions prennent une saveur particulière, empreinte de complicité et d’intimité. Les anecdotes, les rires et les moments partagés autour du feu deviennent des trésors précieux qui nourrissent notre lien avec nos proches. Les guimauves qui dansent au bout des bâtons sont bien plus que de simples friandises, ce sont des symboles de joie et de connexions profondes.

Camper nous enseigne l’art de vivre en harmonie avec la nature.

Nous apprenons à nous adapter aux conditions changeantes, à nous familiariser avec les éléments et à apprécier les petits détails qui nous entourent. Chaque matin, le chant des oiseaux devient une mélodie apaisante qui nous invite à embrasser la journée avec gratitude. Les couchers de soleil peignent le ciel de teintes éblouissantes, tandis que les nuits étoilées éveillent en nous un sentiment d’émerveillement face à l’infini. En revenant à l’essentiel, nous découvrons que les moments les plus simples sont souvent les plus précieux.

Défis et accomplissements

Le camping ne manque pas de défis, qu’il s’agisse de monter une tente, de cuisiner en plein air ou d’emprunter des sentiers inconnus. Chaque défi surmonté, petit ou grand, devient alors une source de fierté et de confiance en soi. Ces moments d’accomplissement laissent ensuite une empreinte durable dans notre mémoire, nous rappelant que nous sommes capables de relever des défis et de nous adapter à des situations nouvelles.

Le camping nous ramène ainsi à l’essence même de la vie, à travers la contemplation de ce qui nous entourent. Nous nous émerveillons devant la diversité des paysages, la symphonie des bruits de la nature ainsi que la simplicité des moments partagés. Chaque randonnée, chaque lever de soleil et chaque instant de quiétude au bord d’un lac nous rappellent que la vie est une aventure à savourer pleinement.

Les souvenirs de nos aventures en camping ne s’estompent pas avec le temps, bien au contraire. Ils deviennent des histoires que nous racontons, des anecdotes qui nous font sourire et des leçons de vie qui nous guident. À travers ces souvenirs, nous laissons une trace indélébile de notre passage dans le paysage de la vie.

En fin de compte, le camping est bien plus qu’une simple aventure en plein air. C’est une opportunité de créer de beaux souvenirs !

En nous éloignant du tumulte de la vie moderne, nous avons la chance de ralentir, de nous reconnecter avec nous-mêmes et avec nos proches, et de vivre des expériences mémorables. Alors, que vous soyez en train de monter votre tente pour la première fois ou que vous soyez un campeur chevronné, souvenez-vous que chaque moment passé en camping est une occasion de créer de beaux souvenirs.

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Cuisiner en camping sans électricité ni frigo

Lorsque je me prépare pour une aventure en plein air, loin des conforts de la vie moderne, une question cruciale se pose toujours : quels aliments emporter pour assurer des repas nourrissants et délicieux tout au long du voyage, sans avoir recours à un réfrigérateur ?

Cuisiner en camping sans électricité ni frigo demande une planification soigneuse et des choix judicieux en matière d’aliments.

Dans cette quête de praticité et de saveurs au cœur de la nature, je découvre un assortiment d’aliments indispensables qui résistent vaillamment à la chaleur estivale ou aux soirées fraîches autour du feu.

Lorsque vous partez en camping sans accès à un réfrigérateur, il est important de choisir des aliments qui ne nécessitent pas de réfrigération et qui sont suffisamment stables pour être conservés à température ambiante pendant un certain temps.

Voici une liste d’aliments indispensables pour le camping sans frigo :

Aliments secs :

  • Pain ou pain pita
  • Craquelins ou biscuits
  • Céréales
  • Riz, pâtes, quinoa
  • Flocons d’avoine

Conserves et produits en conserve :

  • Légumes en conserve (maïs, haricots, petits pois, etc.)
  • Fruits en conserve (ananas, pêches, etc.)
  • Soupes en conserve
  • Poissons en conserve (thon, saumon)
  • Viandes en conserve (poulet, saucisses)

Produits séchés :

  • Fruits séchés (raisins, abricots, bananes, etc.)
  • Viandes séchées (bœuf séché, jerky)
  • Légumes séchés
  • Légumineuses séchées (haricots, lentilles)

Snacks et barres énergétiques :

  • Noix et graines (amandes, noix de cajou, graines de tournesol, etc.)
  • Barres de céréales ou barres énergétiques

Produits en conserve stérilisés :

  • Lait concentré sucré ou lait évaporé
  • Condiments en conserve (cornichons, olives)

Assaisonnements et épices :

  • Sel, poivre, épices en sachet
  • Sachets de ketchup, moutarde, mayonnaise

Huiles :

  • Huile d’olive, huile végétale

Produits non laitiers :

  • Beurre d’arachide, pâte à tartiner

Boissons :

  • Eau potable en quantité suffisante (vous pouvez apporter des bouteilles réutilisables)
  • Thé, café instantané, chocolat en poudre

Aliments emballés individuellement :

  • Fromage à pâte dure (parmesan, cheddar)
  • Biscuits, gaufrettes, barres chocolatées
  • Sachets de soupe instantanée

Assurez-vous de stocker correctement ces aliments dans des contenants hermétiques pour éviter les contaminations et les fuites. N’oubliez pas de respecter les réglementations locales en matière de conservation des aliments et de gestion des déchets, et d’éviter les aliments qui pourraient facilement se gâter sans réfrigération prolongée.

