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Quelle est la véritable influence des blogueurs et influenceurs?

Les blogueurs d’aujourd’hui semblent très loin des débuts du blogging…

Dans les années 2000–2010 : les blogueurs ont commencé à bloguer pour exprimer un point de vue autour de sujets qui étaient souvent sous ou mal représenté par les médias traditionnels. Ils étaient diversifiés, authentiques et très divertissants.

Les thématiques abordées par ces derniers étaient larges, elles couvraient aussi bien les tendances insolites comme le crochet, le Kawaii, le wax, et bien d’autres…souvent sous forme de journaux intimes anonymes.

Aujourd’hui l’anonymat des débuts d’internet semble bien loin! 

En effet, les blogueurs qui autrefois étaient discrets ou anonymes se retrouvent dorénavant sous le feu des projecteurs. Les pionniers comme Garance Doré ou Scott Schuman (celui qui est derrière le blogue The Sartorialist) sont devenus de véritables vedettes des médias sociaux. Ces blogueurs sont devenus des véritables influenceurs.

Si autrefois c’étaient des outsiders du milieu de la mode, aujourd’hui ils sont devenus des icônes à part entière sur les médias sociaux. Ainsi désormais les marques leur accordent une place importante. Et ceux sont eux qui siègent aux premiers rangs des défilés. Outre cet exemple démonstrateur, la plupart des enseignes ont tissé, au fil des années, des liens solides avec les blogueurs devenus de véritables influenceurs. Les marques ont bien compris, et saisis, le rôle et l’influence que ces personnalités avaient sur leurs communautés. Ainsi elles soignent la relation qu’elles entretiennent avec eux. Elles leur accordent volontiers divers cadeaux, invitations, privilèges et toute sortes de partenariats. Mais avec le temps la relation entre les blogueurs et les marques a évolué. Est-ce que ce changement a transformé l’univers du blogging? L’âge d’or des blogues est-il révolu?

Alors le blogue est-il mort?

Les blogues de mode sont ceux qui ont connu l’ascension la plus fulgurante. En effet, ils apportaient quelque chose de frais, et de nouveau à un univers jusque-là opaque. Les blogues par leurs regards inédits ont révolutionné le monde de la mode, en publicisant les défilés, jusque là hermétiquement fermés au public. Ils se sont même souvent attiré la jalousie et la convoitise, des rédactions de journaux traditionnels. Bref, les blogues de mode ont grandement contribué à démocratiser la mode, en partageant leur regard, et leurs bons plans…

Mais à force de flirter de près avec les grandes enseignes, la sincérité et l’intégrité des blogueurs sont  de plus en plus remis en cause. Et les blogueurs se retrouvent alors pointés du doigt, pour leur manque d’objectivité.

Enfin si autrefois les blogueurs démocratisait un milieu opaque, désormais, ils s’affichent tous avec les vêtements et des sacs de maisons de luxe, qui sont inaccessibles pour le commun des mortels. Alors si autrefois, les blogueurs étaient comme vous et moi, aujourd’hui il semblerait qu’ils se soient rangés du côté des enseignes.

Où est passé le regard critique et distancé des blogueurs? 

Il suffit d’analyser le web site de Garance Doré pour constater l’évolution du milieu. Elle photographiait autrefois les modeuses qu’elle admirait dans la rue. Aujourd’hui les femmes qui sont photographiées sur son blogue, et sur ses réseaux sont ses amies. Les marques qui l’a faisait rêver, et qui lui paraissaient inabordable font désormais partie de son quotidien, et jonchent les pages de son site web.

Cette ascension et ce genre de succès story sont au cœur des médias. 

Bien que ce type d’aboutissement reste tout de même rare dans le milieu, il fait rêver de nombreuses personnes. Ainsi, chaque jour les blogueurs sont de plus en plus à se lancer dans l’aventure du blogging.

Cependant, aujourd’hui les personnes lancent leur blogues le font dans le but, non pas de partager leur point de vus, mais uniquement dans l’espoir de pouvoir un jour flirter avec les maisons de luxes dont elles rêvent tant.