En fin de compte, ma quête pour cuisiner en camping sans électricité ni frigo m’a révélé une chose essentielle : la simplicité peut être incroyablement satisfaisante. En utilisant des aliments simples mais astucieusement choisis, j’ai découvert comment créer des repas qui comblent la faim tout en éveillant mes papilles. Le riche parfum d’une soupe mijotée au coin du feu, le croustillant réconfortant d’un biscuit au beurre d’arachide, et la chaleur d’une tasse de thé partagée avec des amis sous les étoiles – tous ces moments ont pris une nouvelle signification. Cuisiner en camping sans les commodités modernes m’a permis de me connecter davantage à la nature, à moi-même et aux plaisirs simples de la vie. Alors, que l’aventure continue, que le feu crépite et que les saveurs s’épanouissent, car avec les bons aliments et un esprit ouvert, chaque repas en plein air devient une célébration mémorable.

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Bien manger en camping

Le camping est une aventure en plein air très appréciée, que ce soit en famille, entre amis ou en couple. Cependant, il ne s’agit pas seulement de planter une tente et de profiter de la nature. L’un des défis les plus courants lors d’un séjour en camping est de bien manger tout en étant limité en termes d’espace, d’équipement et de réfrigération. Dans cet article, nous vous proposons des solutions simples pour relever ces défis et des recettes délicieuses pour des repas équilibrés et savoureux en camping.

Voici quelques idées de recettes de « One Pot » que vous pouvez préparer pour bien manger en camping avec des ingrédients qui ne nécessitent pas de réfrigération :

One Pot Riz Mexicain :

Ingrédients :
  • Riz (pré-cuit ou à cuisson rapide)
  • Haricots en conserve (noirs ou rouges)
  • Maïs en conserve
  • Tomates en conserve (ou sauce tomate)
  • Épices mexicaines (cumin, paprika, chili en poudre)
  • Oignon en poudre (ou oignons séchés)
  • Bouillon de légumes en cube (ou en poudre)
  • Eau
  • Optionnel : coriandre fraîche pour garnir

One Pot Curry de Lentilles :

Ingrédients :
  • Lentilles corail (pré-cuites ou à cuisson rapide)
  • Lait de coco en conserve
  • Curry en poudre
  • Curcuma en poudre
  • Gingembre en poudre (ou gingembre frais râpé séché)
  • Ail en poudre
  • Bouillon de légumes en cube (ou en poudre)
  • Eau
  • Optionnel : épinards ou légumes verts

One Pot Couscous aux Légumes :

Ingrédients :
  • Couscous (pré-cuit)
  • Pois chiches en conserve
  • Légumes en conserve (carottes, pois, haricots verts)
  • Épices (cumin, paprika, coriandre en poudre)
  • Bouillon de légumes en cube (ou en poudre)
  • Eau bouillante

One Pot Pâtes à l’Ail et à l’Huile :

Ingrédients :
  • Pâtes (linguine, spaghetti, penne, etc.)
  • Ail en poudre (ou ail séché)
  • Huile d’olive
  • Flocons de piment rouge (optionnel)
  • Bouillon de légumes en cube (ou en poudre)
  • Eau
  • Persil frais (si disponible) pour garnir

One Pot Quinoa Méditerranéen :

Ingrédients :
  • Quinoa
  • Poivrons en conserve
  • Olives noires ou vertes en conserve
  • Tomates séchées (réhydratées dans l’eau chaude)
  • Épinards (frais ou surgelés)
  • Herbes méditerranéennes (origan, basilic, thym)
  • Bouillon de légumes en cube (ou en poudre)
  • Eau
  • Feta émiettée pour garnir (optionnel)

One Pot Chili Végétarien :

Ingrédients :
  • Haricots rouges en conserve
  • Maïs en conserve
  • Poivrons en conserve (ou frais si possible)
  • Tomates en conserve (ou sauce tomate)
  • Oignon en poudre (ou oignons séchés)
  • Chili en poudre
  • Cumin en poudre
  • Bouillon de légumes en cube (ou en poudre)
  • Eau
  • Optionnel : coriandre fraîche pour garnir

Ces recettes sont conçues pour être simples à préparer en camping en utilisant un seul récipient et des ingrédients qui ne nécessitent pas de réfrigération. Assurez-vous d’adapter les temps de cuisson en fonction de votre source de chaleur (réchaud portatif au gaz, feu de camp, etc.). Profitez de ces repas délicieux et pratiques pendant votre séjour en plein air !