Les blogues de mode se sont également démocratisés grâce aux réseaux sociaux. 

En effet, quoi de plus rapide aujourd’hui que de créer un compte instagram, une page Facebook, ou même un compte Twitter. Tout cela n’a jamais été aussi facile et accessible qu’aujourd’hui.

Les médias sociaux ont-ils pris le relais? 

Les réseaux sociaux permettent de partager et de diffuser rapidement des informations, ainsi pourquoi les lecteurs (potentiels) prendraient-ils le temps d’aller lire un blogue quand ils peuvent voir et lire un contenu semblable sur les médias sociaux?

Et si les réseaux sociaux étaient devenus des blogues à part entière? 

Les plateformes comme Twitter ou Instagram sont souvent considérées comme des espaces de micro-blogging, alors dans ce contexte quelle est la valeur ajoutée d’un blogue?

Aujourd’hui la question de la valeur ajoutée d’un blogue, est relativement peu prise en compte, car la principale chose, qui importe les marques c’est le nombre d’abonnés.

C’est dommage à mon sens, car la valeur ajoutée d’un blogue est pourtant tangible. Mais de nombreux blogueurs ne la perçoivent pas. Car lorsqu’on blogue il faut savoir être patient avant de percevoir le fruit de son travail. Or sur les médias sociaux, c’est l’inverse, c’est immédiat. On poste une photo et boom les likes et les commentaires fusent. Les réseaux sociaux permettent ainsi d’acquérir un « succès » plus rapide. Et aujourd’hui c’est les gens comme les marques sont à l’affut de cette immédiateté.

Cependant, les réseaux sociaux et le blogue sont deux entités complémentaires, pour qui c’est les utiliser à bon escient.

Il faut savoir percevoir la relation entre « le temps court » des tweets, et du flux des perpétuelles actualisations des statuts sur les médias sociaux, et le « temps long » — les articles publiés, couchés « sur papier » qui paraissent sur internet. L’un a une durée de vie de quelques heures, que l’autre est pérenne.

C’est pourquoi le blogging n’est pas en voie de disparaitre.

De plus, les réseaux sociaux c’est éphémère.

On n’est jamais à l’abri, de la disparition d’un réseau, comme on l’a vu pour MySpace, MSN… et bien d’autres.

Alors que l’avenir de la plupart des plateformes comme Facebook, Instagram ou twitter, demeurent incertaines, le blogue, lui est une plateforme indépendante, dont les auteurs sont les propres chefs décisionnels.

De plus, l’instantanéité des réseaux fait que le post est perçu, puis il est perdu dans un fil d’actualité qui ne cesse de s’actualiser. Alors que les articles de blogue eux sont référencés et une recherche sur Google les ramène sans cesse, vers ce même contenu.

Enfin, un blogue nous permet d’avoir de grandes libertés.

Sur un blogue, tu peux tout customiser : le fond, la mise en page, les couleurs… Alors que sur Instagram, (comme sur Twitter ) tout est standardisé par la plateforme. Le photo de format est carré et le  feed doit être homogène. ( pour ne pas se faire pénaliser par l’algorithme.)

Instagram est un réseau social qui a pris une énorme importance ces dernières années, au point que les marques s’y intéressent exagérément. On ne me demande plus au blogueurs tu peux faire un article sur ton blogue, on me demande tu peux faire un post Instagram?

Mais ces influceurs qui misent tout sur les réseaux sociaux ont-ils tords?

Je ne crois pas, car les marques ne demandent toujours en première instance les nombres d’abonnés. Cependant, elles ont tords…

Car l’influence, c’est beaucoup plus qu’un nombre d’abonnés. 

Et si les marques se détournaient des grandes vedettes des réseaux sociaux au profit des micro-influenceurs?

Lentement mais sûrement, ces outsiders que sont les micro-influenceurs sont en train de grignoter leur part du gâteau du marketing d’influence. Mais elles sont encore trop peu de marques à explorer les opportunités que représentent les micro-influenceurs.

Les micro-influenceurs, c’est qui et c’est quoi?

Il s’agit de profil de personnes lambda, comme vous et moi, mais qui ont la particularité d’être actives sur les réseaux sociaux. Ainsi elles ont rassemblé une grande partie de leurs amis (et éventuellement quelques curieux de passage) autour d’eux.

Mais pour quelles raison vouloir faire appel à Monsieur ou Madame Tout Le Monde?

Micro-influenceurs = maxi-engagement : 

En effet, cela peut sembler absurde, mais bien souvent, les comptes qui comptent moins d’abonnés ont un engagement supérieur.

Les micros influenceurs interagissent plus avec les leurs abonnés. 

Ayant moins d’abonnés, ils sont d’autant plus susceptibles d’être proches de leur communauté. C’est certainement l’une des raisons qui expliquent le fort taux d’engagement de leurs communautés.

On peut aussi expliquer leur fort taux d’engagement, par le fait que l’image que les micro-influenceurs renvoie n’est pas détériorée par une surexposition. Ainsi, ils écrivent et postent ce qui leur plait de façon naturelle et authentique. Ils ont une activité professionnelle à coté, et ainsi il ne dépendent pas de leur contrats publicitaires. Ainsi si un micro-influenceur accepte un partenariat, il aura plus de chance de le faire car il aime le produit, et non car il est un peu limite du coté des finances ce mois-ci.

Enfin, les micro-influenceurs sont moins demandés et donc ils ont encore leur intégrité ainsi que la totale confiance de leur communauté alors convaincue de lors authenticité. C’est sans doute cela qui explique que les petits influenceurs ont un taux d’engagement organique supérieur à ceux qui sont devenus des personnalités publiques.

Par exemple Kim Kardashian a un engagement organique d’environ 1,5 % alors que de petits influenceurs atteignent des taux d’engagement bien supérieurs, qui varient entre 5 à 15 % environ.

Voici un petit tableau basé sur le taux d’engagement moyen en fonction du nombre d’abonnés. Il met en avant pourquoi  les marques, devraient davantage faire appel à des petits influenceurs.

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Et vous comment voyez-vous l’avenir du blogging et des réseaux sociaux?

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Alméria : catastrophe sociale et environnementale

La province d’Alméria – Un monde sous cellophane

Dans la province espagnole d’Alméria, entre la côte andalouse et les montagnes, le territoire abrite plusieurs hectares de serres. L’étendue serait tellement immense que cette mer de plastique serait même visible depuis l’espace. Le photographe allemand Bernhard Lang a survolé le secteur afin de prendre de la hauteur pour constater l’entendue de ces serres.

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Qu’est-ce ces immenses étendues blanches abritent?

À Alméria, on cultive toute l’année des fruits et des légumes. Ils sont destinés à être exportés à travers l’Europe et le reste du monde. Il y a près de 35000 hectares de serres.

Pourtant, si on regarde de plus près ce qui se cache derrière les rideaux de plastique qui recouvrent la région, la réalité n’est pas belle à voir. Ainsi, voici ce que ces bâches dissimulent et engendrent : assèchement des nappes phréatiques, pollution à cause de l’utilisation massive d’engrais chimiques, et surtout de nombreux travailleurs immigrés…

L’étendue de ces serres de production à d’importantes conséquences écologique :

La trop grande concentration des serres agricoles à Almeria, a conduit à l’épuisement des nappes phréatiques :

Cet important groupement de serres, demande des grosses ressources en eau. Au fil de années, la région d’Almeria a entraîné l’assèchement des nappes phréatiques. Cet assèchement accroît la désertification de la région.

De plus, les sols sont pollués à cause de  d’utilisation d’engrais, de pesticides et de fongicides.

La photo ci dessous, montre comment en 30 ans les serres de plastique ce sont implantés dans la région au détriment de la faune et de la flore.

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Les migrants : une main-d’œuvre bon marché :

Les agriculteurs emploient de nombreux migrants et sans-papiers. On estime qu’il y aurait entre 40000 et 80000 travailleurs illégaux dans les serres. Cependant, il est très difficile d’estimer le nombre exact d’ouvriers agricoles qui travaillent réellement sous ces bâches de plastique, étant donné qu’une forte proportion de ces travailleurs ne disposent pas de papiers.

Un marché du travail dominé par la loi de l’offre et de la demande :

De nombreux agriculteurs ont recours à des personnes migrantes, cela leur permet de remplacer leurs ouvriers comme ils le souhaitent. D’ailleurs à Alméria, pour trouver du travail, les migrants et les sans-papiers arpentent chaque jour les ronds points de la ville aux heures matinales. Les patrons viennent en voitures et observent la capacité physique des migrants, c’est ainsi que se fait le recrutement.

Les conditions de travail de ces derniers s’apparentent presque à de l’esclavagisme :

À Alméria, les employeurs ne respectent pas le droit du travail. Les travailleurs dénichent du travail pour la journée uniquement. (Enfin, pour ceux qui ont la chance de travailler… ) et le salaire journalier oscille entre 30 à 34 euros la journée de 8 h. Ce qui est largement en dessus du salaire minimum légal en Espagne.

Les agriculteurs choisissent d’employer des migrants car connaissent souvent pas leurs droits.

Et même s’ils les connaissent ils ne sont pas en mesure de les défendre. En effet, malgré les lois qui pourrait les protéger, les migrants craignent de se faire virer, ou renvoyer dans leurs pays d’origine à cause de leurs situations irrégulières.

De plus, étant donné que de nombreuses personnes sont prêtes à travailler cela permet à l’employeur de faire ce qu’il veut.

Les conditions de vie des ouvriers journaliers, aux faibles revenus sont très dures.

Des logements insalubres :

Les migrants maghrébins et africains noirs les plus chanceux habitent à plusieurs dans des cortijos, anciens bâtiments ou cabannes agricoles en pierre.

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Mais la plupart tentent de s’abriter dans des chabolas. Il s’agit de petites constructions à base de matériaux récupérés aux alentours des serres. Les murs sur constitués d’un assemblage de palettes de bois et sont recouverts d’anciennes bâches de plastique provenant elles aussi des serres.

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Dans ces bidonvilles les habitants vivent sans eau et sans électricité :

Dans ces logements précaires, les conditions d’hygiènes sont déplorables. En effet, pour se doucher, ou plutôt pour se laver, il faut aller chercher de l’eau et utiliser un seau. Par ailleurs, il est fréquent qu’ils stockent l’eau stockée dans d’immenses bidons qui autrefois contenaient des produits phytosanitaires.

De plus, les pesticides et autres produits chimiques ruinent la santé des travailleurs :

Les fréquentes pulvérisations de pesticides, d’engrais et d’hormones de colorisation des légumes sont régulièrement effectuées sans protection et avec la présence dans les serres de l’ensemble des employés. Ce manque de précaution lors des opérations chimiques, nuit à la santé des travailleurs.

Et une fois invalides leur précarisation s’accentue.

Bref, cette situation est catastrophique tant pour l’environnement que pour les travailleurs sociaux.

Que Faire ? Comment remédier à cette situation désastreuse ?

Cette situation n’est pas nouvelle, les centaines d’hectares de serres ne se sont pas construit en un jour ! Alors si on veut que cette situation change, c’est à chacun d’entre nous de changer.

0 – Solution la plus radicale : boycottez !

Avant de clamer haut et fort qu’il faut boycotter les légumes vendus en supermarchés ainsi que ceux en provenance d’Espagne, j’aimerais plus globalement que nous nous responsabilisions. Car la situation espagnole n’est pas inédite. Ce genre de concentrations agricoles aux conséquences désastreuses sont nombreuses.

C’est pourquoi pour enrayer cette situation il faut prendre ces responsabilités individuellement.

1 – Se responsabiliser :

Je crois qu’il faut que chacun prenne ses responsabilités et n’attende pas de l’autre qu’il fasse le premier pas. Nous, les consommateurs, nous devons refuser d’acheter des aliments qui n’ont rien à faire sur nos étalages. Alors si oui, il est pas toujours facile, de connaitre les conditions de productions de ce qui se retrouve dans nos assiettes, on peut s’en tenir à respecter les saisonnalités.

2 – Respecter les saisons à  pour éviter des aberrations sociales et écologiques :

Ainsi, par exemple vouloir manger des rames au mois de décembre, cela n’est pas responsable…Et même si elles sont en spécial dans les supermarchés, et bien il y a toujours quelqu’un qui paye le prix fort; d’une part il y a la main-d’œuvre immigrante sous-payée mais d’autre part il y a aussi tout l’écosystème. En effet, au sein de ce milieu confiné, n’y a plus d’environnement. Il n’y a plus rien, il n’y a pas un oiseau, il n’y a plus un insecte. Ces cultures très concentrées, engendrent de grands risques épidémiologiques, qui nécessitent des traitements chimiques systématiques, ce qui pollue durablement les nappes phréatiques.

De plus, ce système dominé par la grande distribution et par les grands groupes alimentaires tue les petits exploitants locaux. Dans ce système l’agriculteur, n’a plus aucun moyen de fixer le prix de son travail. Il ne lui reste plus d’alternativpe que de baisser les salaires des ouvriers et de renier le droit du travail. Ce système entraine un désastre économique, écologique et social. C’est en grande partie à cause de la grande distribution, que des travailleurs avec ou sans papiers se retrouvent à dans des bidonvilles et à attendre chaque matin au bord de la route un paysan qui passe et les embarque dans un pick-up, alors pour ne pas encourager cela, privilégier les maraichers locaux.

3 – Privilégier les circuits courts en favorisant ainsi l’emploi local et l’agriculture de proximité:

Pour mettre fin à ce système il suffit de modifier ces habitudes d’achats, et d’acheter chez petits producteurs et si possible en vente direct. Acheter chez petits producteurs maraichers permet d’obtenir un service personnalisé, mais cela permet surtout de supprimer les coûts de transport superflus ainsi que tous les coûts liés aux intermédiaires. De plus, ces transports absurdes ont un coût écologique mais également économique. En effet, ces transport entraine beaucoup d’énergie grise. L’énergie grise est l’énergie nécessaire à produire et à transporter l’aliment jusqu’à sa distribution finale au consommateur. Parfois pour un même aliment peut demander jusqu’à 25 fois plus d’énergie grise.

Alors, que ce soit pour encourager les producteurs locaux, pour protéger l’environnement, ou encore pour ne pas encourager l’esclavagisme déguisé, toutes les raisons sont valables pour préférer acheter local.

Dans cet optique, sur le blogue je suis d’ailleurs en train de préparer une section de cartes pour encourager les achats responsables.

Pour le moment je me concentre sur ma ville (Montréal), alors si certains d’entre vous souhaitent m’envoyer de belles adresses hésiter pas à m’écrire en privé : c’est avec plaisir que je ferais évoluer la carte! 🙂

Jetez-y un oeil par ici !

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La vaisselle Arcopal ou le retour du made in France

Pourquoi la vaisselle Arcopal traverse-t-elle le temps ?

Avec ses ornements graphiques aux couleurs vives, ses fleurs bleues et orange, elles ont marqué la vie quotidienne de centaines de milliers de familles françaises.

Qui n’a jamais mangé dans une assiette Arcopal ?!

Ces assiettes me rappellent le chalet montagnard de mes grand-parents, dans lequel lorsque nous étions plus jeunes nous mangions dans la collection myosotis. Et vous avez-vous déjà croisé ces jolies assiettes vintage ?

Je suis certaine, que vous en avez déjà croisé ! Au moins une fois !

Cette vaisselle fleurie et colorée a littéralement envahit les placards de nos grands-parents et aujourd’hui encore elle perdure dans de nombreuses cuisines.

Mais, après avoir équipé de nombreux foyers, la production a cessée dans les années 90. C’est alors que tout les amoureux des beaux objets vintage se sont mis à les collectionner.

Face à l’engouement actuel pour le vintage et pour le made in france, la société a décidé de relancer la production. Pour ce renouveau, la marque a misé sur quelques rééditions de valeurs sûres, mais aussi sur de nouveaux motifs.

Arcopal a décidé de relancer sa production il y a tout juste un an!

Voici les différentes collections :

Réveillez le hippie qui dort en vous !

La célèbre collection Lotus réapparait ! Ce set d’assiettes plongera vos invités dans une touche pop et hippie !

Pour tout ceux qui affectionnent les seventies, c’est le set idéal ;

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Amoureux de lignes graphiques et géométriques !

Adriel, est une collection plus contemporaine. Sur ces assiettes, on retrouve des couleurs douces, et des motifs fins. Ils me rappellent les motifs du spirographe de notre enfance.

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L’emblématique myosotis:

Cette collection aux motifs fleuris délicats et aux couleurs pastels apportera un charme authentique et vintage pour des repas en famille conviviaux.

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La collection graphique Adonie:

La collection des assiettes plates, creuses et à dessert. Une ligne épurée, des motifs design ornés de rouge, façon carrelage au ciment d’antan. Ces motifs familiers ont résisté à toutes les modes.

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Notre coup de coeur, pour la collection Celestine:

Les fleurs prennent le pouvoir dans la collection Celestine. Quelques pétales bleus, jaunes et orange de marguerite dispersés dans l’assiette composent un tableau bonne humeur.

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La minimaliste :

Parce qu’on a tous besoin d’assiettes blanches, résistantes et abordables pour les repas quotidiens en famille. Aujourd’hui, nous vous présentons la collection Zelie. L’authentique assiette en opale made in France, pratique et inusable.

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Découvrez les avantages de cette vaisselle exceptionnelle…

Les raisons du succès d’Arcopal sont multiples : 

La robustesse, la décoration vintage et fleurie, les souvenirs d’enfance associés et sa mascotte Archibald.

 

D’où viennent la qualité et la résistance de la vaisselle Arcopal ?

Les collections Arcopal font preuve d’une robustesse à toute épreuve.

La vaisselle est à base de verre trempé et d’opale. L’opale Arcopal, est renforcée par un traitement thermique spécifique appelé « trempe ». L’opale Arcopal est ainsi jusqu’à 3 fois plus résistant aux chocs que les autres matières. Pas facile de casser les assiettes Arcopal, tant pour les maladroits que pour les adeptes des scènes de ménage ! Alors si vous êtes un peu gauche, c’est la vaisselle idéale !!

Arcopal, nous rappelle des doux souvenirs d’enfance, ainsi il s’inscrit dans le patrimoine affectif.

Outre, sa robustesse, Arcopal fait aussi référence à une décoration à l’identité forte, au goût de vintage assumé.

 

Enfin, et vous, la vaisselle arcopal, vous aimez ?

 

cuisiner en camping

Matériel essentiel pour cuisiner en camping

La cuisine en camping peut transformer votre expérience en plein air en une aventure culinaire mémorable. Pour tirer le meilleur parti de cette expérience, une préparation minutieuse et le bon équipement sont essentiels. Voici une liste détaillée du matériel indispensable à prévoir pour cuisiner en camping avec efficacité et plaisir.

Matériel essentiel pour cuisiner en camping

1. Vaisselle et ustensiles de base

Lorsque vous choisissez la vaisselle et les ustensiles à emporter, la simplicité et la praticité sont de mise. Optez pour :

  • Assiettes variées : prévoyez des assiettes de différentes tailles, idéalement avec un rebord épais pour éviter les déversements accidentels.
  • Verres et tasses isolantes : choisissez des verres et des tasses isolantes pour garder vos boissons chaudes ou froides pendant plus longtemps.
  • Bols à céréales : emportez des bols à céréales pratiques pour le petit-déjeuner et les repas légers.
  • Ustensiles durables : optez pour des ustensiles en plastique résistant ou en inox, comme des fourchettes, couteaux et cuillères. Assurez-vous d’en avoir au moins quatre de chaque pour accommoder votre groupe.

2. Préparation des repas

La préparation des repas nécessite quelques outils de base pour une expérience sans tracas :

  • Couteaux tranchants : choisissez des couteaux de qualité pour découper les ingrédients avec facilité.
  • Planche à découper en plastique : une surface de travail propre et hygiénique est essentielle. Optez pour une planche à découper en plastique facile à nettoyer.
  • Mesures précises : emportez des cuillères et des tasses à mesurer en plastique ou en inox pour obtenir des portions précises dans vos recettes.
  • Spatule et passoire : une spatule est utile pour retourner et mélanger les aliments. Une passoire compacte permet d’égoutter les ingrédients rapidement et efficacement.
  • Préparation du café : si vous êtes amateur de café, une cafetière italienne qui fonctionne directement sur le feu est une option pratique. N’oubliez pas le cornet en plastique pour le café filtre, accompagné de filtres en papier ou de café instantané.

3. Cuisson des plats

Choisissez des équipements de cuisson compacts et polyvalents pour cuisiner vos repas en camping :

  • Réchaud ou poêle au gaz : optez pour un réchaud portatif au gaz ou une poêle qui peut être utilisée directement sur le feu. Assurez-vous d’emporter au moins deux bonbonnes de gaz de rechange pour garantir une source d’énergie continue.
  • Casseroles et poêle : prévoyez une petite et une moyenne casserole, ainsi qu’une poêle pour la préparation de différents types de plats.
  • Grilles pour la cuisson : une grille pour les aliments et éventuellement une grille spéciale pour le pain peuvent être très utiles pour diversifier vos repas.
  • Gamelle de camping : optez pour une gamelle de camping polyvalente qui peut servir à la fois de casserole et de poêle. Elle est pratique pour économiser de l’espace.

4. Nettoyage et organisation

Maintenir un espace de cuisine propre et organisé est essentiel pour une expérience de camping agréable :

  • Savon à vaisselle et éponge : ils vous aideront à nettoyer vos ustensiles et vaisselle après les repas.
  • Tampon à récurer : prévoyez un tampon à récurer pour éliminer les résidus tenaces.
  • Linges à vaisselle : assurez-vous d’avoir au moins quatre linges à vaisselle pour essuyer et sécher la vaisselle proprement.
  • Contenants hermétiques : des contenants en plastique hermétiques sont pratiques pour conserver les restes et éviter les déversements.
  • Papier d’aluminium : ayez du papier d’aluminium à portée de main pour la cuisson et l’emballage de vos aliments.
  • Accessoires pratiques : emportez des napperons, une nappe en plastique imperméable, des pinces pour fixer la nappe et fermer les sacs de nourriture, ainsi que des blocs réfrigérants congelés pour maintenir vos aliments frais.

Avec cette liste d’équipement de cuisine, vous serez prêt à cuisiner en camping de délicieux repas en plein air.

Choisir le bon équipement, des ustensiles pratiques et des solutions de rangement adéquates peut faire toute la différence pour vivre une expérience culinaire agréable en plein air. En suivant les conseils et en prévoyant le matériel nécessaire, vous pourrez cuisiner des repas savoureux et profiter pleinement de vos moments en harmonie avec la nature. Que ce soit pour une escapade en famille, une aventure entre amis ou un moment de détente en solitaire, une cuisine de camping bien équipée vous permettra de créer des souvenirs mémorables autour d’un feu de camp et de savourer des plats délicieux, même en plein air. Alors, à vos casseroles et à vos poêles, et bon appétit lors de vos prochaines aventures de camping !